Politika fitrandrahana ahavitan' ny olona mivarotra ny olona mitovy aminy . .

1. AndriambyII ( 06/08/2012 08:24)
Juan de nova, Oil and GasY (bad) story - 1ère partie
lundi 6 août 2012, par Pitchboule (agoravox)


Figure 1 in «USGS Assessment of Undiscovered Oil & Gas Resources of Four East Africa Geologic Provinces»

L’US Geological Survey a remis au président Obama en Avril 2012 un rapport stratégique qui évalue les réserves en énergies fossiles de 4 nouvelles « provinces » énergétiques dans l’Océan Indien : la côte tanzanienne, la côte mozambicaine, les Seychelles, la côte ouest malgache (Morondava Basin).

Les potentiels sur une région vue désormais comme un nouveau Moyen-Orient énergétique, sont suffisamment alléchants pour que Total se soit montré prét à racheter 20% des droits de l’opérateur ENI sur les énormes champs gaziers offshore nouvellement découverts au large du Mozambique pour un montant de 2,6 milliards de $. Ces montants reflètent ce que la société Total S.A reconnait elle-méme : la nécessité urgente de rattraper son retard sur l’offshore de l’Afrique de l’Est.

L’appétit de Total s’étend ainsi aux autres territoires de la région : le pétrolier français vient de signer un contrat de partage de production avec le Kenya. Il détiendra une participation de 100 % à titre d’opérateur sur un permis d’exploration couvrant plus de 10 000 km2. « Cette opération s’inscrit dans la stratégie d’ancrage de Total en Afrique de l’Est dans des nouveaux bassins aux thématiques d’exploration prometteuses en s’appuyant sur l’expertise mondialement reconnue du groupe dans l’offshore profond », commente Jacques Marraud des Grottes, directeur Afrique de la branche Exploration-Production de Total.

Si Total s’implique autant, à propos de ce qui pourrait paraître de simples potentialités en eaux africaines, peut-on croire à son indifférence affichée à propos de ce territoire prétendument français situé à seulement 200 kms de là : les potentiels de Juan de Nova (JDN) et de la province malgache, qui sont estimés par le rapport de l’USGS à quelques 17 milliards de barils de pétrole et 167 000 milliards de pieds cubes de gaz- soit au niveau de l’Angola, 15ème au classement mondial en termes de réserves - n’intéresseraient-ils donc pas la compagnie française ?

Ces données remettent au premier plan un dossier sur lequel les pouvoirs publics malgaches successifs font curieusement preuve de la plus grande et de la plus suspecte discrétion. Alors que les annonces d’achat, les manÅ“uvres de rapprochement et de regroupement des opérateurs de la province Est Africaine font régulièrement les unes de l’actualité Oil & Gas, à l’inverse à propos de l’île de Juan de Nova, les opérateurs et les autorités malgaches font preuve d’un mutisme absolu.

Ce silence et l’inactivité diplomatique et économique actuels sur ce sujet des Éparses et de JDN devrait nous préoccuper : tant sur le plan politique intérieure (entretenir le nationalisme, est toujours de bon ton quand il s’agit de faire oublier ses propres bétises) que sur le plan économique ou géopolitique, des postures fermement prises permettraient de mieux s’affirmer dans une négociation avec la France et les voisins. Le silence des dirigeants successifs sur ce sujet ne peut que préter à soupçon.

Les jeux d’ombres sont pourtant là : « L’ex-ministre malgache des mines et des hydrocarbures Mamy Ratovomalala, qui avait milité pour la nomination de Bonaventure Rasoanaivo à la téte de l’Office des mines nationales et des industries stratégiques (Omnis), perd peu à peu de l’influence sur son ancien poulain. Nommé en septembre dernier, Rasoanaivo se sert amplement de la nouvelle proximité entre sa sÅ“ur, Lalao Rasoanaivo, et la femme du chef de l’Etat Mialy Rajoelina pour avoir un accès direct au patron de la Haute autorité de transition (HAT). Lalao, qui est également directrice de la Radio nationale malgache » (Lettre de l’Océan Indien)… L’ancien dirigeant, Marc Ravalomanana, a été déboulonné sur le prétexte de dérives identiques.

