karamaina ny mpilahatra vary
19. intelligenzia
(
18/02/2005 02:09)
NOUS SOMMES A MADAGASCAR
Edition du 18.02.2005
Nombreux sont ceux qui n’ont plus eu de riz comme aliment de base depuis deux années. Ils vivent de manière traditionnelle dans les forêts des falaises Betsimisaraka qui longent la côte orientale. Ils ont renoncé à cultiver du riz depuis que le régime a annoncé que ceux qui pratiquaient le tavy (culture sur brûlis) étaient passibles d’emprisonnement. Ces populations ont abandonné la riziculture par peur du gendarme. C’est un fait véridique et réel. A cause d’une carence en matière de communication de masse, le rhéteur de service qui aurait dû apprendre à tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler a poussé des milliers de paysans crédules à abandonner la friche pour revenir à la cueillette et à la chasse, un mode de vie antédiluvien. Eh oui !, nous sommes à Madagascar.
Edition du 18.02.2005
Nombreux sont ceux qui n’ont plus eu de riz comme aliment de base depuis deux années. Ils vivent de manière traditionnelle dans les forêts des falaises Betsimisaraka qui longent la côte orientale. Ils ont renoncé à cultiver du riz depuis que le régime a annoncé que ceux qui pratiquaient le tavy (culture sur brûlis) étaient passibles d’emprisonnement. Ces populations ont abandonné la riziculture par peur du gendarme. C’est un fait véridique et réel. A cause d’une carence en matière de communication de masse, le rhéteur de service qui aurait dû apprendre à tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler a poussé des milliers de paysans crédules à abandonner la friche pour revenir à la cueillette et à la chasse, un mode de vie antédiluvien. Eh oui !, nous sommes à Madagascar.