Voky sy tonga saina ve ny CST sy CT sasany, dia mamely ny HAT? Ahoana ny entités TGV sy UDR-C sisa mi-foza? Hmm!!!
1. diloo
(
26/08/2011 09:05)
Débâcle au sein de la HAT
Il n’y a pas de fumée sans feu. Des membres de la HAT commencent à laver leur linge sale en public et cachent mal le malaise qui existe en son sein. Des partis politiques piliers depuis les premiers jours du régime de transition essaient aujourd’hui de se démarquer par rapport aux objectifs de la HAT en critiquant fortement ses actions. Les divers trafics, bois de rose et pierres précieuses en particulier, ainsi que l’insécurité grandissante sur l’ensemble du pays ternissent l’image de la période de transition.
9 des 11 forces politiques présentes au sommet de Gaborone, notamment les 6 signataires du Pacte républicain et les 3 mouvances sont favorables au retour des exilés politiques incluant Marc Ravalomanana.
Le TGV et l’UDR-C demeurent réticents.
Les six groupements sont l’AREMA, les AS, le HPM, l’ESCOPOL, le MDM et l’UAMAD:
Le MDM de Pierrot Rajaonarivelo, les AS menées par Voninahitsy Jean Eugène, l’AREMA aile Benjamin Vaovao, l’Escoppol d’Elia Ravelomanantsoa, le HPM de Victor Manantsoa, ainsi que l’UAMAD dirigé par Franky Randriamanjaka.
Ces membres du CST et du CT issus des 6 entités politiques signataires du Pacte Républicain, lancent un ultimatum à double tranchant à l’endroit de la HAT.
En effet, ils menacent de ne pas prendre part au processus électoral si la HAT n’accorde pas une réponse positive à cet « ultimatum ».
Le président national des Autres sensibilités a méme laissé entendre la possibilité d’une démission collective de leurs membres du gouvernement. « Si les tenants du régime transitoire actuel ne réagissent pas à notre requéte, nous prendrons une décision après le sommet de l’ONU », a-t-il soutenu.
L’Arema, l’Escopol, le HPM, Les AS, le MDM et l’UAMAD ont pris cette décision, puisqu’ils pensent en effet que l’actuel mode de gouvernance ne répond pas aux exigences des principes du Pacte Républicain et ses actions accentuent les problèmes sociaux endurés quotidiennement par la population.
Voninahitsy Jean Eugène a déclaré que « pour l’intérét supérieur de la Nation, nous (les six entités politiques) ne sommes pas contre le retour au pays de l’ancien président Ravalomanana ».
Pour le respect de la feuille de route, les signataires du Pacte Républicain sont contre la tenue en premier lieu des élections communales et régionales.
Il convient de noter que la copie de la déclaration commune publiée hier a été envoyée à la HAT, à la Troïka, aux dirigeants de la SADC, ainsi qu’à toutes les structures de la médiation internationale.
Cette signature permettra au pays de plaider pour le retour de Madagascar au sein de l’AGOA devant le Congrès américain.
A part les 6 entités, ce mercredi 24 août 2011, des délégués des notables (tangalamena, mpitankazomanga, ampanjaka…) issus des ex-six faritany ont été au tribunal à Anosy pour déposer auprès du procureur de la République, leur plainte et leur demande à ce que la HAT soit suspendue et que le pouvoir soit remis entre les mains des technocrates.
La craquelure sur le château de sable du Phat, continue :
Lalatiana Rakotondrazafy et Fidel Razanapiera, anciens « journalistes » de la radio Viva s’apitoient sur leur sort. Après avoir quitté la station radio du Phat Andry Rajoelina,
Elle s’est en effet fait évincer par Edgard Razafindravahy devant la justice. Ce dernier qui, selon elle a obtenu gain de cause pour l’unique raison qu’il soit apprécié par Andry Rajoelina et sa famille. « On a eu ce qu’on voulait de nous puis on nous a jeté comme de vieilles chaussettes », a-t-elle déploré sur les ondes de la Free FM.
Et d’exprimer sa déception du fait qu’elle attendait un vrai changement de la part des dirigeants, mais surtout d’Andry Rajoelina.
