ity forum politika

1. bazylou ( 25/06/2011 18:00)
na polifika koa mety daholo dia hita taratra fa tsy le olona ao mada no betsaka eto fa ny gasin'andafy. hany k atsy misy authenticite le zavatra lazaina sy tantaraina rehetra.
Vokany dia mivaralila hoazy le forum


beurk
novalian'i perfectly ny 20/07/2011 10:47
2. rijadolly ( 25/06/2011 21:24)
Satria tsy mahita akory ny afomanga tsaratarehy izay hitanay aty ve ry Bazylou? sady betsaka izy tato a! hihihihihi!
3. milamm ( 26/06/2011 00:10)
zao le izy bazy a, aza maika ny hitsikera ny atsy sy aroa fa manadala ny adala hono no tena adala ary ny adalany hafa imehezana ny adalany tena tafiana lamba amasifiny bazy eto amantaonany maro izao fa i bazy no adalany serasera politika eto. Aiza ko ra tsy fankahalana an'Atoa Ravalomanana de fanaratsiana ny gasy. Soa ihany fa i bazy ihany kalo no tena voa mafy @ io aretintsaina io itako teto azo sorohana zany nefa zany, mandiniha kalo tena sao @ fitsaboan-tena vao afaka miresaka zv hafa (efa dadilahy fa milamina amzay...) trafokena omemahery zay bazy tsy mila valiny fa mahereza @ fitsaboana...lol
4. hery ( 26/06/2011 01:23)
Zahay na aty aza manana havana any Dago mitaraina aminay isanandro isaky ny miantso any.
Zahay na aty aza manana mpanao gazety namana milaza aminay ny zava-misy any Dago isaky ny mifampiresaka.
Zahay na aty aza, manana akama TGV izay milaza aminay ny zavatra tiany momba an'i Rajoelinia sy ny zavatra tsy tiany mikasika azy ihany koa.
Zahay na aty aza dia manana gazety azo vakiana sy sary azo jerena (youtube) milaza hoe nisy inona marina teny ambohjatovo ary iza nonitifitra.
...
Fa rehefa nandalo tany Dago izahay tsy mba nahita an'ireo rehetra ireo. Na ny vaovao any Toliara aza tsy fantatray akory satria tsy asehon'ny TVM (TGV) izay mba hany hitanay.

Ka asa na iza marina no tena maharaka ny zava-misy ao Dago ao
5. rijadolly ( 26/06/2011 04:08)

Satria tsy mahita akory ny afomanga tsaratarehy izay hitanay aty ve ry Bazylou? sady betsaka izy tato a! hihihihihi!


aza maika ny hitsikera ny atsy sy aroa fa manadala ny adala hono no tena adala
6. pulm ( 28/06/2011 12:11)
oay ty ianareo mifanilaka fotsiny mapme be e!
7. bazylou ( 29/06/2011 18:50)

ze tsy matanty hono miala e,

efa hainao ihany le sain gasy hoy dada samy izay.
Tsy resaka tsikera no lazaiko efa resaka authenticite ana vaovao avy any mada. Mazava ve???

beuurrrk
8. andrywui ( 02/07/2011 17:03)
io les rabazy efa saina zatra anle miseho milay sy mahavita azy na tsy maharaka sy tsy mahavita innn aza ! hainlah iany ,! ny votoatiny anefa de miteniteny foana ze mba hitany kely ao amin'ny vaovao sobika na ny siten'i dada sy ny mpiondana ao de milingilingy amzay manindry be eto oe zany zahay ! ...nefa bomba rora daolo ry dagà
9. diloo ( 03/07/2011 20:39)
Ary mba ahoana kosa ny fomba fijerin'ny vahiny mandalo mahita ny authenticité?

Vakio kely ity:


Il y a deux ans, Andry Rajeolina était porté au pouvoir par un coup d’Etat. Depuis, il ne cesse de promettre des élections. En attendant, le chaos s’est installé.
09.06.2011 | Yves Petignat. Courrier International.

