MA-LAZA 13 FEVRIER 2012

1. rijadolly ( 13/02/2012 10:04)
répondu par rijadolly le 13/02/2012 15:40
2. rijadolly ( 13/02/2012 10:08)
Insécurité: Cocktail molotov lancé contre l’hôtel Nalugaro


Des individus malintentionnés ont lancé un cocktail molotov sur un véhicule de marque Toyota Prado, stationné devant l’hôtel Nalugaro d’Antetezanafovoany, aux 67Ha. L’action n’a fait aucune victime. Toutefois, des dégâts matériels ont été enregistrés.

Ce cocktail molotov avait fissuré le pare-brise du véhicule. L’aile avant-droite du véhicule a également été endommagée.
Les faits se sont déroulés hier, vers 01h30. D’après un témoin : « nous avions entendu un véhicule qui roulait à tombeau ouvert, une explosion avait suivi son passage. L’un des véhicules garés sur le parking avait pris feu. L’incendie a rapidement été maîtrisé par les agents de sécurité du parking ». Nul n’ignore que l’hôtel Nalugaro abrite souvent les réunions des partis d’opposition, dont le TIM de Marc Ravalomanana.
L’hypothèse la plus privilégiée est que cet attentat pourrait avoir un lien avec la conjoncture politique. Cet attentat pourrait, par ailleurs, étre considéré comme un avertissement adressé aux opposants. La brigade criminelle d’Anosy, chargée de l’enquéte, a toutefois fait savoir qu’aucune piste ne sera négligée.
Les propriétaires de la Prado n’ont évidemment pas manqué de déposer une plainte contre X auprès de la B.C d’Anosy. Toutefois, ils nient avoir un lien quelconque avec les politiciens. « Nous sommes de simples citoyens, victimes de cette insécurité grandissante. Nous habitons à quelques mètres de l’hôtel en question et nous avons l’habitude, tous les soirs, de garer notre voiture dans ce parking », ont-ils déploré.
L’enquéte est en cours.

L.R
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Priorité Santé

Qu’il est malheureux de lire dans les colonnes d’un méme journal une annonce d’un patient au bord du désespoir implorant la générosité de ses congénères pour pouvoir poursuivre un traitement pour le maintenir en vie et une information faisant mention d’une seconde évacuation sanitaire d’un militaire haut gradé vers un établissement étranger, aux frais de l’Etat, c’est-à-dire du contribuable.
Combien sont-ils ces malheureux atteints d’un accident vasculaire et cérébral, d’un cancer ou d’une insuffisance rénale, condamnés à compter le nombre de jours qu’il leur reste à vivre et ces chanceux, lesquels, de par leur position politique ou de leur statut dans le microcosme, bénéficient, en plus de leurs salaires, d’autres avantages que ne pourront que réver la majorité des Malgaches.
Il n’est pas normal que l’Etat fasse deux poids deux mesures en octroyant à certains des avantages qu’il n’accorde pas à d’autres. Humainement parlant, l’Etat n’a pas le droit de laisser mourir les citoyens et doit tout faire pour préserver la vie. C’est un « droit » de l’homme. Il n’a pas le droit de disposer de la vie et de la mort car « tous les hommes sont égaux ».
C’est dans des cas pareils que l’on se rend compte de l’injustice flagrante que beaucoup de nos dirigeants feignent d’ignorer. A l’exemple des fonctionnaires qui sont pris en charge jusqu’à la fin de leur vie par l’Etat, alors que les employés du privé ne touchent que le tiers de leur salaire, tous les trois mois, lorsqu’ils sont admis à la retraite. Et pourtant, ces derniers paient les mémes impôts que les agents de l’Etat, et méme plus pour certains cadres. Et inutile de dire que ce sont souvent ces employés du privé qui sont les plus défavorisés en matière de santé : ils doivent payer eux-mémes les frais d’hôpitaux, les médicaments et, s’ils le peuvent, les évacuations sanitaires. Imaginez leur abattement quand, pour un scanner, ils doivent payer de leur poche 420.000 Ar.
La politique en matière de santé est complètement à revoir à Madagascar. De nombreux proverbes malgaches le rappellent : rien ne vaut un corps bien portant. C’est la première richesse avant les espèces sonnantes et trébuchantes, une belle villa ou les voitures. Certes, le régime de la Transition actuel projette de construire des hôpitaux aux normes internationales. C’est déjà une bonne chose. Mais il faudra encore les équiper, y affecter un personnel qualifié. Aurons-nous les ressources nécessaires pour ce faire ? Le doute est permis quand on sait que depuis deux ans, le service de radiothérapie de l’Hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona à Ampefiloha, le SEUL service traitant le cancer à Madagascar n’est plus fonctionnel. L’Etat aurait promis de le réhabiliter par la construction d’un bâtiment spécifique où sera entreposé un matériel plus performant. Mais, jusqu’à maintenant, pas une seule brique n’a été posée.
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Victor Manantsoa: Réunion d’urgence des chefs d’institution


Le 29 février 2012 approche à grands pas sans que les parties prenantes malgaches n’arrivent à se mettre d’accord quant à la mise en Å“uvre des instruments juridiques de l’apaisement.

