Pas d'actions concrètes. Des informations circulent sur des versements de sommes importantes dans les comptes bancaires de certaines hautes personnalités de la sphère politique. Des déclarations non officielles non méconnues du Service de renseignements financiers (SAMIFIN) et qui ne le laissent pas indifférent.
Cependant, son statut de Service de renseignements financiers administratif ne lui permet pas de procéder à une auto-saisine, tant que les institutions bancaires ne déposent pas de déclaration officielle de soupçon. Pour le moment, ce n'est pas le cas. « Et cela, malgré les bruits qui circulent sur le gonflement excessif de comptes bancaires » confirme Jean-Claude Razaranaina, directeur général du SAMIFIN. « Nous ne pouvons pas intervenir, car dans ce cas nous faisons entrave à la liberté d'autrui » poursuit ce responsable.
Cette entité a organisé récemment une séance de formations et de sensibilisation des responsables bancaires pour rappeler leur rôle dans la lutte contre le blanchiment de capitaux et de détournement de deniers publics. Les formations ont porté sur les techniques d'identification d'opérations suspectes. Selon la législation qui régule la lutte contre le blanchiment de capitaux, les institutions bancaires figurent parmi les structures qui doivent faire des déclarations et d'informer le SAMIFIN en cas de transactions douteuses.
Lantoniaina Razafindramiadana
Date : 21-10-2009 l'Express
Des informations circulent sur des versements de sommes importantes dans les comptes bancaires de certaines hautes personnalités de la sphère politique
Ireo ao @ HAT ireo ihany zany é,asio ampamoaka ry Roindefo de milamm zany a
ndana elah mihosotra pipi-tsokatra de manisy pilasy ny derika fa miala ndray rasalopard, sady le hotran'elah zao mintsy no tena reviny,tapeno ihany aloha ny vava sao ,lery mantsy dimbaka be