Madagascar n’en peut plus. «L’île heureuse» d’hier est à genoux. A Antananarivo, toute la ville raconte comment, il y a quelques semaines, des bandes armées ont investi de nuit un quartier populaire, aligné les habitants des maisons pauvres, violé des femmes, maltraité les vieux et organisé des razzias sous la menace de leurs kalachnikovs. Tout le monde sait que des policiers véreux louent leur arme pour une nuit à quelques petits truands. La location d’une kalachnikov pour une nuit coûte 100 000 ariary [35 euros]. Et encore, au milieu des Hautes Terres (1 500 mètres), Antsirabé, la ville d’eau, le «Vichy malgache», est plutôt calme et relativement sûr. Mais dans la capitale, on déconseille au vahaza, l’étranger, de quitter son taxi dès la tombée du jour, ne serait-ce que pour faire 300 mètres sur l’avenue de l’Indépendance, les Champs-Elysées de l’île.

L’endroit le plus sûr est peut-étre la prison, du moins à Antsirabé, tant celle de la capitale est décriée pour ses conditions épouvantables : 2 600 prisonniers pour 800 places, sévices physiques, manque de gardiens, sous-alimentation. Loin des clichés misérabilistes, celle d’Antsirabé (500 détenus) passe pour un modèle dans toute l’Afrique : douches, toilettes séparées pour la grande chambre de 103 «lits». SÅ“urs Nella et Agnès y déploient une énergie tout italienne à améliorer l’hygiène et à aménager la scolarisation et quelques occasions de gains pour une centaine de malabars accros désormais à la broderie. Cela n’empéche pas la justice à deux vitesses, qui peut voir un voleur de zébu condamné à une peine de prison à vie ou laisser deux tiers des 20 000 détenus de l’île en préventive depuis dix ans parfois.

Les Malgaches ont beau avoir la réputation d’étre un peuple fondamentalement non-violent, qui a su canaliser l’agressivité par des normes sociales très fortes, la crise politique et économique, la misère urbaine minent désormais leur société. Le charme de la population, sa gentillesse, sa façon d’écarter les sujets qui fâchent et la culture du consensus ne parviennent plus à masquer les lézardes. Le banditisme, les braquages ou les feux de brousse attisés par la colère ne sont pas les seules expressions de la violence. «Lors d’un concours de scénarios pour jeunes cinéastes, j’ai été surpris de constater que sur 20 projets, 18 parlaient de la violence domestique», rappelle l’organisateur d’un festival de cinéma. La crise a accéléré la confrontation de la société malgache avec les nouvelles réalités de la mondialisation et mis en péril les valeurs traditionnelles.

La communauté malgache est malade. A l’image de son gouvernement et de son président de transition, Andry Rajoelina, qui ne semblent plus rien maîtriser. Juste avant Pâques, l’Union européenne a interdit de vol les deux Boeing d’Air Madagascar qui assuraient la liaison avec la France, en raison de graves problèmes de maintenance. D’emblée, la presse gouvernementale y a vu un complot européen pour déstabiliser l’équipe en place. Antananarivo bruit de rumeurs de complots, de trahisons, de ralliements, de menaces de destitution depuis le coup d’Etat de mars 2009 qui a éjecté du pouvoir l’ancien président Marc Ravalomanana. Andry Rajoelina, ex-DJ devenu un ambitieux affairiste. Les ministres qui se succèdent à un rythme soutenu ne semblent avoir qu’une ambition, «s’enrichir très vite avant le prochain remaniement ministériel», admet un ancien ministre technocrate qui a préféré prendre du champ.

«A quoi bon se révolter, expliquera un jeune journaliste d’une station de radio locale. Rajoelina dit au monde entier que nous avons été les premiers, avant le printemps arabe, à chasser les politiciens corrompus grâce à la 'révolution orange' de 2009. Mais les affairistes qui entourent Rajoelina nous ont volé la révolution !»

Le «putsch de Rajoelina» était une manière de redistribuer le pouvoir à une génération plus jeune, frustrée de la confiscation par les «vieux présidents» Ravalomanana et Ratsiraka. Mais l’incapacité à revenir à un système démocratique illustre la profonde crise morale des élites et de la société civile, analyse l’ancien juge à la Cour internationale de justice Raymond Ranjeva, un juriste reconnu pour son intégrité et qui, comme descendant de la famille royale, jouit toujours d’une certaine autorité morale. Lui-méme s’est «mis à disposition de la Nation pour sortir du cercle vicieux», mais son appel ne semble guère entendu dans une société fascinée par l’attrait de l’immédiat.