Vaovao notsongaina tao amin'ny Midi, Tananews, MaTV,..omaly
Inona moa izany, fa raikitra ny "la guerre des pinces": nofoteran'ny tandra mokotran-dreo ihany izao i ra-TGV, i ramarosaona, i ratsirahonahona, ireo bandy telo lahy tsalo masiso rasista mpanimba ny tany sy mpampahory vahoaka.
Dadany ny fivadian-javatra. Voky izany ireo 6 entités, no mety mahatsiaro tena, fa raha mijanona ho maimbo FATY eo, dia mety tsy voafidy "députés" atsy ho atsy mmanoloana ny safidim-bahoaka.
Asa koa, mety anao ahoana ny fijoron'ny miaramila manoloana ny fahamahana ny "crise"?
Dia samy miandry ny fanapahan-kevitra ny SADC, ny CPS, ny CI.
Aoka ho mailo ihany, fa mety hanome hevitra masiso ny lafirantsana ho an'ireo FATy sisa tavela hanao "baroud d'horreur" ny maro an'isa.
Masina ny Tanindrazana
novalian'i andrywui ny 30/08/2011 00:20
2. reeves
(
26/08/2011 10:20)
Efa tsara aloha ny fitsimbadik'ireto mpanao politika ireto hahafahana mamaha ny krizy kanefa na izany aza aoka ho fantatsika vahoaka fa tsy nohon'ny tombo-tsoam-bahoaka no hanaovany izany fa ho azy ireo manokana satria betsaka @ izy ireo no mbola mila amnistie vao afaka hiatrika fifidianana noho izany dia aleony aloha manaiky ny FR amendée izay garant n'izay fahafahan'ny rehetra hilatsaka izay . Rarakivy fotsiny sisa ny TGV sy URDC sisa , ka inona moa no azony atao ? Miseho azy be tetika nefa tetika tsy mety tafavoaka fa i Kotozafy ihany no Alexis , efa lasa mampiomehy be ny olona fotsiny sisa . Raha mitohy izao dia ho afaka hilatsaka daholo ny rehetra ka ny vahoaka sisa mitsara izay olona tiany hitondra azy dia izay lany eo dia lany . Raha mbola tsy izay no hitranga dia azo antoka ny mety hampisy guerre civile eto . Ny zavatra tsy azoko dia nahoana ireo miaramila neutre no tsy mandray andraikitra fa avela hatao tantely afa-drakotra ny Tafika , Zandary , polisy .
3. milamm
(
26/08/2011 13:39)
ny voky kalo tsy azoko inoana loatra diloo a, mamba noana tsy mahalala voky ireo rehetra ireo
tsy hiady seza sy hifamingana izy ireo anitatra ny krizy raha marina izay fa hifanoro sy hifanampy hevitra hialana @ zany. Ny hany avahako @ izy rehetra dia i Nadine Ramaroson zay tsy mitovy @ dadany mintsiny (sombitsony jereo eto) fangalarantanimpokonolona sy herisetra ataony societe bionexx an'i akbaraly namatsy ny fat t@ fanonganampanjakana
Ce 11 août 2011, Ralitera Andrianandraina, responsable de la sécurité de la HCC (Haute cour constitutionnelle) était libéré avec ses 4 co-accusés militaires par le tribunal d’Anosy, après presque 2 ans et demi de détention. Arrétés le 27 avril 2009, incarcérés le 6 mai, ils n’avaient cessé de clamer leur innocence. Les motifs d’inculpation étaient un fourre-tout et comprenaient des actes de violences, des meurtres et méme une tentative d’assassinat contre Andry Rajoelina. Les juges ont estimé qu’aucun dossier ne tenait, faute de preuve. Seul Ralitera a écopé d’un an pour détention illégale d’armes mais est ressorti libre étant donné qu’il a été détenu bien plus longtemps dans les geôles du pouvoir. La HAT avait tout fait pour retarder le procès.
Le méme jour, la ministre de la Population et des affaires sociales, Nadine Ramaroson, dénonçait à partir de sa page Facebook les agissements du Général Ravalomanana, responsable de l’Emmo-Reg. Elle accuse ce dernier d’avoir menti pour justifier les arrestations violentes et arbitraires dont étaient victimes ses collaborateurs le 4 août 2011. Ces fonctionnaires étaient en mission pour comprendre le fonds du litige opposant des paysans expulsés de leurs terres par une société dénommée Bionexx. Derrière cette entreprise se trouve un homme d’affaires connu, Akbaraly.
