tafafoha ny maty e.
1. diamondra27
(
28/12/2008 18:32)
http://www.midi-madagasikara.mg/midi/index.php?option=com_content&task=view&id=10394
Nifoha ilay maty dia nangataka dite
Efa nandrasana roa andro ilay rangahy nefa nifoha indray, tany amin'ny tanàna iray antsoina hoe Antanambaon'Antsohihy, Kaominina Doany, distrikan’Andapa. Asa na ireo olona teo an-tanàna mihitsy no tsy nahalala fa mbola velona ilay olona, fa dia efa natao avokoa ny fombafomba rehetra, kanefa dia zavatra hafa no nitranga. Tamin'ny sabotsy faha-13 desambra, araka ny loharanom-baovao avy any an-toerana, no voalaza fa maty ilay rangahy izay sahabo ho 67 taona eo ho eo, tsy narary moa izy fa noho ny fijanonan’ny fo tampoka no voalaza fa nahafaty azy. Efa izy ho alevina iny indrindra no niteny tampoka hoe: “naninona moa aho ity” ka vaky tady nandositra avokoa ireo olona teo amin'ny manodidina azy. Raha vao tafafoha moa izy dia dite no nangatahany voalohany. Namboarina haingana izany ary nomena azy hosotroiny ary dia velona soa aman-tsara tokoa io olona io. Maro tamin'ireo mponina any an-toerana no nanontany azy ny zavatra hitany nandritra ny roa andro nahafaty azy ka tsotra ny valin-teniny: “toy ireny olona avy natory ireny ihany aho fa tsy nahita zavatra hafa akory”.
Mamy Augustin.
Nifoha ilay maty dia nangataka dite
Efa nandrasana roa andro ilay rangahy nefa nifoha indray, tany amin'ny tanàna iray antsoina hoe Antanambaon'Antsohihy, Kaominina Doany, distrikan’Andapa. Asa na ireo olona teo an-tanàna mihitsy no tsy nahalala fa mbola velona ilay olona, fa dia efa natao avokoa ny fombafomba rehetra, kanefa dia zavatra hafa no nitranga. Tamin'ny sabotsy faha-13 desambra, araka ny loharanom-baovao avy any an-toerana, no voalaza fa maty ilay rangahy izay sahabo ho 67 taona eo ho eo, tsy narary moa izy fa noho ny fijanonan’ny fo tampoka no voalaza fa nahafaty azy. Efa izy ho alevina iny indrindra no niteny tampoka hoe: “naninona moa aho ity” ka vaky tady nandositra avokoa ireo olona teo amin'ny manodidina azy. Raha vao tafafoha moa izy dia dite no nangatahany voalohany. Namboarina haingana izany ary nomena azy hosotroiny ary dia velona soa aman-tsara tokoa io olona io. Maro tamin'ireo mponina any an-toerana no nanontany azy ny zavatra hitany nandritra ny roa andro nahafaty azy ka tsotra ny valin-teniny: “toy ireny olona avy natory ireny ihany aho fa tsy nahita zavatra hafa akory”.
Mamy Augustin.
répondu par ikaretsaka le 12/01/2009 00:06
2. kotobekibo
(
28/12/2008 20:28)
Zavatra efa nitranga tao @ fianakavianay koa ny tahak'io fa aleoko tsy mitantara sao lazain'ny sasany fa mamahana lalitra eo !
:-D :-D :-D
:-D :-D :-D
3. sylvania
(
28/12/2008 21:52)
kotobekibo mba tantarao moa le tantara fa zay tsy mba ary naheno zavatra ohatranizany
4. badboy
(
28/12/2008 22:46)
Le donneur d'organes n'était pas mort
REANIMATION. Les chirurgiens ont cru défaillir: un homme dont le cœur était arrêté depuis une heure trente et sur lequel ils allaient prélever des organes s'est réveillé. Ce cas parisien récent soulève bien des questions.
Jean-Yves Nau, Paris, Le Monde Mercredi 11 juin 2008
C'est une affaire aux frontières de la vie et de la mort. Un dossier qui suscite émotion et réflexion chez les professionnels de la réanimation médicale et chez les responsables chargés de la bioéthique. Qui les oblige à se demander quels critères objectifs permettent de dire à partir de quand un malade sur lequel on pratique une réanimation peut être considéré comme un donneur d'organes. Sachant que ces organes, une fois greffés, permettront de prolonger l'espérance de vie d'autres malades.
