MA-TV ANDROANY
1. xxx
(
04/03/2005 04:08)
Le fameux « Tikoland » n’est plus une boutade, entre deux canapés dans un cocktail d’affaires, mais est devenue de plus en plus une réalité.
:oops:
:oops:
répondu par iartistika le 22/03/2005 09:27
5. Lallah
(
05/03/2005 00:23)
1/. =>>PAR NECESSITE DE SERVICE: L’Etat a choisi de laisser pourrir ces mouvements. La ministre de la justice refuse de recevoir ses collègues magistrats, fort de l’appui du chef de l’Etat qui maintient un discours de fermeté. Et qui, selon les analystes, est en train de perdre, là également, d’anciens alliés. Pourquoi ? Beaucoup de politiciens et de leaders d’opinion qui ont soutenu Ravalomanana en 2002, lâchés en cours de chemin, sont passés du côté de l’Opposition. Même au niveau des capitaines d’entreprises, le ton est à l’expectative. Le fameux « Tikoland » n’est plus une boutade, entre deux canapés dans un cocktail d’affaires, mais est devenue de plus en plus une réalité. - (MaTv-04/03/2005)
2/. =>> Le vrai problème est ailleurs:
Quant aux gesticulations stériles actuelles, de quelque part qu'elles nous proviennent de l'un (pouvoir) ou de l'autre camp (grévistes), y en a marre ! Qui procurera le logis et le manger à ce peuple qui se démène et qui trime en déployant toutes son énergie et qui malgré tout n'arrive pas à satisfaire ses besoins fondamentaux ? Peut-il s'attendre à ce que l'Etat et le corps des hauts fonctionnaires lui viennent à son chevet au cas où il décide lui aussi de ne pas travailler jusqu'à ce qu'il lui soit offert tous ses droits les plus légitimes et les plus élémentaires ? En tout cas, une partie de l'opinion est déjà fixée sur son sort en cas de grève et ne prête plus attention qu'à son ménage. - (Tribune 04/03/2005)
3/ =>> Grève générale du SECES: Jusqu'où iront-ils ?
Le syndicat des enseignants et chercheurs-enseignants a appelé à une journée de Solidarité, hier. Un appel pour dire aussi qu'ils renforcent leur grève. Le ministre de l'Education Nationale et de la Recherche Scientifique, Haja Nirina Razafinjatovo, fait une mise au point.
De Ar. 50.000, leur indemnité est passée à Ar.150.000 en 2004, suite à leur revendication, soit une augmentation de Ar.100.000. Ils avaient demandé que ce soit plafonné à Ar.400.000. A la fin de l'année universitaire, ils ont boudé la sortie des notes des étudiants. Nouvelle revendication : le paiement de leurs heures supplémentaires. L'Etat a déboursé Ar. 620 millions pour les régler. Aujourd'hui, autres revendications, car "ils ne sont pas encore satisfaits." Et le ministre a tenu à souligner que, suite à des déclarations erronées, certains de ces chercheurs grévistes dont quelques-uns des meneurs, figurent parmi ceux-ci. Même si la nouvelle année universitaire devait commencer le 1er février dernier, le Seces annonce déjà la couleur : ils ne laisseront pas tomber leur mouvement, l'appel à la solidarité le conforte. Parmi les doléances : une indemnité de risque d'un montant de Ar. 180.000. "Jusqu'à maintenant, il s'agit encore et toujours de question de revendications financières. Je crois qu'ils dépassent les bornes. Un enseignant, chercheur de surcroît, devrait être un modèle dans la société", ajoute le ministre.
Hier encore, le Seces est arrivé malgré lui peut-être car en voulant sensibiliser les autres enseignants et les étudiants dans les salles de classe, il en est résulté la sortie des étudiants de leurs salles de classe. Où est le respect d'autrui, déplore-t-on du côté de l'Etat ? "Le Seces parle de droit et de respect. On voit maintenant que le mouvement tend de plus en plus à prendre une connotation politique". Toutefois, la présidence de l'université d'Antananarivo assure qu'il n'y aura pas d'année blanche et fera tout pour que les études reprennent...
2/. =>> Le vrai problème est ailleurs:
Quant aux gesticulations stériles actuelles, de quelque part qu'elles nous proviennent de l'un (pouvoir) ou de l'autre camp (grévistes), y en a marre ! Qui procurera le logis et le manger à ce peuple qui se démène et qui trime en déployant toutes son énergie et qui malgré tout n'arrive pas à satisfaire ses besoins fondamentaux ? Peut-il s'attendre à ce que l'Etat et le corps des hauts fonctionnaires lui viennent à son chevet au cas où il décide lui aussi de ne pas travailler jusqu'à ce qu'il lui soit offert tous ses droits les plus légitimes et les plus élémentaires ? En tout cas, une partie de l'opinion est déjà fixée sur son sort en cas de grève et ne prête plus attention qu'à son ménage. - (Tribune 04/03/2005)
3/ =>> Grève générale du SECES: Jusqu'où iront-ils ?
Le syndicat des enseignants et chercheurs-enseignants a appelé à une journée de Solidarité, hier. Un appel pour dire aussi qu'ils renforcent leur grève. Le ministre de l'Education Nationale et de la Recherche Scientifique, Haja Nirina Razafinjatovo, fait une mise au point.
