Le point G, le kanda pour les tantriques et la perle noire pour les taoïstes, doit son nom actuel à l\'initiale de son inventeur le docteur Graffenberg qui l\'a probablement fait découvrir à sa bienheureuse épouse avant d\'en informer les occidentaux dans les années 50. Sa découverte ne nécessitant pas d\'appareillage sophistiqué - deux doigts et un peu de perspicacité suffisent -, il ne fait aucun doute que de nombreux amants en occident le connaissaient avant lui mais cette sorte d\'information n\'a jamais circulé facilement, même aujourd\'hui, d\'autant plus que la jouissance de la femme — comme son droit de vote — n\'était pas un sujet de discussion courant pour nos ancêtres.
Son existence a été contestée depuis par beaucoup de scientifiques qui affirment à juste titre que l\'on ne connaît pas précisément tous les paramètres qui déclenchent l\'orgasme vaginal. Quelques femmes le découvrent seules (en utilisant parfois un objet recourbé à la place du majeur), dans ce cas la position accroupie semble la plus efficace car elle augmente l\'afflux sanguin et permet une meilleure palpation ; il existerait plusieurs points de stimulation autour du point G remplissant diverses fonctions.
Le point G est situé dans le vagin à environ 6 centimètres de la vulve.
C\'est une zone légèrement rugueuse d\'une dimension variable, entre celle d\'un haricot et celle d\'une pièce de un franc
Dia mitondrà mihitsy règle sy équerre ary compas sy ny sisa rehefa mifanao fotoana izany,raikitra ny ankandrefy, io fa mbola 5cm5, oh!mihoatra loatra,6cm hono no izy e! mampihomehy nareo ireto kah!