Début 2008, à Paris, un homme âgé de 45 ans présente tous les symptômes d'un infarctus du myocarde. Intervention quasi immédiate du SAMU. Une réanimation est mise en œuvre moins de dix minutes après l'accident. Mais elle ne permet pas d'obtenir une reprise spontanée des battements du cœur. Les médecins choisissent de poursuivre la réanimation durant le transport en urgence vers le service spécialisé de l'hôpital de La Pitié-Salpêtrière. A l'arrivée, le cœur ne bat toujours pas. Après analyse du dossier, les médecins commencent à considérer leur patient comme un donneur potentiel d'organes: un donneur dit «à cœur arrêté».
La suite de l'affaire est rapportée dans le compte rendu officiel d'une réunion du groupe de travail sur les enjeux moraux de ce type de prélèvements qui a été récemment constitué au sein de l'«espace éthique» de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP). On y apprend que, lorsque les chirurgiens pouvant pratiquer les prélèvements d'organes arrivent au bloc, leurs confrères pratiquent le massage cardiaque depuis une heure et trente minutes, sans résultat apparent.
Mais, au moment même où ils s'apprêtent à opérer, les médecins ont la très grande surprise de découvrir que leur patient présente des signes de respiration spontanée, une réactivité pupillaire et un début de réaction à la stimulation douloureuse. «Autrement dit, il existe des «signes de vie» - énoncé équivalant à l'absence des signes cliniques de la mort», lit-on dans le compte rendu, qui se poursuit ainsi: «Après plusieurs semaines émaillées de complications graves, le patient marche et parle, les détails concernant son état neurologique ne sont pas connus.» Aucune précision n'est donnée quant au fait de savoir s'il a eu ou non connaissance du projet de prélèvement...
Au cours de cette même réunion, plusieurs autres réanimateurs évoquent des situations «où une personne dont chacun était convaincu du décès survivait après des manœuvres de réanimation prolongées bien au-delà des durées habituelles». Chacun concède alors qu'il s'agit là «d'histoires tout à fait exceptionnelles, mais que l'on rencontre au cours de sa carrière». Les participants soulignent que, si les recommandations officielles actuellement en vigueur avaient été suivies à la lettre, la personne «aurait probablement été considérée comme décédée».
Un tel cas n'aurait pas pu survenir avant 2007, quand la pratique des prélèvements «à cœur arrêté» n'était pas autorisée en France. Les prélèvements d'organes n'étaient alors effectués que chez des personnes en situation de coma dépassé et chez lesquelles la mort cérébrale était dûment confirmée par des examens électrographiques et neuroradiologiques.
Pour répondre à la pénurie chronique de greffons disponibles, les responsables de l'Agence de la biomédecine décident de lancer, début 2007, un programme expérimental chez des personnes dont le cœur venait de cesser de battre faute d'avoir pu être réanimées par massage cardiaque, ventilation mécanique et, parfois, circulation extracorporelle. Cette initiative est prise sur la base de résultats obtenus dans plusieurs pays étrangers. L'Académie nationale de médecine avait estimé que ce protocole «satisfait à toutes les dispositions éthiques et déontologiques».
En pratique, les prélèvements ne peuvent être effectués que dans les six heures qui suivent l'arrêt cardiaque initial et en respectant une série de précautions techniques et éthiques. «Le cas rapporté sur le site de l'espace éthique de l'AP-HP est celui d'un patient pour lequel la mort n'a jamais été constatée, fait-on valoir aujourd'hui auprès de l'Agence de la biomédecine. Le prélèvement en vue d'une greffe n'était donc pas envisageable à ce stade de la prise en charge du patient.»
Auprès de l'Agence, on rappelle que cette pratique est instaurée depuis des années à l'étranger: «En Espagne, par exemple, l'activité de prélèvement sur donneurs décédés après un arrêt cardiaque représente à Barcelone et Madrid respectivement 20% et 63% des prélèvements.»
En France, plus de 13000personnes sont en attente d'une greffe d'organe et, en 2007, on a recensé 231décès directement dus à l'absence de greffons disponibles. Le programme expérimental de prélèvement «à cœur arrêté» a d'ores et déjà permis de disposer d'une soixantaine de greffons supplémentaires.
REANIMATION. Les chirurgiens ont cru défaillir: un homme dont le cœur était arrêté depuis une heure trente et sur lequel ils allaient prélever des organes s'est réveillé. Ce cas parisien récent soulève bien des questions.
Jean-Yves Nau, Paris, Le Monde Mercredi 11 juin 2008
C'est une affaire aux frontières de la vie et de la mort. Un dossier qui suscite émotion et réflexion chez les professionnels de la réanimation médicale et chez les responsables chargés de la bioéthique. Qui les oblige à se demander quels critères objectifs permettent de dire à partir de quand un malade sur lequel on pratique une réanimation peut être considéré comme un donneur d'organes. Sachant que ces organes, une fois greffés, permettront de prolonger l'espérance de vie d'autres malades.