L’opacité douteuse de ce dossier interpelle d’autant plus que les opérateurs offshore chouchoutent outrageusement les acteurs de l’administration malgache en charge du domaine pétrolier. Marcel Bernard, ministre des hydrocarbures, invité de dernière minute au sommet international du pétrole organisé par l’Institut Français du Pétrole (IFP) à Paris en mai 2012, a eu l’honneur d’y faire tribune au méme rang que le Secrétaire Général de l’OPEP, le Ministre de l’Énergie des Emirats Arabes Unis ou le Ministre de l’Energie et de l’Industrie du Qatar. Le PDG de Total, Christophe de Margerie, et son directeur Exploration en ont profité pour rencontrer le ministre malgache. Dans le méme temps, le directeur de l’OMNIS, Bonaventure Rasoanaivo, se faisait dérouler le tapis rouge par l’américain Marex petroleum et le franco-nigérian Sapetro, titulaires de permis offshore sur le bloc malgache de Belo Profond du champ Juan de Nova, qui l’ont invité à Houston pour prendre part à l’Offshore Technology Conference.

L’exploitation du territoire de Juan de Nova est, on le rappelle, controversée (voir le dossier Juan de Nova, du gaz dans l’eau entre Madagascar et la France). Objets de litiges entre la France, Madagascar, les Comores, Maurice, mais aussi le Mozambique qui revendiquent les uns et les autres leurs souveraineté respective, les Zones Économiques Exclusives (ZEE) dessinées sur la région ne sont pas reconnues par les différentes parties. Des délimitations existent de manière théorique, utilisées par les opérateurs de la grande péche pour la définition de leurs zones d’intervention et la gestion de leurs quotas, mais elles n’ont jamais fait l’objet d’aucun accord ni traité. Les permis de recherche sur Juan de Nova accordés par le ministère français de l’environnement sont caractérisés par des « limites séparatives entre la France et Madagascar à déterminer ». La ZEE française sur les éparses est elle-méme définie (loi du 16 juillet 1976) « depuis la limite des eaux territoriales jusqu’à 188 miles marins au-delà de cette limite, sous réserve d’accords de délimitation avec les États voisins ».

Dans ces conditions, une déstabilisation de la région, reflet des conflits d’intéréts qui s’engageront en cas de découvertes majeures de gaz ou de pétrole, s’avère probable…. Pour peu que ces découvertes se confirment… Et que les intéréts et les enjeux soient réels.

Enjeux supposés, enjeux réels, enjeux cruciaux…

Le spectre d’une proche pénurie d’énergies fossiles, la flambée des cours portée de manière supposée par la croissance des émergents, la crise financière et les enjeux de sécurité énergétique au regard de l’inquiétante instabilité d’un Moyen orient prét à s’embraser, la remise en question du nucléaire et les coûts des énergies alternatives ont remis au premier plan l’exploitation des ressources non conventionnelles (offshore profond, huiles, lourdes, gaz de schiste) et rebattu les cartes de l’économie du pétrole.

La géopolitique mondiale en est bouleversée. Elle voit désormais les États-Unis, grâce à une politique volontaire de développement de la filière gaz de schiste, viser l’autosuffisance à l’horizon 2017 et passer méme du statut d’importateurs à exportateurs de gaz et de pétrole à terme. Ils y tirent un avantage économique prépondérant qui relance leur industrie chimique et transforme la vision de leur rôle sur la scène géopolitique mondiale en réduisant drastiquement leur dépendance énergétique.