Madagascar est devenue un pays paria, renié par la communauté internationale – Union européenne, Etats-Unis, Banque mondiale - qui assurait bon an mal an près de la moitié de son budget. En mal de reconnaissance, Andry Rajoelina, président de la Haute autorité de transition (HAT), parcourt l’Afrique australe pour rassurer ses partenaires sur son intention d’organiser des élections régulières d’ici à la fin de l’année ou au début de 2012. Mais ni l’Afrique du Sud ni les Etats-Unis ne font confiance à ce jeune président de 35 ans qui, après avoir promis de ne pas se présenter aux élections, a fait changer la Constitution en sa faveur ou qui est sans cesse revenu sur des accords de partage du pouvoir signés à Pretoria ou à Addis-Abeba.

Les pays donateurs continuent à soutenir l’aide humanitaire et alimentaire d’urgence à travers les ONG, mais ne veulent plus rien avoir affaire avec le gouvernement de transition. La gabegie qui préside aux finances de l’Etat est pointée du doigt par la Banque mondiale. Baisse de 13 % des budgets de l’éducation, et de 80 % pour la protection des foréts, mais hausse de 6 % en faveur de l’armée et de 300 % pour le budget du président qui décide seul de cadeaux électoraux (stades, hôpitaux), alors que le produit intérieur brut a chuté de près de 10 % l’an dernier.

A la suite des arrestations arbitraires et des violations des droits démocratiques, les Etats-Unis ont retiré au pays son statut de zone favorisée qui profitait de l’exonération des taxes dans le cadre de l’aide aux économies libérales africaines. Résultat : plus de 100 000 emplois supprimés dans l’industrie d’exportation, en particulier le textile.

C’est la population qui paie l’addition. A Antsirabé, la ville la plus industrialisée de l’île, au moins 20 000 emplois perdus, sans compter les artisans et commerçants qui profitaient de l’émergence d’une petite classe moyenne, souligne la maire d’Antsirabé, Olga Ramalason. La crise se mesure dans la rue à l’explosion des petits vendeurs de toutes sortes qui cherchent désespérément un client pour glaner quelques ariary. Il ne reste pratiquement plus rien des 4 500 emplois de MKlen, qui produisait 35 000 jeans par an pour les Etats-Unis. Méme chose chez Cotona, le leader malgache du textile. L’industrie du coton, qui employait 120 000 personnes, s’est effondrée. On en voit les traces tout au long des 800 kilomètres de la N7 qui conduit au sud, au port de Toleara. Partout des champs de coton abandonnés. L’immense laiterie Tiko de l’ancien président Marc Ravalomanana, qui devait accueillir 4 000 vaches laitières, est pratiquement déserte. «Toute nouvelle demande d’aide ne sera plus reçue par la commune jusqu’à nouvel ordre», annonce l’affichette placardée dans le monumental hall de l’hôtel de ville d’Antsirabé. Les municipalités sont elles aussi à bout de ressources, elles ne parviennent pas toujours à assurer les salaires des fonctionnaires. Alors que la pauvreté explose. Trois Malgaches sur quatre vivent désormais en dessous du seuil de pauvreté.

Les ouvriers et petits artisans qui parvenaient encore à envoyer leurs enfants dans une école privée n’en ont plus les moyens. De 40 élèves en moyenne, les classes de l’école publique d’Antsirabé sont passées à plus de 70. Il n’y a plus de fournitures scolaires – blouse, cartable, cahiers – offertes par le précédent gouvernement, ni de repas. Incapables de payer les sommes destinées à assurer une partie du salaire des enseignants, beaucoup de parents renoncent à envoyer leurs enfants à l’école. A midi, plus d’un enfant jeûne, privé de l’assiette de riz traditionnelle, dans un pays qui semble crouler sous les fruits et les légumes de toutes variétés. «Nous sommes des mendiants qui dorment sur un lit d’or et de saphirs», disent les Malgaches en faisant allusion à la richesse de leur sous-sol.

Hoy ny namana iray hoe:


indrisy ry nosy lazaina fa masina !!!
Noue


10. diloo ( 03/07/2011 21:55)

tsy misy authenticite le zavatra lazaina sy tantaraina rehetra

Aleo ny vahiny mandalo hanambara ny authenticité dia samy mitsako ny manjo ny vahoaka.