Début 2008, à Paris, un homme âgé de 45 ans présente tous les symptômes d'un infarctus du myocarde. Intervention quasi immédiate du SAMU. Une réanimation est mise en œuvre moins de dix minutes après l'accident. Mais elle ne permet pas d'obtenir une reprise spontanée des battements du cœur. Les médecins choisissent de poursuivre la réanimation durant le transport en urgence vers le service spécialisé de l'hôpital de La Pitié-Salpêtrière. A l'arrivée, le cœur ne bat toujours pas. Après analyse du dossier, les médecins commencent à considérer leur patient comme un donneur potentiel d'organes: un donneur dit «à cœur arrêté».
La suite de l'affaire est rapportée dans le compte rendu officiel d'une réunion du groupe de travail sur les enjeux moraux de ce type de prélèvements qui a été récemment constitué au sein de l'«espace éthique» de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP). On y apprend que, lorsque les chirurgiens pouvant pratiquer les prélèvements d'organes arrivent au bloc, leurs confrères pratiquent le massage cardiaque depuis une heure et trente minutes, sans résultat apparent.
Mais, au moment même où ils s'apprêtent à opérer, les médecins ont la très grande surprise de découvrir que leur patient présente des signes de respiration spontanée, une réactivité pupillaire et un début de réaction à la stimulation douloureuse. «Autrement dit, il existe des «signes de vie» - énoncé équivalant à l'absence des signes cliniques de la mort», lit-on dans le compte rendu, qui se poursuit ainsi: «Après plusieurs semaines émaillées de complications graves, le patient marche et parle, les détails concernant son état neurologique ne sont pas connus.» Aucune précision n'est donnée quant au fait de savoir s'il a eu ou non connaissance du projet de prélèvement...
Au cours de cette même réunion, plusieurs autres réanimateurs évoquent des situations «où une personne dont chacun était convaincu du décès survivait après des manœuvres de réanimation prolongées bien au-delà des durées habituelles». Chacun concède alors qu'il s'agit là «d'histoires tout à fait exceptionnelles, mais que l'on rencontre au cours de sa carrière». Les participants soulignent que, si les recommandations officielles actuellement en vigueur avaient été suivies à la lettre, la personne «aurait probablement été considérée comme décédée».
Un tel cas n'aurait pas pu survenir avant 2007, quand la pratique des prélèvements «à cœur arrêté» n'était pas autorisée en France. Les prélèvements d'organes n'étaient alors effectués que chez des personnes en situation de coma dépassé et chez lesquelles la mort cérébrale était dûment confirmée par des examens électrographiques et neuroradiologiques.
Pour répondre à la pénurie chronique de greffons disponibles, les responsables de l'Agence de la biomédecine décident de lancer, début 2007, un programme expérimental chez des personnes dont le cœur venait de cesser de battre faute d'avoir pu être réanimées par massage cardiaque, ventilation mécanique et, parfois, circulation extracorporelle. Cette initiative est prise sur la base de résultats obtenus dans plusieurs pays étrangers. L'Académie nationale de médecine avait estimé que ce protocole «satisfait à toutes les dispositions éthiques et déontologiques».
En pratique, les prélèvements ne peuvent être effectués que dans les six heures qui suivent l'arrêt cardiaque initial et en respectant une série de précautions techniques et éthiques. «Le cas rapporté sur le site de l'espace éthique de l'AP-HP est celui d'un patient pour lequel la mort n'a jamais été constatée, fait-on valoir aujourd'hui auprès de l'Agence de la biomédecine. Le prélèvement en vue d'une greffe n'était donc pas envisageable à ce stade de la prise en charge du patient.»
Auprès de l'Agence, on rappelle que cette pratique est instaurée depuis des années à l'étranger: «En Espagne, par exemple, l'activité de prélèvement sur donneurs décédés après un arrêt cardiaque représente à Barcelone et Madrid respectivement 20% et 63% des prélèvements.»
En France, plus de 13000personnes sont en attente d'une greffe d'organe et, en 2007, on a recensé 231décès directement dus à l'absence de greffons disponibles. Le programme expérimental de prélèvement «à cœur arrêté» a d'ores et déjà permis de disposer d'une soixantaine de greffons supplémentaires.