« Ma version sur l’affaire Faharetana / BIONEXX et l’arrestation de mes collaborateurs » est écrite de la main de la ministre elle-méme.
Vous avez été nombreux(ses) à avoir réagi et surtout à demander des éclaircissements sur cette énième affaire foncière opposant des paysans à une société privée étrangère. Je vous livre ci-après et dans les détails le déroulement des faits qui inclut l’arrestation humiliante, dégradante et discréditant de 3 membres de mon cabinet le 04 août 2011.
Les motifs évoqués :
- les membres du cabinet seraient entrés en effraction dans un domaine titré et borné
- ils auraient distribué des terres au « FOKONOLONA »
- ils auraient clôturé les terres en question et planté des drapeaux dessus
- ils auraient incité le Fokonolona à la rébellion
- ils auraient forcé un barrage des gendarmes et auraient pris la fuite
- ils auraient été interceptés à Ambatomirahavavy.
Ces informations ont été transmises par le Général RAVALOMANANA Richard par téléphone le Jeudi dans la soirée en réponse de ma demande d’explication.
Le vendredi 05 Août, j’ai demandé au Général RAVALOMANANA de recevoir mon Directeur de Cabinet, le Colonel RALAIVAO Pierre Louis Charles, signataire de l’ordre de mission, et Monsieur RAKOTONIRINA Angelo, Inspecteur du Cabinet, dans le bureau du Général RAVALOMANANA avec le chauffeur de la voiture 4X4 qui a emmené les missionnaires (les 3 membres de mon cabinet) sur place et un représentant du Fokonolona. Objet de cette visite : la confirmation que ces membres du cabinet étaient bel et bien porteurs d’un ordre de mission pour constater sur terrain les doléances présentées par des représentants du Fokonolona qui étaient venus au Ministère. Ces représentants du Fokonolona étaient venus pendant trois mois, solliciter notre Ministère pour leur venir en aide.
Le lundi 08 Août 2011, avec tout le STAFF du Ministère, nous nous sommes rendus sur les lieux aux fins de recoupement des accusations portées à ces membres du Cabinet en présence des Autorités Locales (Adjoint Chef District, Maire, Chef Fokontany ) et accompagnés de journalistes. Il s’est avéré que les membres du Cabinet ne sont ni entrés en infraction dans le domaine en question, n’ont distribué de lopins de terres, ni clôturé des terrains ou planté des drapeaux. Ils sont venus écouter le Fokonolona, et ont demandé à s’entretenir avec les responsables de la Société exploitante dénommée « BIONEXX » en présence de quatre gendarmes qui assuraient la sécurité de ladite société.
Selon les témoignages que nous avons recueillis sur place, aucune des accusations n’est fondée. Ils n’ont forcé aucun barrage mais ont dû contourner la route suite au fait qu’un tracteur de ladite société a été mis en travers de leur chemin. Ils ont dûment informé les quatre gendarmes qu’ils allaient déjeuner au village où ils ont été appréhendés par des éléments de la gendarmerie, et emmenés dans l’un des deux véhicules 4X4 de la société BIONEXX et suivi en renfort par deux camions entiers de gendarmes.
Nos membres du cabinet ont été brutalisés et poussés de force dans un des 4X4 de la société « BIONEXX » immatriculé 6866 TAH.
Il n’y a eu à aucun moment aucune incitation à la désobéissance civile ou à la rébellion. Le seul fait qui a été rapporté par les quatre gendarmes est que, la veille, le Fokonolona s’est couché devant le tracteur pour empécher la destruction de leurs cultures.