La France a bien évidemment, de manière identique, des enjeux immédiats à sauvegarder à propos de potentiels supposés de Guyane ou de Juan de Nova :
1. L’amélioration de l’équilibre de sa balance commerciale : en ces temps où il fait bon de réduire les besoins d’emprunt à l’extérieur, dégager des excédents commerciaux en réduisant sa facture énergétique voire en exportant du gaz ou du pétrole est loin d’étre anodin.
2. Une moindre dépendance stratégique et politique vis-à-vis de PARTENAIRES fournisseurs de gaz parfois un peu trop prompts au chantage énergétique, qui permettra de mieux négocier des positions diplomatiques (Russie ou l’Algérie).
3. Un meilleur ancrage stratégique sur l’échiquier européen en se positionnant en fournisseur d’énergie potentiel, en particulier vis-à-vis d’une Allemagne décidée à abandonner le nucléaire.
4. La disponibilité d’une énergie peu chère qui permettra des gains de productivité et une amélioration d’une compétitivité - oh ! combien cruciale - quand il s’agit de remettre en question un modèle social dont la variable d’ajustement est le coût du travail, et le redéploiement d’une activité industrielle et chimique de premier plan.
5. Des rentrées fiscales « substantielles » sur le territoire administratif concerné (à ce sujet, il faut remarquer que quand les pouvoirs malgaches se contentent d’un 1% de redevances pétrolières, les territoires français taxent la production à 12%).

… Et ce, sans préjuger des enjeux de géopolitique régionale.

Le gouvernement français assurait à ce sujet en mai 2012 que les réserves pétrolières de Guyane pourraient permettre d’assurer à la France un approvisionnement important en hydrocarbures, à coût réduit par rapport aux prix du marché. « Ces réserves représentent un enjeu important pour la France en contribuant à réduire le déficit de la balance commerciale essentiellement lié aux achats de pétrole et de gaz et à améliorer la compétitivité de notre économie » déclarait la ministre française de l’écologie, du développement durable et de l’énergie. Et d’ajouter : « l’exploitation des gisements guyanais contribuera à libérer des marges de manÅ“uvre budgétaires pour le financement de la transition énergétique. »

Ici, si les potentialités se vérifient autour des îles éparses, comme elles s’avèrent en Guyane, le visage de la France et sa place dans le monde ces prochaines années en seront profondément transformées. À la condition que les appétits réveillés chez les uns et les autres puissent étre contrôlés.

Parce que des appétits « inopportuns » ne manqueront pas de s’éveiller : à propos des découvertes de pétrole en Guyane française, le Brésil envisage d’étendre sa zone continentale. Cette extension, pour peu que les gisements s’étendent des deux côtés des ZEE françaises et brésiliennes, déclenchera un conflit de souveraineté entre Paris et Brasilia. Pourtant ici des ZEE reconnues existent.

Bien évidemment, une revendication pour le rétablissement de la pleine souveraineté de Madagascar sur ces îles et son abandon de facto par la France pourraient étre légitimement envisagés. Les instances internationales d’arbitrage pourraient méme trancher en faveur de la République de Madagascar. Les arguments juridiques et historiques ne manquent pas qui iraient dans ce sens… Mais à quel délai ? La France, membre du Conseil de sécurité de l’Onu a largement le pouvoir de faire traîner pendant des dizaines d’années procédures et applications des décisions… Le renvoi systématique de session en session de l’examen de cette question à l’Onu le prouve.

Sur Juan de Nova, une délimitation des Zones Economiques Exclusives respectives semble donc indispensable pour qu’on puisse envisager une mise en exploitation des potentiels de la zone. Mais, on le voit à l’exemple de la situation guyano-brésilienne, une simple négociation des ZEEs s’avère douteuse et inefficace à moyen terme ou méme long terme.

De toute façon, la négociation multipartite qui mettrait, de manière nécessaire, simultanément en jeu tous les acteurs de la région sur un projet de délimitation des ZEEs respectives, à savoir la France (Mayotte, Les ÃŽles Éparses), les Comores, Madagascar, le Mozambique et Maurice s’avèrerait longue et périlleuse à établir. Des accords bilatéraux négociés respectivement avec chacun des interlocuteurs de la zone seraient ainsi bien mieux venus. La solution est bien évidemment là, dans des accords de cogestion (préconisés par la Commission de l’Océan Indien en décembre 1999) qui, portant sur un partage de la gestion des ZEE et non pas sur les territoires contestés, ne remettraient pas en cause les souverainetés, sujet politiquement sensible à manier face aux opinions publiques nationales.

À la lecture de ces enjeux et de la chronologie des évènements, l’hypothèse et le scénario d’un complot, impliquant une « françafrique » stupidement convaincue de la nécessité d’une intervention qui mettrait en place un pouvoir favorable à un compromis, n’acquièrent-ils pas toute leur vraisemblance ?


