Nous voilà dans un pays où la politique sauvage règne!!!
1. teamryan
(
25/06/2013 07:57)
Le front, composé d’une vingtaine de candidats à la Présidentielle, répond à Andry Rajoelina, après le refus de ce dernier de désister. Le ton monte d’un cran.
Se montrer et se faire entendre. Le Collectif des candidats, regroupant une vingtaine de personnalités en lice pour la course à la magistrature suprême, projette de suivre Andry Rajoelina, président de la Transition et candidat à la Présidentielle, sur son terrain.
« La présidente de la Commission électorale nationale indépendante pour la transition (CENIT) [Béatrice Atallah] avait déclaré qu’on ne peut pas encore faire de campagne électorale mais certains en font. C’est pourquoi nous allons également en faire », a indiqué Jean-Eugène Voninahitsy, hier, à Andrefan’Ambohijanahary.
Une vingtaine de candidats, du moins leurs représentants, ont fait part de leur stratégie après l’expiration de l’ultimatum qu’ils ont fixé pour le désistement d’Andry Rajoelina, de Lalao Ravalomanana, ancienne Première dame, et de Didier Ratsiraka, ex-Président. « Certaine fois, nous organiserons des meetings ensemble », a rapporté Jean-Eugène Voninahitsy, pour imiter le jeu d’Andry Rajoelina qui se lance dans une campagne électorale déguisée avec sa double casquette.
Le Collectif des candidats a un autre argument, quoique incohérent avec le principe d’équité, pour expliquer sa décision. « Il n’existe pas encore de décret de report du scrutin », explique Jean-Eugène Voninahitsy, à la tête du groupe politique les Autres sensibilités (AS).
Maintien du calendrier
Ces candidats, dont Saraha Rabearisoa, Hajo Andrianainarivelo, Camille Vital ou encore Ny Rado Rafalimanana, choisissent de marquer leur coup en se référant au calendrier électoral « initial ». Des caravanes sillonnant la ville ont été organisées pour donner corps à l’annonce. La campagne électorale devait commencer, hier, si l’on tient compte de la date de la Présidentielle du 24 juillet.
Jean Lahiniriko explique le message véhiculé derrière le geste. « Nous ne constituons pas le blocage conduisant à la tergiversation. Il faut respecter la loi. Ce n’est pas nous qui avons accepté le report de la date du scrutin, mais au contraire, pour sa tenue le 24 juillet », tente de développer le président du Parti sociale démocratie pour l’unité de Madagascar.
Le front des candidats donne l’impression de vouloir maintenir la pression sur les trois candidats ciblés par la communauté internationale. Il essaie de se faire entendre la veille de la réunion du Groupe international de contact sur le dossier malgache, prévue le 26 juin à Addis-Abeba. Celle-ci pourrait décider des sanctions ciblées contre les trois candidats et pourraient émettre des réserves sur l’accompagnement du processus électoral en cas de maintien de ces derniers dans la liste des prétendants à la course à la magistrature suprême.
Alain Tehindrazanarivelo et Julien Razafimanazato rassurent la possibilité de la tenue des consultations populaires accompagnées par la communauté internationale, en cas de retrait des trois candidats. Ils semblent vouloir envoyer un message encourageant les partenaires techniques et financiers à accentuer la pression sur Andry Rajoelina, Lalao Ravalomanana et Didier Ratsiraka et de tenir le plus tôt le scrutin selon le souhait de la communauté internationale.
Le front des candidats engage ainsi le fer contre les trois candidats dénoncés. Il tente de pousser le régime à la faute en prenant le risque de jouer le jeu d’Andry Rajoelina faute d’apaisement avant les consultations populaires.
Florent Rakotoarisoa, ministre de l’Intérieur proposé par les AS, rappelle pourtant l’officialisation du report du premier tour de la Présidentielle. « C’est la CENIT qu’on attend pour l’établissement d’un nouveau calendrier », a-t-il indiqué avant de préciser l’« illégalité de l’organisation d’une propagande dans la mesure où la date du 24 juillet ne tient plus ». Il se réfère à la Cour électorale spéciale pour « prendre les mesures » face à tout non-respect des textes.
Se montrer et se faire entendre. Le Collectif des candidats, regroupant une vingtaine de personnalités en lice pour la course à la magistrature suprême, projette de suivre Andry Rajoelina, président de la Transition et candidat à la Présidentielle, sur son terrain.
« La présidente de la Commission électorale nationale indépendante pour la transition (CENIT) [Béatrice Atallah] avait déclaré qu’on ne peut pas encore faire de campagne électorale mais certains en font. C’est pourquoi nous allons également en faire », a indiqué Jean-Eugène Voninahitsy, hier, à Andrefan’Ambohijanahary.