Nous avons écouté les récits des représentants du Fokonolona à savoir l’historique du terrain et les raisons de leurs doléances, ce à quoi ils ont répondu qu’ils ont eu à faire à plusieurs sociétés :
1965 : CENTRE NATIONALE AVICOLE
1973 : FERME D’ETAT
1983 : LIMA HOLDING
1989 : MAGRI
1991 : PICOR puis GENIA
2008 : SOPRAMAD
2010 : BIONEXX
Durant quarante ans, ils avaient exploité les terres en toute quiétude et méme après la convention obtenue par LIMA HOLDING avec l’Etat. L’arrivée de la société BIONEXX en 2009 aurait tout remis en cause : cette société leur aurait demandé soit de quitter les terres soit de les louer à la société pour Ar 400,000 HTVA/Ha/An. Une poignée de paysans de la commune voisine aurait accepté de payer ce loyer mais tout le Fokonolona des Fokontany Fenomanana et Antanimarina ont refusé aux motifs qu’ils ne vont pas louer leur propre terre qu’ils ont mise en valeur depuis quarante ans et pour faute de moyens. Faut-il encore préciser que ceux qui ont accepté de payer seraient des employés de BIONEXX. Il est également à noter qu’on parle d’une prétendue décision d’expulsion alors que le Fokonolona n’a jamais été convoqué au Tribunal dans ce sens.
Ce Fokonolona a instamment prié le Ministère de la Population et des Affaires sociales de se pencher sur son cas depuis trois mois mais c’est la démolition de leurs habitations et de leurs tombeaux ancestraux qui a amené le Ministère à dépécher une mission d’urgence sur place.
Nadine Ramaroson
Ministre de la Population et des Affaires sociales
santionany ihany io fa re siosio zao fa olona 2 tapitrisa no ho roasina tsy hanankialofana atrany alaotra, mahajanga manerana ny faritany fa omena ny vahiny mpampiasa vola eto ny tanindrazana nivoaka tao @ minisitera io ihany (anisany nodinihany reo miaramila mpioko milaza azy ho handray andraikitra @ krizy nivory teny fiadanana notarihiny ndrianarijaona izany/ tadidio fa ty farany ty de anisany resep sy element- ratsy iraka nitifitra teny mavoloha ny vahoaka nanao rodobe 1991 sy manamboninahitra hafa ao @ milisiny fat)
tsy hiady seza sy hifamingana izy ireo anitatra ny krizy raha marina izay fa hifanoro sy hifanampy hevitra hialana @ zany. Ny hany avahako @ izy rehetra dia i Nadine Ramaroson zay tsy mitovy @ dadany mintsiny (sombitsony jereo eto) fangalarantanimpokonolona sy herisetra ataony societe bionexx an'i akbaraly namatsy ny fat t@ fanonganampanjakana
Ce 11 août 2011, Ralitera Andrianandraina, responsable de la sécurité de la HCC (Haute cour constitutionnelle) était libéré avec ses 4 co-accusés militaires par le tribunal d’Anosy, après presque 2 ans et demi de détention. Arrétés le 27 avril 2009, incarcérés le 6 mai, ils n’avaient cessé de clamer leur innocence. Les motifs d’inculpation étaient un fourre-tout et comprenaient des actes de violences, des meurtres et méme une tentative d’assassinat contre Andry Rajoelina. Les juges ont estimé qu’aucun dossier ne tenait, faute de preuve. Seul Ralitera a écopé d’un an pour détention illégale d’armes mais est ressorti libre étant donné qu’il a été détenu bien plus longtemps dans les geôles du pouvoir. La HAT avait tout fait pour retarder le procès.
Le méme jour, la ministre de la Population et des affaires sociales, Nadine Ramaroson, dénonçait à partir de sa page Facebook les agissements du Général Ravalomanana, responsable de l’Emmo-Reg. Elle accuse ce dernier d’avoir menti pour justifier les arrestations violentes et arbitraires dont étaient victimes ses collaborateurs le 4 août 2011. Ces fonctionnaires étaient en mission pour comprendre le fonds du litige opposant des paysans expulsés de leurs terres par une société dénommée Bionexx. Derrière cette entreprise se trouve un homme d’affaires connu, Akbaraly.
« Ma version sur l’affaire Faharetana / BIONEXX et l’arrestation de mes collaborateurs » est écrite de la main de la ministre elle-méme.
Vous avez été nombreux(ses) à avoir réagi et surtout à demander des éclaircissements sur cette énième affaire foncière opposant des paysans à une société privée étrangère. Je vous livre ci-après et dans les détails le déroulement des faits qui inclut l’arrestation humiliante, dégradante et discréditant de 3 membres de mon cabinet le 04 août 2011.
