La promesse présidentielle sur la fin du délestage en 3 mois n’a pas été tenue, c’est un constat. Et le délestage massif de ces derniers temps pourrait coûter cher au régime en place car il peut être considéré comme un signe de défaite. Comme le ministère de l’énergie n’était pas capable de gérer seul la crise de délestage, l’État a confié le problème au ministère d’État chargé des ressources stratégiques et des mines.