5. ikaretsaka
(
29/12/2008 01:21)
zahay efa coma itoy zegny ahoana koa? nitsangana tamin'ny maty koa? :-P
6. Andribe
(
29/12/2008 11:32)
:lol: :lol: :lol: Araka ny eritreritro de zavatra efa courant be zany hatr@ naha tany ny tany.Mila fanazavana misimisy fotsiny ny olona de afaka ny ahafantatra ny fandehan-javatra .Raiso @ contenu sy nycontenant\'ny ny tenan\' olombelona de ho hita taratra ny fisehoan-javatra mitranga eo @ ity tany ity.Ny ao anaty tenan\'olona de misy 60/100 rano 39/100 matiere organika(lipida gliosida protida)1/100 sira mineraly.Ary raha halalinina ireo zavatra telo ireo dia misy an\'iretokoa en infime proportion,Oxygéne,carbone Hydrogene,Azote,Calcium,Phosphore,potassium Soufre,Sodium,Chlore.De misy an\'ireto en tres tres infime quantité koa,Magnesium,Zinc,Manganese,Cuivre,Iode,Derivé de cobalt,Nickel,Aluminium,Molybdene,Vanadium,Plomb,Etain,Titane ,Brome,Fluor,Bore,Arsenic,Silicium.Araky ny efa hita hatr@ izao klo.De raiso ireo element rehetra ireo de ataovy inter action @ ireo zavatra harapaka isanandro vaky izao sy izay manodidina hiainana de ho tsapa fa reduction sy oxydation ary ny neutralisation sy ny hafa ko mbola ao daoly.Manginy fotsiny ny question d\'âme et d\'esprit.Efa re nareo ve lay fanaon\'ny Amerindien @ ilay plante mampijanona ny battement cardiaque?toa ampiasain-dry zareo @fitsaboana ny insuffisance de pulsion sanguine ilay izyary rehefa mifoha avy eo ilay olona de mahazo aina be. :?: :?:
7. ainaheri
(
29/12/2008 17:09)
Ary hono oa,aona zany ny volandranomaso?? Averina @ ilay nanome sa aona? Satria velona indray ilay rangah
8. ikaretsaka
(
29/12/2008 17:30)
Le volandranomaso aza azo hifandaminana ihany fa le misy mamono omby mihitsy @ ireny.. ary efa voatetika... io tsy afaka averina ho omby velona tsotry
9. Zozoro
(
29/12/2008 17:44)
kotobekibo:
Zavatra efa nitranga tao @ fianakavianay koa ny tahak'io fa aleoko tsy mitantara sao lazain'ny sasany fa mamahana lalitra eo !
:-D :-D :-D
Tena nisy teo amin'ny fianakavianay akaiky dia akaiky koa io fisehon-javatra io, ary nanatri-maso teo aho. Be no tsy mino.
10. kotobekibo
(
29/12/2008 21:43)
ikaretsaka , ainahery > ny ahy efapolo no narotsako tao ka nahoana no telopolo sisa no miverina ?
D ilay omby izany atambatambatra @ lakôly , :-D :-D :-D
Zozoro > hita ouah less !
sarotra inoana b akia a! miankina b @ fahalalan-tsainan'ny tsirairay ;
Sa ho alefako ary @ hafatra manokana ? :-P :-D
D ilay omby izany atambatambatra @ lakôly , :-D :-D :-D
Zozoro > hita ouah less !
sylvania:
kotobekibo mba tantarao moa le tantara fa zay tsy mba ary naheno zavatra ohatranizany
sarotra inoana b akia a! miankina b @ fahalalan-tsainan'ny tsirairay ;
Sa ho alefako ary @ hafatra manokana ? :-P :-D
11. ari.malala
(
30/12/2008 05:07)
Efa nahare tantara toy io koa aho fony mbola kely :-P fa gaga sy ohatrany tsy nino izany aloha...
kotobekibo, tantarao any @ hafatra manokana hoe zany hitanoa tao @ fianakavianareo izany :-P ;-)
kotobekibo, tantarao any @ hafatra manokana hoe zany hitanoa tao @ fianakavianareo izany :-P ;-)
12. diamondra27
(
30/12/2008 09:14)
fa hono wa e , ka tsy izany ve no ilaina ny croque mort e, le manaikitra ny ankihibe avant d'enterrer le cadavre fa raha mihetsika amin'iny dia velona fa raha gli de tsy izy intsony.
ainaheri: tsy ankamerina angabone io e.
donner c'est donner reprendre c'est voler
kotobekibo: za koa mba mila tantaraina le izy any am hafatra
ainaheri: tsy ankamerina angabone io e.