Les motifs évoqués :
- les membres du cabinet seraient entrés en effraction dans un domaine titré et borné
- ils auraient distribué des terres au « FOKONOLONA »
- ils auraient clôturé les terres en question et planté des drapeaux dessus
- ils auraient incité le Fokonolona à la rébellion
- ils auraient forcé un barrage des gendarmes et auraient pris la fuite
- ils auraient été interceptés à Ambatomirahavavy.
Ces informations ont été transmises par le Général RAVALOMANANA Richard par téléphone le Jeudi dans la soirée en réponse de ma demande d’explication.
Le vendredi 05 Août, j’ai demandé au Général RAVALOMANANA de recevoir mon Directeur de Cabinet, le Colonel RALAIVAO Pierre Louis Charles, signataire de l’ordre de mission, et Monsieur RAKOTONIRINA Angelo, Inspecteur du Cabinet, dans le bureau du Général RAVALOMANANA avec le chauffeur de la voiture 4X4 qui a emmené les missionnaires (les 3 membres de mon cabinet) sur place et un représentant du Fokonolona. Objet de cette visite : la confirmation que ces membres du cabinet étaient bel et bien porteurs d’un ordre de mission pour constater sur terrain les doléances présentées par des représentants du Fokonolona qui étaient venus au Ministère. Ces représentants du Fokonolona étaient venus pendant trois mois, solliciter notre Ministère pour leur venir en aide.
Le lundi 08 Août 2011, avec tout le STAFF du Ministère, nous nous sommes rendus sur les lieux aux fins de recoupement des accusations portées à ces membres du Cabinet en présence des Autorités Locales (Adjoint Chef District, Maire, Chef Fokontany ) et accompagnés de journalistes. Il s’est avéré que les membres du Cabinet ne sont ni entrés en infraction dans le domaine en question, n’ont distribué de lopins de terres, ni clôturé des terrains ou planté des drapeaux. Ils sont venus écouter le Fokonolona, et ont demandé à s’entretenir avec les responsables de la Société exploitante dénommée « BIONEXX » en présence de quatre gendarmes qui assuraient la sécurité de ladite société.
Selon les témoignages que nous avons recueillis sur place, aucune des accusations n’est fondée. Ils n’ont forcé aucun barrage mais ont dû contourner la route suite au fait qu’un tracteur de ladite société a été mis en travers de leur chemin. Ils ont dûment informé les quatre gendarmes qu’ils allaient déjeuner au village où ils ont été appréhendés par des éléments de la gendarmerie, et emmenés dans l’un des deux véhicules 4X4 de la société BIONEXX et suivi en renfort par deux camions entiers de gendarmes.
Nos membres du cabinet ont été brutalisés et poussés de force dans un des 4X4 de la société « BIONEXX » immatriculé 6866 TAH.
Il n’y a eu à aucun moment aucune incitation à la désobéissance civile ou à la rébellion. Le seul fait qui a été rapporté par les quatre gendarmes est que, la veille, le Fokonolona s’est couché devant le tracteur pour empécher la destruction de leurs cultures.
Nous avons écouté les récits des représentants du Fokonolona à savoir l’historique du terrain et les raisons de leurs doléances, ce à quoi ils ont répondu qu’ils ont eu à faire à plusieurs sociétés :
1965 : CENTRE NATIONALE AVICOLE
1973 : FERME D’ETAT
1983 : LIMA HOLDING
1989 : MAGRI
1991 : PICOR puis GENIA
2008 : SOPRAMAD
2010 : BIONEXX
Durant quarante ans, ils avaient exploité les terres en toute quiétude et méme après la convention obtenue par LIMA HOLDING avec l’Etat. L’arrivée de la société BIONEXX en 2009 aurait tout remis en cause : cette société leur aurait demandé soit de quitter les terres soit de les louer à la société pour Ar 400,000 HTVA/Ha/An. Une poignée de paysans de la commune voisine aurait accepté de payer ce loyer mais tout le Fokonolona des Fokontany Fenomanana et Antanimarina ont refusé aux motifs qu’ils ne vont pas louer leur propre terre qu’ils ont mise en valeur depuis quarante ans et pour faute de moyens. Faut-il encore préciser que ceux qui ont accepté de payer seraient des employés de BIONEXX. Il est également à noter qu’on parle d’une prétendue décision d’expulsion alors que le Fokonolona n’a jamais été convoqué au Tribunal dans ce sens.