Mivoaka ve ny sary ?
novalian'i laza5700 ny 20/08/2012 15:41
2. AndriambyII ( 06/08/2012 08:45)
La prochaine fois ! c' est un article de Mada tribune .Tsy tokony hisy hiditra @ izany ireo vahiny ireo fa aleo ho ao io fa ho voatrandratsika foana io rehefa ela ny ela . Manainga ny malagasy rehetra , na aiza na aiza misy azy hampihantra ny droit de veto Patriotique .
3. laza5700 ( 16/08/2012 01:34)

AndriambyII:

La prochaine fois ! c' est un article de Mada tribune .Tsy tokony hisy hiditra @ izany ireo vahiny ireo fa aleo ho ao io fa ho voatrandratsika foana io rehefa ela ny ela . Manainga ny malagasy rehetra , na aiza na aiza misy azy hampihantra ny droit de veto Patriotique .


Ty Andriambill ty lay tsy mirevy bandy na sipa mahay na nahita fianarana ...raha vao mahita razoky be baoritra sy mamiratra tonga dia mivaralila dirim-pialonana.

Incohérent mihintsy lay fihetsika= tsy faly refa ivarotan-rDra8 sy Andry saka be loha....bandy samy tsy nahita fianarana. Nefa ireo vato nasondrotry ny tany mety mba hitondra zava-tsoa koa ankahalaina. Sa Andriambill no hitondra ngamba vao ho afapo? hihihi

Mazotoa Andriambill a. Mangalà aloha baoritra bdb dia mety mba tsy mialona izay avara-pi tsony am'manaraka.

Milay ilay resak'i Lalatiana ka. Mirary koa raha mirary ny avara-pi rehetra eto amintsika mba samy hitondra ny anjara birikiny avy araka izay domaine hainy...erikerika hono mahatondra-drano.
4. AndriambyII ( 17/08/2012 08:49)
Dia tsy azon- dralaza mihintsy ve ny dikan" lay hoe baoritra ? Dokam-- baoritra @ media baoritra ! fari-pahaizana baoritra ! trano baoritra ! fiara baoritra ! mpitsara baoritra ! fianarana baoritra ! fanjakana baoritra ! olona mtafy baoritra ! fitsaboana baoritra ! finoana baoritra !Fivavahana baoritra ! Tsenambarotra baoritra ! hitadiavana vola baoritra !! loll !!
Izao zao tadiavin-dry zalah kou ny hampiasana baoritra ganakanadiana hitrandrahana ny harena baoritra malagasy ! volamena baoritra ! solika baoritra ! vato baoritra !@ alalan' ny olona voavidin' ny marika baoritra snou !baoritra karana ! baoritra thailandais !baoritra frantsay ! baoritra amerikana ! ...! voavidin' ny vola baoritra ! ny credit bankim- baoritra !ny doctoratm-baoritra ! ny ingenioratm-baoritra ! ny magistratm-baoritra ! ....! ny avaram-pianaram-baoritra rehetra rehetra ! izay ilay tiako lazaina ralaza ! Pouahahahahh ! fahaizana voavidin' ny baoritra ! loll !!

Mankalaza ralaza belazazalazao !
5. laza5700 ( 17/08/2012 21:16)

AndriambyII:

Dia tsy azon- dralaza mihintsy ve ny dikan" lay hoe baoritra ? Dokam-- baoritra @ media baoritra ! fari-pahaizana baoritra ! trano baoritra ! fiara baoritra ! mpitsara baoritra ! fianarana baoritra ! fanjakana baoritra ! olona mtafy baoritra ! fitsaboana baoritra ! finoana baoritra !Fivavahana baoritra ! Tsenambarotra baoritra ! hitadiavana vola baoritra !! loll !!
Izao zao tadiavin-dry zalah kou ny hampiasana baoritra ganakanadiana hitrandrahana ny harena baoritra malagasy ! volamena baoritra ! solika baoritra ! vato baoritra !@ alalan' ny olona voavidin' ny marika baoritra snou !baoritra karana ! baoritra thailandais !baoritra frantsay ! baoritra amerikana ! ...! voavidin' ny vola baoritra ! ny credit bankim- baoritra !ny doctoratm-baoritra ! ny ingenioratm-baoritra ! ny magistratm-baoritra ! ....! ny avaram-pianaram-baoritra rehetra rehetra ! izay ilay tiako lazaina ralaza ! Pouahahahahh ! fahaizana voavidin' ny baoritra ! loll !!