donner c'est donner reprendre c'est voler
kotobekibo: za koa mba mila tantaraina le izy any am hafatra
13. andrywui
(
30/12/2008 12:19)
aoka alou fa aza terena i kotobekibo fa mbola mamorona anle tantara izy e! nareo maimay
14. andrywui
(
30/12/2008 12:25)
tsy misy maty de velona zany fa mbola tsy maty tsara le olona ,sady zany ary labrosy be istoara ko:na nafana tao izy rehefa nofonosina lamba de niverina ny ainy na nitempo mora de mora ny fony fa tsy heno!! fa efa betsaka ny olona any ambanivolo any no tsy maty tsara de alevina de rehefa mamabika ny olona afaka volana maromaro de taolana mitakoko eo ambavandrangolahy no vantanin'ny mpandevina satria tsisy formol any
15. ikaretsaka
(
30/12/2008 13:19)
diamondra27:
fa hono wa e , ka tsy izany ve no ilaina ny croque mort e, le manaikitra ny ankihibe avant d'enterrer le cadavre fa raha mihetsika amin'iny dia velona fa raha gli de tsy izy intsony.
Raha coma, na ny ....... aza kakerinao tsy mahataitra izany ko
16. bor2lais
(
30/12/2008 14:56)
Hay ve izay no dikan\'ilay hoe \"croque-mort\" e !!! Misaotra anareo fa nahalalan-javatra : ... ary maninona hono no hoe ny ankihibe tongony ihany ?? :lol:
17. kotobekibo
(
30/12/2008 15:15)
andrywui:
aoka alou fa aza terena i kotobekibo fa mbola mamorona anle tantara izy e! nareo maimay
Jereo @ izao ary , vao tsy manomboka akory ny fitantarana d efa misy manely tsaho sahady hoe vao ho foronina ilay tantara = lainga :-D :-D :-D
18. booboo
(
30/12/2008 15:32)
Kotobekibo > andefaso an'ilay tantara kounkou zà azafady misaotra tompoko. ( dieny mbola gratos dia manararaotra sao hanaovan'ingahy bizna eo io hihihihihihi )
Ilay kakerina ny ratsa-tongotra tsy mahagaga ahy loatra fa misy ifandraisany @ terminaisons nerveuses @ resaka accupuncture ny ratsa-tongotra na ratsa-tanana...
Ilay kakerina ny ratsa-tongotra tsy mahagaga ahy loatra fa misy ifandraisany @ terminaisons nerveuses @ resaka accupuncture ny ratsa-tongotra na ratsa-tanana...
19. Mirananirina
(
30/12/2008 15:41)
Tamin'ny télé: mission impossible ny nt1 koa aho no nahita,lhl lehibe maty tsy fantatra ny fianakaviany,dia nantsoina ny mpiasa ny pompes funèbres haka azy,dia nalainy ka natao tamin'ireny vatamangatsiaka fitahirizana faty ireny,tsy mihoatra ny 2°.Ny ampitson'iny,nalain'ilay mpiasa tao ny faty ho diovina sy hampiakanjoana dia niteny ilay rangaha,fa taitra sy tsy nino izy ka niantso ny sefony,fa tena nifoa tokoa ilay rangahy,mahagaga.
20. niryna
(
30/12/2008 16:32)
bor2lais:
Hay ve izay no dikan'ilay hoe "croque-mort" e !!! Misaotra anareo fa nahalalan-javatra : ... ary maninona hono no hoe ny ankihibe tongony ihany ?? :lol:
amin'izay mikiakika be izy kou
:D
HS kely reto an
nividy trondro izahay ity tamin'ny alahady avy niangony,ireny trondro nofony ireny fotsiny a,tsy nisy loha tsy nisy vatana va nofotrondro fotsiny,rehefa hodidiana ilay izy dia nihetsiketsika be :roll: izahay mivady no niara nahita azy ary tsy vetivety fa elabe .tena variana aho ...toa mitempo kanefa tsy misy fo ,ha,ha..
Olona nodomin'ny fiara ny lohany dia nipitika tery ilay loha kanefa mbola afaka miantsoantso elabe ihany.Ny tanana amin'izay mipelipelika ao anaty fiara
Nitondra moto ranamana dia nanao accident,tsy nahatsiaro saina izy ka nony tonga teny amin'ny hopitaly rehefa nifoha izy dia itany fa tsy nisy teo intsony ny tongony roa.Teo izy vao nikiakiaka nanapatra ny ainy.
Tsy izaho no nantsoin'Atra hoy Rabe teo avara-trano fa Rabe eo andrefantrano ,hay maty ilay Rabe teo andrefantrano tamin'ny fotoana nifohazan-dRabe teo avara-trano