Ce Fokonolona a instamment prié le Ministère de la Population et des Affaires sociales de se pencher sur son cas depuis trois mois mais c’est la démolition de leurs habitations et de leurs tombeaux ancestraux qui a amené le Ministère à dépécher une mission d’urgence sur place.
Nadine Ramaroson
Ministre de la Population et des Affaires sociales
santionany ihany io fa re siosio zao fa olona 2 tapitrisa no ho roasina tsy hanankialofana atrany alaotra, mahajanga manerana ny faritany fa omena ny vahiny mpampiasa vola eto ny tanindrazana nivoaka tao @ minisitera io ihany (anisany nodinihany reo miaramila mpioko milaza azy ho handray andraikitra @ krizy nivory teny fiadanana notarihiny ndrianarijaona izany/ tadidio fa ty farany ty de anisany resep sy element- ratsy iraka nitifitra teny mavoloha ny vahoaka nanao rodobe 1991 sy manamboninahitra hafa ao @ milisiny fat)
4. diloo
(
26/08/2011 17:30)
Sali milamm,
Tena mavesatra be ny marikao (tsy ratsy,mdr)
Tsara aloha rehefa tonga saina e!
Dommage fotsiny, rehefa voakapoka ny rambony ny HAT amin'ny alalan'ny ireo mpanatanteraka ny fandrahonana, i ra8baomba sy ny rainy ra-jeneraly sandoka, izay mpanao fomba polpot(cambodge), izao i Nadine vao mijoro ho miaro ny zon' ny olombelona.
Toa lasa Kramer contre Kramer izany izy mianaka, kle.
Tokony hamonjy ireo entités 6 ireo i Nadine dia en'izao hanao réconciliation sy apaisement.
Toa efa manao sinema sahady ny FATy sisa mbola velona, handrahona ireo izay mamely azy:
Mety ho toa io ambony io koa angamba no hitranga, ho an'ireo 6 entités ireo.
(Rohim-baovao notsongaina tao amin'ny MaTV)
Izay oa. Aleo amin'izay hifandray tanana, dia hiara hitsinjo ny ho avin'ny Firenena malalantsika ity. Aoka hitsinjo ny vahoaka amin'izay ny mpanao politika rehetra tsy ankanavaka. Atao ny fifidianana consensuelle et inclusive sous le contrôle de la CI.
Ny vahoaka ihany no tompon'ny fahefana fara-tampony manoloana izay filoha fidiany hitondra ny fanjakana mifanandrify amin'ny Ordre Constitutionnel tena izy.
ny voky kalo tsy azoko inoana loatra diloo a, mamba noana tsy mahalala voky ireo rehetra ireo
Tena mavesatra be ny marikao (tsy ratsy,mdr)
Nadine Ramaroson, dénonçait à partir de sa page Facebook les agissements du Général Ravalomanana, responsable de l’Emmo-Reg. Elle accuse ce dernier d’avoir menti pour justifier les arrestations violentes et arbitraires dont étaient victimes ses collaborateurs le 4 août 2011.
Tsara aloha rehefa tonga saina e!
Dommage fotsiny, rehefa voakapoka ny rambony ny HAT amin'ny alalan'ny ireo mpanatanteraka ny fandrahonana, i ra8baomba sy ny rainy ra-jeneraly sandoka, izay mpanao fomba polpot(cambodge), izao i Nadine vao mijoro ho miaro ny zon' ny olombelona.
Toa lasa Kramer contre Kramer izany izy mianaka, kle.
Tokony hamonjy ireo entités 6 ireo i Nadine dia en'izao hanao réconciliation sy apaisement.
Toa efa manao sinema sahady ny FATy sisa mbola velona, handrahona ireo izay mamely azy:
Le numéro un du parti FAVORIA, Norbert Razafimbelo, vient d’étre arrété mercredi après-midi par des éléments de la Direction de la Sécurité du Territoire dans un restaurant d’Anosy.