De Ar. 50.000, leur indemnité est passée à Ar.150.000 en 2004, suite à leur revendication, soit une augmentation de Ar.100.000. Ils avaient demandé que ce soit plafonné à Ar.400.000. A la fin de l'année universitaire, ils ont boudé la sortie des notes des étudiants. Nouvelle revendication : le paiement de leurs heures supplémentaires. L'Etat a déboursé Ar. 620 millions pour les régler. Aujourd'hui, autres revendications, car "ils ne sont pas encore satisfaits." Et le ministre a tenu à souligner que, suite à des déclarations erronées, certains de ces chercheurs grévistes dont quelques-uns des meneurs, figurent parmi ceux-ci. Même si la nouvelle année universitaire devait commencer le 1er février dernier, le Seces annonce déjà la couleur : ils ne laisseront pas tomber leur mouvement, l'appel à la solidarité le conforte. Parmi les doléances : une indemnité de risque d'un montant de Ar. 180.000. "Jusqu'à maintenant, il s'agit encore et toujours de question de revendications financières. Je crois qu'ils dépassent les bornes. Un enseignant, chercheur de surcroît, devrait être un modèle dans la société", ajoute le ministre.
Hier encore, le Seces est arrivé malgré lui peut-être car en voulant sensibiliser les autres enseignants et les étudiants dans les salles de classe, il en est résulté la sortie des étudiants de leurs salles de classe. Où est le respect d'autrui, déplore-t-on du côté de l'Etat ? "Le Seces parle de droit et de respect. On voit maintenant que le mouvement tend de plus en plus à prendre une connotation politique". Toutefois, la présidence de l'université d'Antananarivo assure qu'il n'y aura pas d'année blanche et fera tout pour que les études reprennent...
6. dadabe
(
05/03/2005 08:48)
Marina be io rey olona ô ..
Rehefa tsy miasa dia tokony tsy handray KARAMA. Raha tsy izany izy dia tokony hanaty rakitra toy ny ataon'ny eto amin'itony mpanao takelaka itony. Anontanio an'ny mpiandraikitra ny fanaovana taty rakitra en ligne. :^)
Rehefa tsy miasa dia tokony tsy handray KARAMA. Raha tsy izany izy dia tokony hanaty rakitra toy ny ataon'ny eto amin'itony mpanao takelaka itony. Anontanio an'ny mpiandraikitra ny fanaovana taty rakitra en ligne. :^)
8. welie
(
15/03/2005 17:21)
xxx...... hummmm aza miafina ao ambadiky ny xxx ao toi e! Sao mba i bebeto indray zao io?????????? Tsy misy azo hijerevana aty fa mba andefaso e!
9. sonwin
(
16/03/2005 14:52)
Aleo tsy maneho hevitra fa feno pitsikilo ato, tandremo welie fa indry nge ka misy manara-maso akaiky e..any amin spons ny tiko hi hi hi
11. ravatorano
(
17/03/2005 06:46)
za raha vao resaka grevy eny ankatso defa tena leo b zah na iza manao izany na iza na inn revendication na inn na atao we aza hoe manana ny rariny ny mpampianatra na ny mpianatra dia tena leo zah kle efa very firy taoana tamin ny nianarana teny letsy noho io grevy io ihany ary anisan ny nafana fo kay nataon dry zalah toatsa nekarana fotsiny .
io tsisy olona hahazo fahfapo tanteraka izany fa tokony hijery tsara we aiza no azo atao d aiza no azo omena d mba inn kosa no azo andeferana sy azo ajanona fa raha hizirizy eo ah d ny mpianatra no vizana voalohany eo.
=)) :p
io tsisy olona hahazo fahfapo tanteraka izany fa tokony hijery tsara we aiza no azo atao d aiza no azo omena d mba inn kosa no azo andeferana sy azo ajanona fa raha hizirizy eo ah d ny mpianatra no vizana voalohany eo.
=)) :p
12. welie
(
17/03/2005 19:46)
sonwin...hitakoooooooo!!! Za aleo mintsy tsy hikozy refa resaka sahalam'izao fa sao... hihihi...ary toi kou sonwin an! Sao...
Fa tena tsy aiko mintsy le resaka ny marina e!
Fa tena tsy aiko mintsy le resaka ny marina e!
13. fijo
(
17/03/2005 23:24)
welie fa ahoana?
ravato za koa dia manohana io hevitra io fa tena efa nahatsapa an'izany.bandy niara 1er année tamiko ve nama lasa taty talohako.lery efa nahazo maitrise za mbola hiditra 3eme année nefa samy tsy nijanona roa taona tao amina kilasy iray.
ravato za koa dia manohana io hevitra io fa tena efa nahatsapa an'izany.bandy niara 1er année tamiko ve nama lasa taty talohako.lery efa nahazo maitrise za mbola hiditra 3eme année nefa samy tsy nijanona roa taona tao amina kilasy iray.
14. cynthia4
(
22/03/2005 03:26)
Welie >
Fijo>
Ravatorano>
En général, la personne xxx est l'administrateur (ou trice) du serasera ou des fois un ou une OP, il ou elle ne veut pas s'afficher alors qu'on connais son IP.
Selon ACEEM : Aza ny namanao no ifaninananao fa ny tsara vitanao ! C,est tout à fait vrai ... Rien à cirer ...
Fijo>
Ravatorano>
En général, la personne xxx est l'administrateur (ou trice) du serasera ou des fois un ou une OP, il ou elle ne veut pas s'afficher alors qu'on connais son IP.
Selon ACEEM : Aza ny namanao no ifaninananao fa ny tsara vitanao ! C,est tout à fait vrai ... Rien à cirer ...