Immigration en France et visa « Schengen »
1. Fiffi
(
15/06/2006 07:25)
Dans le cadre d'une mondialisation toujours plus poussée, la maîtrise de l'accès à notre territoire est une priorité. Cela suppose une action énergique pour empêcher à la source les entrées frauduleuses sans perdre de vue que la France doit demeurer attractive pour les personnes que nous souhaitons voir venir étudier ou travailler chez nous.
Afin de marquer la priorité que constitue, pour le Gouvernement, la politique de l'immigration, ses orientations sont désormais fixées par le Comité interministériel de contrôle de l'immigration (CICI), créé par décret du 26 mai 2005, présidé par le Premier Ministre ou, par délégation, par le Ministre de l'Intérieur et comprenant huit ministres, membres de droit, dont le Ministre des Affaires Etrangères.
BIODEV. Afin de prendre en compte l'urgence de pouvoir disposer d'un système sécurisé, permettant notamment, à terme, d'établir une traçabilité dans le franchissement des frontières, le ministre des Affaires étrangères a décidé que cette expérience serait généralisée à l'ensemble de nos postes diplomatiques et consulaires d'ici 2008. La mise en ouvre du dispositif des visas biométriques facilite l'identification, et donc la reconduite à la frontière, des migrants clandestins qui se maintiennent sur le territoire après l'expiration d'un visa de court ou de long séjour.
Enfin, un nouveau dispositif d'aide au retour volontaire, mis en œuvre depuis l'été 2005, monte en puissance.
La délivrance et le renouvellement des titres de séjour des étudiants étrangers seraient facilités dès lors que leur projet d'étude aurait été validé dans leur pays d'origine avant leur départ. La mise en place des Centres pour les Etudes en France (CEF), plate-forme de services qui vise à rapprocher la délivrance des visas pour les étudiants et leur pré-inscription dans un établissement d'enseignement supérieur français est un des moyens mis au service des étudiants qui, dans un contexte de compétition internationale, auront choisi notre pays.
Les jeunes diplômés étrangers obtenant leur master dans notre pays pourraient compléter leur formation par une première expérience professionnelle en France dans la perspective du retour dans leur pays d'origine.
La règle subordonnant l'entrée d'un travailleur étranger à l'autorisation de l'administration du travail serait assouplie dans les métiers et les zones géographiques caractérisés par des difficultés de recrutement.
La création d'une carte de séjour «compétence et talents», d'une durée de trois ans, faciliterait l'accueil dans notre pays d'étrangers dont la personnalité et le projet constituent des atouts pour le développement et le rayonnement de la France et de leur pays d'origine.
(à suivre)
La gazette de la Grande Ile
Miala tsiny raha @ teny frantsay.
novalian'i Fiffi ny 15/06/2006 15:18
3. Fiffi
(
15/06/2006 07:36)
Efa betsaka ny lalàna novaina tao . Fa na izany aza mbola be hiany no tsy rariny.
4. Fiffi
(
15/06/2006 07:47)
Enfin, un nouveau dispositif d'aide au retour volontaire, mis en œuvre depuis l'été 2005, monte en puissance.Io indray aloha nandaitra foana hatramin'ny namoahana azy ary io ilay hahazahona fanampiana ara-bola ho an'izay te-hody.
7. Fiffi
(
15/06/2006 15:18)
La création d'une carte de séjour «compétence et talents», d'une durée de trois ans, faciliterait l'accueil dans notre pays d'étrangers dont la personnalité et le projet constituent des atouts pour le développement et le rayonnement de la France et de leur pays d'origine.ka raha vao hoe hahazahoany tombontsoa de facile no hahazahoana ny prolongation ny paps , fa raha tsy misy tombontsoa ho azy de tsy mahazo ?