Il est accusé d’atteinte à la sûreté de l’État. Ce dernier aurait tenté de semer des perturbations dans le pays et de déstabiliser le régime. Un fait qui surprend quand méme plus d’un dans la mesure où il était l’un des défenseurs et faiseurs de ce régime de la Haute Autorité de la Transition.
Immédiatement interrogé par la Direction de la Sécurité du Territoire après son arrestation, le numéro un de FAVORIA est actuellement placé en détention préventive auprès de la Brigade Criminelle, à Anosy.
Les proches de Norbert Razafimbelo ont du mal à croire les accusations portées contre lui dans la mesure où il a beaucoup Å“uvré à la chute du régime de Marc Ravalomanana et à l’avènement du régime de la HAT.
En tout cas, Norbert Razafimbelo a commencé à critiquer le régime de la HAT et le gouvernement lorsqu’une tentative de limogeage de Maurice Tsiavonana, un des membres de FAVORIA, au poste de conseiller au Consulat de Madagascar à Marseille, a été dénoncée par lui-méme. Le désaccord entre les tenants du pouvoir et Norbert Razafimbelo a-t-il ainsi été déclenché depuis ces critiques acerbes ?
Mety ho toa io ambony io koa angamba no hitranga, ho an'ireo 6 entités ireo.
La donne politique a-t-elle réellement changé ? Il semble que oui. Rajoelina a perdu une partie de ses alliés, selon les observateurs, notamment une aile de l’Escopol et les Autres Sensibilités (Les AS). Ils menacent de démissionner leurs ministres. Ce qui est prévisible car les intéréts deviennent divergents au sein de la HAT.
C’est à raison que de nombreux leaders d’opinion estiment que la réconciliation nationale est incontournable dans la refondation de la République.
(Rohim-baovao notsongaina tao amin'ny MaTV)
Izay oa. Aleo amin'izay hifandray tanana, dia hiara hitsinjo ny ho avin'ny Firenena malalantsika ity. Aoka hitsinjo ny vahoaka amin'izay ny mpanao politika rehetra tsy ankanavaka. Atao ny fifidianana consensuelle et inclusive sous le contrôle de la CI.
Ny vahoaka ihany no tompon'ny fahefana fara-tampony manoloana izay filoha fidiany hitondra ny fanjakana mifanandrify amin'ny Ordre Constitutionnel tena izy.
5. mirananirina
(
28/08/2011 08:11)
Asa aloha raha ny vahoaka no tompony ny fahefana sy ny firenena fa mahay de mahay mitady vola tokoa izy ireo,velombelopoana na betsaka aza ny tsy manana trano intsony.
Izany lalàna izany dia tsy misy eto Mcar,mandainga izay milaza fa misy ny lalàna eto.Izay manambola sy manampahefana no tompon'ny lalàna.Na tamin'ny fitondran'iza na iza.
Izany lalàna izany dia tsy misy eto Mcar,mandainga izay milaza fa misy ny lalàna eto.Izay manambola sy manampahefana no tompon'ny lalàna.Na tamin'ny fitondran'iza na iza.
6. milamm
(
28/08/2011 23:04)
dillo, ranôribera kalo efa vita ny nilavany azy tsy ilaniny tsony @ zao fotoana de amboarina @ zay tahaka reo mpiasany viva notsofina tahaka ny labozia
lalàna zany ry mirananirina efa 30 volana no foana ka jereo fotsiny fitondrampanjakana aza angalarina ny paedophile njay zao no mahazo famotsorankeloka sy ny mpanodimbolampanjakana ny firenena rehetra any ivelany efa miampanga reto mpandroba fahefana na i sarko aza, tsy zvbaovao tsony zany e
lalàna zany ry mirananirina efa 30 volana no foana ka jereo fotsiny fitondrampanjakana aza angalarina ny paedophile njay zao no mahazo famotsorankeloka sy ny mpanodimbolampanjakana ny firenena rehetra any ivelany efa miampanga reto mpandroba fahefana na i sarko aza, tsy zvbaovao tsony zany e
7. andrywui
(
30/08/2011 00:20)
sali malammnn ,,,sao de miteniteny foana ndray elah io zao fa tsisy raison mitsy a pedophile aona ndray io ??? ..... aotsan'ny oul eo elah fa pedo a pede