Mankalaza ralaza belazazalazao !


Te hilaza v enao fa novidiana vola ny baoritra azon'i Lalatiana Pichboune, Ramarolahihaingonirainy Anthony, Ranjeva Raymond sy ireo vato nasondrotry ny tany Malagasy miezaka manazava sy manome proposition rehetra? Nianatra tany amin'ny Université manan-daza tany ivelany daholo ireo olona ireo...hilaza ve ianao fa azo vidiana vola ny baoritra tamin'ireo Oniversite ireo? hahaha...mampihomehy ianao. Dia vendrana daholo koa ny oniversité mana-daza any ivelany any, ny CIJ sy izay sehatra rehetra niasan'ireo olona ireo ka tsy nahalala oe baoritra sy diplome novidiana ny an'ireo?

Aza ambaniana ny vato nasondrotry ny tany Malagasy sy Andriambill ary raha tena favy enao dia aza variana mitsikera sy matim-pialonana ka lasa miteniteny foana fa mba amporisiho sy ampio izay vato nasondrotry ny tany rehetra...eny fa na dia ireo izay be baoritra be izay tena tsy tianao aza....fa ilain'ny firenena ny tsirairay amin'izy ireny.

6. AndriambyII ( 19/08/2012 00:30)
Azoko sary antsaina hoe olona toa inona ianao io Ralaza . Raha ny fomba fanoratrao sy ny fametrahanao soson-kevitra rehefa mametraka fanontaniana sy manome valinteny @ dinika hiadian-kevitra ianao.Zavatra tsy sarotra sy mazava be angamba ny soratra nalefako teto momba iny raharaha rahaingonirainy sy izay rehetra mety ho voakasik' izay manodidina azy .Asa raha mba afaka takarinao ny anton-javatra rehefa miresaka politika ny olona , na ianao te hisikotra kankan' oron'' olona fotsiny , na ianao tena mbola zazavao @ fanaovan' ny olona politika @ fiainana eto ambonin' ity tany ity. Raha mila fanampiana ianao mikasika ny farim' pahaizanao , dia omeo hafatra eto dieny izao aho .Afaka manampy olona aho @ izay lafiny izay.Ary efa betsaka ny mpianatr' i Andriamby no nahazo diplaoma vita @ metaly platina , fa tsy diplaoma baoritra ohatry ny sasany toa ireo notanisainao teo ireo.Amanarivony ny mpianatra navoakan' i Andriamby , ary nahazo medaly volamena sy marim-pankasitrahana feno voninahitra sy fahendrena ny ankamaroany.
7. laza5700 ( 20/08/2012 15:41)
Izay diploma sns anananao tsy idirako. Anao zany. Felicitation raha manam-be ianao.

Fa ny fialonana izay manana baoritra bdb toa anao no nisarika ny saiko. Raha ny fomba fanaratsianao gratuitement ireo izay manome fanazavana sy sosokevitra mba hampandrosoana an'i Madagasikara no jerena dia hita avy hatrany fa olo-mahay enao ary noho izay fahaizanao izay mithinsy no mahatonga anao hialona izay mahay toa anao ihany koa. Toetran-gasy mahazatra io= ory hava-manana+ te hisongadina irery. Hevitra, famakafakana, sosokevitra no omen ny avara-pi iray dia toa critique personnelle no ivatravatranao...ny diplomen'ilay ranamana avy no novingavingainao lazainao fa novidiana.
http://www.youtube.com/watch?v=zNnC-avJfCs&feature=plcp

Mapalaelo ny toe-tsaina toa io anao io satria amiko raha toa ka tsy mifanipaka toa ny lalala an-karona toa izao ataonao izao ny avara-pi sy vato nasondrotry ny tany eto amin ity firenena ity fa miezaka mifanampy, mifanohana, mifanakalo hevitra...dia minoa ahy marina tokoa rahalahy fa ho tafita ity nosin-tsika ity.
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