Une vingtaine de candidats, du moins leurs représentants, ont fait part de leur stratégie après l’expiration de l’ultimatum qu’ils ont fixé pour le désistement d’Andry Rajoelina, de Lalao Ravalomanana, ancienne Première dame, et de Didier Ratsiraka, ex-Président. « Certaine fois, nous organiserons des meetings ensemble », a rapporté Jean-Eugène Voninahitsy, pour imiter le jeu d’Andry Rajoelina qui se lance dans une campagne électorale déguisée avec sa double casquette.
Le Collectif des candidats a un autre argument, quoique incohérent avec le principe d’équité, pour expliquer sa décision. « Il n’existe pas encore de décret de report du scrutin », explique Jean-Eugène Voninahitsy, à la tête du groupe politique les Autres sensibilités (AS).
Maintien du calendrier
Ces candidats, dont Saraha Rabearisoa, Hajo Andrianainarivelo, Camille Vital ou encore Ny Rado Rafalimanana, choisissent de marquer leur coup en se référant au calendrier électoral « initial ». Des caravanes sillonnant la ville ont été organisées pour donner corps à l’annonce. La campagne électorale devait commencer, hier, si l’on tient compte de la date de la Présidentielle du 24 juillet.
Jean Lahiniriko explique le message véhiculé derrière le geste. « Nous ne constituons pas le blocage conduisant à la tergiversation. Il faut respecter la loi. Ce n’est pas nous qui avons accepté le report de la date du scrutin, mais au contraire, pour sa tenue le 24 juillet », tente de développer le président du Parti sociale démocratie pour l’unité de Madagascar.
Le front des candidats donne l’impression de vouloir maintenir la pression sur les trois candidats ciblés par la communauté internationale. Il essaie de se faire entendre la veille de la réunion du Groupe international de contact sur le dossier malgache, prévue le 26 juin à Addis-Abeba. Celle-ci pourrait décider des sanctions ciblées contre les trois candidats et pourraient émettre des réserves sur l’accompagnement du processus électoral en cas de maintien de ces derniers dans la liste des prétendants à la course à la magistrature suprême.
Alain Tehindrazanarivelo et Julien Razafimanazato rassurent la possibilité de la tenue des consultations populaires accompagnées par la communauté internationale, en cas de retrait des trois candidats. Ils semblent vouloir envoyer un message encourageant les partenaires techniques et financiers à accentuer la pression sur Andry Rajoelina, Lalao Ravalomanana et Didier Ratsiraka et de tenir le plus tôt le scrutin selon le souhait de la communauté internationale.
Le front des candidats engage ainsi le fer contre les trois candidats dénoncés. Il tente de pousser le régime à la faute en prenant le risque de jouer le jeu d’Andry Rajoelina faute d’apaisement avant les consultations populaires.
Florent Rakotoarisoa, ministre de l’Intérieur proposé par les AS, rappelle pourtant l’officialisation du report du premier tour de la Présidentielle. « C’est la CENIT qu’on attend pour l’établissement d’un nouveau calendrier », a-t-il indiqué avant de préciser l’« illégalité de l’organisation d’une propagande dans la mesure où la date du 24 juillet ne tient plus ». Il se réfère à la Cour électorale spéciale pour « prendre les mesures » face à tout non-respect des textes.
répondu par andrywui le 27/06/2013 09:42
2. haingorafa
(
25/06/2013 08:57)
teamryan:
Le front, composé d’une vingtaine de candidats à la Présidentielle, répond à Andry Rajoelina, après le refus de ce dernier de désister. Le ton monte d’un cran.
Se montrer et se faire entendre. Le Collectif des candidats, regroupant une vingtaine de personnalités en lice pour la course à la magistrature suprême, projette de suivre Andry Rajoelina, président de la Transition et candidat à la Présidentielle, sur son terrain.
« La présidente de la Commission électorale nationale indépendante pour la transition (CENIT) [Béatrice Atallah] avait déclaré qu’on ne peut pas encore faire de campagne électorale mais certains en font. C’est pourquoi nous allons également en faire », a indiqué Jean-Eugène Voninahitsy, hier, à Andrefan’Ambohijanahary.
Une vingtaine de candidats, du moins leurs représentants, ont fait part de leur stratégie après l’expiration de l’ultimatum qu’ils ont fixé pour le désistement d’Andry Rajoelina, de Lalao Ravalomanana, ancienne Première dame, et de Didier Ratsiraka, ex-Président. « Certaine fois, nous organiserons des meetings ensemble », a rapporté Jean-Eugène Voninahitsy, pour imiter le jeu d’Andry Rajoelina qui se lance dans une campagne électorale déguisée avec sa double casquette.