Ireto misy fomba fijerin'ny vahiny mandalo hafa:

Le non conformisme :misère
15.06.2011 - 09:31

J'habite l'île de la Réunion et je me suis souvent rendu à Madagascar pour de moyens séjours.
Depuis Albert Zafy en passant par l'Amiral Didier Ratsiraka à Ravalomanana pour en arriver à Rajoelina, le pays a été pillé de toutes ses richesses.
Rajoelina, un jeune fou furieux inconscient qui, après avoir évincé par un coup d'état le président Ravalomanana, s'est emparé d'un pouvoir qu'il avait promis de rendre au peuple; foutaise. Il déclarait ne pas vouloir se présenter à l'élection présidentielle, changeait la constitution afin de pouvoir se présenter car l'âge légal étant de 40 ans, il ne pouvait donc y prétendre.
Il promet tout et n'importe quoi, ment et fait preuve d'une totale irresponsabilité et d'une incompétence dramatique pour un homme qui prétend diriger un pays.
La désorganisation politique et syndicale du peuple malgache, mélée à une corruption généralisée, à une multitude de croyances religieuses, à un dévouement au culte des ancétres, ne favorise guère un épanouissement politique, sans compter un taux d'analphabétisme et d'illettrisme important.
Les églises de toutes sortes maintiennent ce peuple dans son ignorance et flirte toujours avec les pouvoirs successifs. Un haut dignitaire religieux a affirmé que les préservatifs donnaient le SIDA. L'armée quant à elle se contente de soutenir Rajoelina jusqu'à ce jour et profite des errements du pouvoir pour s'enrichir ainsi que toute la cour HAT.
Les gouvernements successifs valsent à ne plus savoir. Sans compter que notre cher pays France, ancien pays colonisateur de la grande île, joue un jeu qui soutient plus ses propres intéréts et ceux des investisseurs que ceux des Malgaches. La diplomatie française à Madagascar comme une girouette du haut de son arrogance, se contente de parader dans les réceptions mondaines et les boîtes de nuits à la recherche de quelques filles bien faciles en recherche du "casse croûte". La grande misère sévit et il faut manger avant tout.
Quant aux ONG je suis en mesure d'affirmer que la plupart ne servent à rien sinon à décrédibiliser les quelques rares qui font un vrai travail.
J'ai vu des gens mourir de froid, de faim, se réfugier le soir sous des bâches pour seules habitations devant les entrées de pas de portes en pleine ville de Tananarive, sans que quiconque ne leur vienne en aide.
Jai vu des hôpitaux dans un état de délabrement qu'il est préférable de ne pas y rester de peur d'y laisser sa vie. Les femmes accouchent sur des lits aux draps sales, les malades s'entassent dans ces lieux sordides, par terre aussi. Les médecins manquent de tout et de formation aussi. Témoins d'un accident de taxi brousse sur la route de Mahajanga, il nous a fallu deux heures de route pour arriver à l'hôpital où un seul médecin exerçait, avec pour seul matériel son stéthoscope et des matelas de mousse posés à méme le sol; ni médicament, ni radiologie, rien !!! Trois heures de route encore et arrivés à Maevatanana nous avons laissé les blessés dans un hôpital où il n'y avait pas là aussi grand chose. Six personnes y ont perdu la vie, faute de soins.
Madagascar est un des plus beaux pays du monde mais aussi un des plus pauvres. On y revient pas comme on y est allés.

JACK MADAGASCAR
13.06.2011 - 17:30

Pour avoir été à Madagascar 3 années successives, je peux témoigner que la pauvreté est inimaginable pour nous européens nantis .
Par exemple:
Les enfants souffrants de cancer, soignés au seul Hôpital du pays qui traite cette maladie...L'Hôpital HJRA de Tana...Ces enfants donc,sont absolument dénutris, et leurs petits corps, ne peuvent lutter contre la maladie, d'autant plus avec les chimios.
A Madagascar, comme beaucoup d'autres pays, la famille est tenue de veiller à l'hygiène et à nourrir son enfant hospitalisé. Or, avoir un enfant à l'hôpital, est le plus souvent la ruine de la famille car les dépenses considérables pour venir à la capitale...L'accompagnant n'est pas au travail ...D'où le manque d'argent.
Soeur Anne Claire qui gère la pharmacie de l'hôpital, est entrain de faire sortir de terre un foyer qui accueillera les accompagnants qui n'ont pas de famille pour les héberger, et qui dorment souvent à méme le sol, près du lit de leur enfant. De mon côté ,j'ai créé au sein de l' association "ANYMA", dont la soeur est présidente, une distribution journalière d' yaourts et de fruits à tous les enfants hospitalisés...
Petite goutte dans l'océan,de grande pauvreté sur l'île rouge.
11. perfectly ( 20/07/2011 10:47)
mahagaga s ts mety am piesiko ty admin milaza n heviny am resaka politika eto ty a!
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