Chargé des affaires USA

1. hery ( 14/08/2014 16:29)
Fa misy inona no voatery mampiseho be mihitsy ny ambassade-n'i Amerika hoe mbola ao Madagasikara i Wong mpiandraiki-draharaha?
Tsy arako ilay resaka


Normalement, nous n'aurions pas pris la peine de rectifier chaque détaille de l’information erronées dans la presse. Mais, en réponse à plusieurs demandes, «la vérité» est que le Chargé d'Affaires Wong est encore en poste à Madagascar pendant les prochaines semaines. Nous invitons ceux qui ont la responsabilité d'informer le public de rapporter «la vérité» d’une manière correcte et précise ou simplement de contacter le Bureau de presse de l’Ambassade pour confirmer la véracité des faits avant de désinformer le public.(Nous sommes à votre service.) Les malgaches méritent des informations exactes - «la vérité réelle». #jollynews

2. hery ( 14/08/2014 16:36)
Nanomboka nijery tao amin'ny gazety "La Vérité" aho dia ity aloha no hitahitako tao.

La Vérité:


Marc Ravalomanana et Eric Wong - Des criminels notoires ?

Après que certains de ses lieutenants aient annoncé leur ultimatum pour son retour « sans conditions » avant le 20 août prochain, Marc Ravalomanana a fini par, à son tour, menacer carrément le Président de la République sur ce sujet. Et ce, en se prévalant d’avoir eu un entretien exclusif avec Eric Wong.
Confirmée par Guy Rivo Randrianarisoa, l’information, selon laquelle Marc Ravalomanana a eu un entretien exclusif avec Eric Wong, est ainsi avérée. Ce qui veut tout simplement dire que, après qu’il ait pris congé de son poste de Chargé d’affaires par intérim à l’Ambassade américaine, Eric Wong, au lieu de rentrer directement au pays de l’oncle Sam, a encore fait un détour à celui de Mandela pour rencontrer le Président de la République déchu. Ainsi, toujours d’après Guy Rivo Randianarisoa, le principal sujet, servi comme menu à la table de ces deux hautes personnalités, a trait à l’application des dispositions de l’article 20 de la Feuille de route et le droit à la détention d’un passeport valide. En d’autres termes, l’ex- Chargé d’affaires de l’Ambassade américaine et l’ex – Président de la République malgache ont mis en diapason leurs stratégies pour permettre au dernier de retourner au pays, blanc comme neige.
Cette obsession aveugle à vouloir, à tout prix, acculer au pied du mur tant le pouvoir transitoire que l’actuel en exercice, pour accepter le retour au pays de Marc Ravalomanana, commence à irriter plus d’un observateur averti. En effet, nul n’ignore, d’abord, que la Feuille de route a été « baptisée » avoir été la
« Loi fondamentale devant régir la Transition ». Ainsi, une fois les élections présidentielles bouclées et notamment après l’investiture officielle de Hery Rajaonarimampianina, cette Feuille de route a été mise au placard pour que la Constitution de la 4e République reste l’unique texte de base appelé à régir la vie de la Nation. Ensuite, personne n’est également pas encore prête à oublier que Marc Ravalomanana a bel et bien été condamné aux travaux forcés à perpétuité par la Cour criminelle ordinaire d’Antananarivo, sur l’affaire du 7 février 2009. De ce fait, ignorer ces deux fondamentaux équivaut à ouvrir grandement de larges boulevards à toutes les dérives.

Mauvaise foi manifeste

En effet, outre le fait que d’autres articles de cette fameuse Feuille de route n’aient pas pu être appliqués avant que la Transition ait abdiqué, celui,
portant le numéro 45, continue de revêtir un caractère crucial quant à l’application de celui numéro 20. Deux dispositions de la Feuille de route que personne n’a pu et ne peut faire dissocier, étant entendu que ce fut celles – ci qui avaient amené les camps Ravalomanana et Rajoelina à approuver, par la signature de leurs représentants respectifs, cette Feuille de route. Et sa mise en œuvre a permis à tous, y comprise la Communauté internationale, de ramener Madagascar dans l’ordre constitutionnel. C’est – à – dire, à avoir un Président de la République élu démocratiquement et à faire actionner, sans aucun ombrage, toutes les dispositions de l’actuelle Constitution. Ce qui veut tout simplement dire que haranguer uniquement l’article 20, tout en ignorant superbement celui numéro 45, relève d’une mauvaise foi manifeste, qu’il en soit son auteur.

Vulgaires… papiers hygiéniques

Ainsi, Eric Wong, notamment les Etats – Unis qu’il représentait à Madagascar, ne peut nullement fouler au pied les deux concepts fondamentaux régissant traditionnellement la vie de sa propre Amérique : bonne gouvernance et observation des droits humains. En effet, continuer à fustiger le statut et la qualité de la Cour criminelle ordinaire d’Antananarivo, comme nullement habilitée à juger Marc Ravalomanana, constitue donc pour Eric Wong un outil haranguant le monde entier à fouler au pied l’Etat de droit, pièce angulaire de la bonne gouvernance. Et, persister à ignorer la condamnation à perpétuité de Marc Ravalomanana équivaut ainsi pour Eric Wong une opération de mobilisation générale du monde entier à danser outrageusement sur les tombes de toutes les victimes du 7 février 2009. C’est – à – dire, à faire muer les droits humains en de vulgaires… papiers hygiéniques. Ni plus ni moins.
De tout ce qui précède, Marc Ravalomanana et Eric Wong pourront encore se rencontrer, autant de fois qu’ils veulent et n’importe où, sans que personne ne s’en émeuve. Car le fait est têtu : l’exilé d’Afrique du Sud peut bel et bien retourner à Madagascar mais, une fois ses pieds foulant le tarmac de l’aéroport international d’Ivato, il devra immédiatement se mettre à la disposition de la Justice de son pays pour répondre des accusations retenues contre lui, suite au carnage du 7 février 2009. Marc Ravalomanana qui, si bon lui semble, pourrait formuler une opposition à sa condamnation de travaux forcés à perpétuité, prononcée par la Cour criminelle ordinaire d’Antananarivo, pour être traduit de nouveau devant la même Cour, mais autrement composée, pour les mêmes chefs d’accusation se rapportant à cette boucherie humaine du 7 février 2009. Et, selon les dispositions du Code de procédure pénale, en de pareil recours, Marc Ravalomanana devra attendre en prison, sagement et comme tous les autres condamnés, l’adoption d’une nouvelle date de son audience. Faire déverser des arguments, autres que ceux relatés supra, dévoile que leurs auteurs, notamment Marc Ravalomanana et Eric Wong, iraient faire valoir, aux yeux du monde entier, qu’ils sont, tous les deux, des criminels notoires, en ne voulant nullement se plier, comme tout justiciable qui se respecte, à une décision de Justice d’une Nation indépendante et souveraine. Point - barre !


novalian'i hery ny 14/08/2014 16:35
3. rabaradaka ( 15/08/2014 10:50)
amiko dia tsy fahaiza-manaon'ny mpanao gazety ireny ary tokony ho samborina izay manely tsaho. Tsy mankasitraka ny fisamborana mpanao gazety i rabaradaka fa rehefa tsy mahay dia ny gazety no idina na aza misy mividy izay gazety fôpla e
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