Le Collectif des candidats a un autre argument, quoique incohérent avec le principe d’équité, pour expliquer sa décision. « Il n’existe pas encore de décret de report du scrutin », explique Jean-Eugène Voninahitsy, à la tête du groupe politique les Autres sensibilités (AS).
Maintien du calendrier
Ces candidats, dont Saraha Rabearisoa, Hajo Andrianainarivelo, Camille Vital ou encore Ny Rado Rafalimanana, choisissent de marquer leur coup en se référant au calendrier électoral « initial ». Des caravanes sillonnant la ville ont été organisées pour donner corps à l’annonce. La campagne électorale devait commencer, hier, si l’on tient compte de la date de la Présidentielle du 24 juillet.
Jean Lahiniriko explique le message véhiculé derrière le geste. « Nous ne constituons pas le blocage conduisant à la tergiversation. Il faut respecter la loi. Ce n’est pas nous qui avons accepté le report de la date du scrutin, mais au contraire, pour sa tenue le 24 juillet », tente de développer le président du Parti sociale démocratie pour l’unité de Madagascar.
Le front des candidats donne l’impression de vouloir maintenir la pression sur les trois candidats ciblés par la communauté internationale. Il essaie de se faire entendre la veille de la réunion du Groupe international de contact sur le dossier malgache, prévue le 26 juin à Addis-Abeba. Celle-ci pourrait décider des sanctions ciblées contre les trois candidats et pourraient émettre des réserves sur l’accompagnement du processus électoral en cas de maintien de ces derniers dans la liste des prétendants à la course à la magistrature suprême.
Alain Tehindrazanarivelo et Julien Razafimanazato rassurent la possibilité de la tenue des consultations populaires accompagnées par la communauté internationale, en cas de retrait des trois candidats. Ils semblent vouloir envoyer un message encourageant les partenaires techniques et financiers à accentuer la pression sur Andry Rajoelina, Lalao Ravalomanana et Didier Ratsiraka et de tenir le plus tôt le scrutin selon le souhait de la communauté internationale.
Le front des candidats engage ainsi le fer contre les trois candidats dénoncés. Il tente de pousser le régime à la faute en prenant le risque de jouer le jeu d’Andry Rajoelina faute d’apaisement avant les consultations populaires.
Florent Rakotoarisoa, ministre de l’Intérieur proposé par les AS, rappelle pourtant l’officialisation du report du premier tour de la Présidentielle. « C’est la CENIT qu’on attend pour l’établissement d’un nouveau calendrier », a-t-il indiqué avant de préciser l’« illégalité de l’organisation d’une propagande dans la mesure où la date du 24 juillet ne tient plus ». Il se réfère à la Cour électorale spéciale pour « prendre les mesures » face à tout non-respect des textes.
Dès le début et jusqu'à ce jour, une seule personne arrive à entretenir une situation de crise et qui aime chanter que s'il est là ou s'il se retire ( c'est selon son inspiration ! )c'est pour le bien du peuple malagasy ( qui n'a même pas demandé son avis personnel ) .
Pendant tout ce temps, l'économie, le social et la politique bien entendu ont eu le temps de se détériorer au détriment d'un peuple tout entier.
Et voilà que deux autres intrus se positionnent pour envenimer encore plus la situation.
Il est tout à fait normal que le collectif agit ou réagit car si au début l'avenir des 20 millions de malagasy était entre les mains d'une seule personne et que maintenant il l'est entre celles de 3 , n'attendons pas que le peuple soit livré à lui même pour gérer son avenir.
3. henridubois
(
27/06/2013 08:29)
haingorafa:
teamryan:
Le front, composé d’une vingtaine de candidats à la Présidentielle, répond à Andry Rajoelina, après le refus de ce dernier de désister. Le ton monte d’un cran.
Se montrer et se faire entendre. Le Collectif des candidats, regroupant une vingtaine de personnalités en lice pour la course à la magistrature suprême, projette de suivre Andry Rajoelina, président de la Transition et candidat à la Présidentielle, sur son terrain.
« La présidente de la Commission électorale nationale indépendante pour la transition (CENIT) [Béatrice Atallah] avait déclaré qu’on ne peut pas encore faire de campagne électorale mais certains en font. C’est pourquoi nous allons également en faire », a indiqué Jean-Eugène Voninahitsy, hier, à Andrefan’Ambohijanahary.
Une vingtaine de candidats, du moins leurs représentants, ont fait part de leur stratégie après l’expiration de l’ultimatum qu’ils ont fixé pour le désistement d’Andry Rajoelina, de Lalao Ravalomanana, ancienne Première dame, et de Didier Ratsiraka, ex-Président. « Certaine fois, nous organiserons des meetings ensemble », a rapporté Jean-Eugène Voninahitsy, pour imiter le jeu d’Andry Rajoelina qui se lance dans une campagne électorale déguisée avec sa double casquette.
