tsy hiandry messie zany ka, manaraka izany tsikera efa nanomboka ny 17 marsa 09 no nipariaka izany hatrany am-pototsofiny firenena rehetra, tsy maintsy tohizana eny satria mbola ao anatiny haiziny jadona ny firenena.
1. Hoy ilay Sata tena Malagasy voalohany indrindra tsy narafitry ny vahiny, tsoaka avy ao @
"Ombalahibemaso" Andrianampoinimerina
- Tsy adidiko izaho samirery, fa adidiko izaho sy ianao
2. May volon-tratra ny mpanongam-panjakana fat noho ny antony maro samihafa ka manao hitsin-dalana fahatany,anisan'izany ny famatsiam-bola any ivelany lazain'izy ireo tsy ilainy io no tena antony ikarakarany ireo fifidianana 17/11 izao sy ny manaraka ho avy (tombano maso kely ange ny voalazany matoan-dahatsoratry ny jeune afrique omaly e momba izany
Les chiffres publiés par l’institution, rapportés par «jeuneafrique.com», soulignent le retour à une croissance de 5 % en 2010. Les politiques macroéconomiques saines mises en place par la plupart des États avant la crise n’y sont pas étrangères. Du nord au sud, blanche ou noire, l’Afrique est repartie. Fini les récessions de l’année 2009 au Gabon, au Botswana ou en Afrique du Sud ! Les chiffres et les commentaires publiés par le Fonds monétaire international (FMI) à Washington, mercredi 6 octobre, sont éloquents : le Maghreb (Mauritanie, Maroc, Algérie, Tunisie et Libye), qui croissait de 2,4 % en 2009, est passé à la vitesse supérieure et devrait progresser de 5 % en 2010 et de 4,6 % en 2011. L’Égypte accélère : 4,7 % en 2009, 5,3 % en 2010 et 5,5 % en 2011. En Afrique subsaharienne (5 % en 2010 et 5,5 % en 2011), la pluie de chiffres favorables est tout aussi spectaculaire. On y trouve bien sûr des « petites Chine » : les champions pétroliers comme le Congo (10,6 % cette année) ou le Nigeria (7,4 %), mais aussi les nations les plus pauvres comme l’Éthiopie (8,5 % en 2011) ou la Tanzanie (6,7 %). Malgré son instabilité politique chronique, la Côte d’Ivoire affiche un 4 % tout à fait honorable. Les seules économies du continent qui croissent à un rythme « à l’européenne », inférieur à 2 %, sont Madagascar et la Guinée équatoriale.Cette santé florissante s’explique d’abord « par les bonnes politiques macroéconomiques mises en place avant la crise et qui ont dégagé des capacités budgétaires pour contrer le ralentissement », a analysé Rupa Duttagupta, du département recherche du FMI. Autrement dit, les processus d’ajustement et les remèdes de cheval appliqués en Afrique par le FMI et la Banque mondiale n’ont pas eu que des inconvénients. Ils ont contribué à réduire la dette africaine et à faire adopter par les gouvernements des comportements budgétaires plus vertueux qui leur ont permis d’accumuler des réserves bienvenues aujourd’hui.
Tous ces efforts ont été épaulés par les institutions financières internationales, qui ont compensé les promesses non tenues des pays riches. Des milliards de dollars sont aussi venus de Chine, d’Inde et du Brésil, sous forme d’achats colossaux de matières premières (pétrole, fer, coton, cacao, manganèse, cuivre, etc.).