Le Collectif des candidats a un autre argument, quoique incohérent avec le principe d’équité, pour expliquer sa décision. « Il n’existe pas encore de décret de report du scrutin », explique Jean-Eugène Voninahitsy, à la tête du groupe politique les Autres sensibilités (AS).
Maintien du calendrier
Ces candidats, dont Saraha Rabearisoa, Hajo Andrianainarivelo, Camille Vital ou encore Ny Rado Rafalimanana, choisissent de marquer leur coup en se référant au calendrier électoral « initial ». Des caravanes sillonnant la ville ont été organisées pour donner corps à l’annonce. La campagne électorale devait commencer, hier, si l’on tient compte de la date de la Présidentielle du 24 juillet.
Jean Lahiniriko explique le message véhiculé derrière le geste. « Nous ne constituons pas le blocage conduisant à la tergiversation. Il faut respecter la loi. Ce n’est pas nous qui avons accepté le report de la date du scrutin, mais au contraire, pour sa tenue le 24 juillet », tente de développer le président du Parti sociale démocratie pour l’unité de Madagascar.
Le front des candidats donne l’impression de vouloir maintenir la pression sur les trois candidats ciblés par la communauté internationale. Il essaie de se faire entendre la veille de la réunion du Groupe international de contact sur le dossier malgache, prévue le 26 juin à Addis-Abeba. Celle-ci pourrait décider des sanctions ciblées contre les trois candidats et pourraient émettre des réserves sur l’accompagnement du processus électoral en cas de maintien de ces derniers dans la liste des prétendants à la course à la magistrature suprême.
Alain Tehindrazanarivelo et Julien Razafimanazato rassurent la possibilité de la tenue des consultations populaires accompagnées par la communauté internationale, en cas de retrait des trois candidats. Ils semblent vouloir envoyer un message encourageant les partenaires techniques et financiers à accentuer la pression sur Andry Rajoelina, Lalao Ravalomanana et Didier Ratsiraka et de tenir le plus tôt le scrutin selon le souhait de la communauté internationale.
Le front des candidats engage ainsi le fer contre les trois candidats dénoncés. Il tente de pousser le régime à la faute en prenant le risque de jouer le jeu d’Andry Rajoelina faute d’apaisement avant les consultations populaires.
Florent Rakotoarisoa, ministre de l’Intérieur proposé par les AS, rappelle pourtant l’officialisation du report du premier tour de la Présidentielle. « C’est la CENIT qu’on attend pour l’établissement d’un nouveau calendrier », a-t-il indiqué avant de préciser l’« illégalité de l’organisation d’une propagande dans la mesure où la date du 24 juillet ne tient plus ». Il se réfère à la Cour électorale spéciale pour « prendre les mesures » face à tout non-respect des textes.
Dès le début et jusqu'à ce jour, une seule personne arrive à entretenir une situation de crise et qui aime chanter que s'il est là ou s'il se retire ( c'est selon son inspiration ! )c'est pour le bien du peuple malagasy ( qui n'a même pas demandé son avis personnel ) .
Pendant tout ce temps, l'économie, le social et la politique bien entendu ont eu le temps de se détériorer au détriment d'un peuple tout entier.
Et voilà que deux autres intrus se positionnent pour envenimer encore plus la situation.
Il est tout à fait normal que le collectif agit ou réagit car si au début l'avenir des 20 millions de malagasy était entre les mains d'une seule personne et que maintenant il l'est entre celles de 3 , n'attendons pas que le peuple soit livré à lui même pour gérer son avenir.
iao indray izany dia ny hoe: "... izay mangataka ny fitazomana ny fifidianana sy ny fanjana ny lalana vlona dis mpamaika tanindrazana..." c'est vraiment le comble. ny marina dia tiany alefa aminy adin-antrano . mazava.
4. Ricar5do
(
27/06/2013 09:02)
Oui la politique sauvage règne !!
Personne ne fais attention au peuple alors qu'il souffre !! ...
Dommage que personne n'arrive pas à faire tomber cette personne qui fait régner cette politique sauvage de bas étage !!
On en a marre de Zandry kely !! Qu'il dégage !! Qu'il démissionne et qu'il laisse sa place à ce qui le mérite vraiment !!
Personne ne fais attention au peuple alors qu'il souffre !! ...
Dommage que personne n'arrive pas à faire tomber cette personne qui fait régner cette politique sauvage de bas étage !!
On en a marre de Zandry kely !! Qu'il dégage !! Qu'il démissionne et qu'il laisse sa place à ce qui le mérite vraiment !!
5. andrywui
(
27/06/2013 09:42)
ataovy teny gasy mazava amn manaraka ry akama a ,, gasy daholo ny eto , sady aza atao longrinnn be fa mamonamonaina ooo