Le ministre chargé des relations avec les institutions, Victor Manantsoa, s’est exprimé sur le sujet à l’occasion d’une intervention sur une chaîne télévisée de la capitale. D’après le ministre, issu du Hery Politika Mitambatra, le Président de la Transition devrait convoquer les chefs d’Institution afin de décider de la mise en oeuvre de ces instruments juridiques indispensables à l’instauration d’un climat d’apaisement.
En effet, le ministre de faire remarquer que depuis la signature de la feuille de route, les quatre chefs d’institution de la transition ne se sont toujours pas décidés à examiner ensemble le sort de la nation. Il souligne que cette réunion d’urgence des chefs d’institution devra permettra d’élaborer un calendrier d’adoption des textes consacrés à l’instauration d’un climat d’apaisement.
L’adoption de la loi d’amnistie, pourtant exigée par la troïka de la SADC pour la fin de ce mois, reste pour l’instant le point de discorde entre les acteurs politiques malgaches. Ici, certains hommes politiques proches du Président de la Transition, s’opposent à l’attribution d’amnistie à Marc Ravalomanana. Ailleurs, une frange de la société civile réclame une définition précise de cette loi d’amnistie. En tout cas, la mise au point des instruments nécessaires à la mise en oeuvre d’un climat d’apaisement semble prendre beaucoup de temps. D’où la crainte de certaines entités politiques quant à l’impossibilité de boucler le projet de loi avant le 29 février. Les représentants des pays membres de la SADC, réunis hier, ont décidé de maintenir la pression sur la Transition malgache pour la mise en oeuvre des instruments juridiques et spécialement la loi d’amnistie.

Marc A.
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3. rijadolly ( 13/02/2012 15:40)
Parlement de la transition: La troisième session extraordinaire convoquée


Le Parlement de la transition est convoqué à partir de ce mardi à une troisième session extraordinaire. Une session qui consistera à boucler l’adoption du projet de loi organique portant code électoral.
Le Parlement de la transition est convoqué à partir de demain 14 février 2012 pour adopter le projet de loi organique portant code électoral. La dernière session de 12 jours, clôturée le 03 février dernier, n’avait pas donné l’opportunité au Conseil Supérieur de la Transition d’adopter ce projet de loi organique sur la loi électorale.
Comme aucun Conseil de gouvernement ou des ministres n’avait eu lieu la semaine dernière, la convocation de cette troisième session du Parlement a été décidée de manière un peu particulière.
En effet, les décisions ont été collectées via des E-mails. Les membres du gouvernement étant éparpillés en province, les deux chefs de l’Exécutif malgache, le PHAT Andry Rajoelina et le PM Jean Omer Beriziky ont dû recourir à la technologie moderne pour promulguer les décrets 2012-211 et 2012-212 du 10 février 2012 portant convocation du Parlement à cette 3ème session extraordinaire.

Loi d’amnistie en suspens ?

Le communiqué de la Présidence de la Transition mentionne, dans l’ordre du jour de cette session, l’adoption du projet de loi électorale. Sa durée ne devra pas excéder 12 jours. Ce communiqué ouvre la voie à l’adoption d’autres textes d’ordre législatif qui ne sont pas, pour l’instant, définis. En effet, le Conseil des ministres « à distance », de la fin de la semaine dernière, a soulevé le projet de loi d’amnistie sans que celui-ci ne soit porté dans l’ordre du jour de cette nouvelle session parlementaire. De méme, les textes de mise en Å“uvre des instruments juridiques en vue de l’instauration d’un climat d’apaisement ne sont pas non plus inscrits dans l’ordre du jour. Des textes dont le bouclage est, cependant, réclamé par la Troïka de la SADC, pour la fin de ce mois…

Marc A.
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Brigitte Rasamoelina: Pour une interprétation commune de la FDR



Le retour, sans condition, de Marc Ravalomanana à Madagascar, prévu par l’article 20 de la feuille de route continue de soulever la polémique dans la sphère politique. A l’instar du parti Ampela Manao Politika (AMP) qui suggère à toutes les parties prenantes d’interpréter de manière commune la feuille de route, d’une part et de l’article 20 en particulier.
La présidente de l’AMP, Brigitte Rasamoelina, suggère en outre la tenue d’une réunion restreinte des juristes issus de chaque groupement politique. «Les parties prenantes devraient se résoudre à enterrer la hâche de guerre et à trouver une entente pour sortir enfin le pays de cette crise», a-t-elle martelé.
Brigitte Rasamoelina a saisi cette occasion pour interpeller les membres du gouvernement à régler également leurs conflits internes. La cérémonie d’échange de voeux de nouvel an du parti AMP, section Antananarivo, s’est tenue samedi dernier à l’ANS d’Ampefiloha. A cette occasion, l’AMP avait annoncé sa participation aux prochaines joutes électorales. Il propose comme priorités, la mise en place d’un Etat de droit, la mise en effectivité d’une bonne gouvernance, de l’éthique politique et de l’égalité de genre.

RR.
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Ministère de la Santé: Suspension des fonds d’équité


Les «Fonds d’équité» mis à la disposition des formations sanitaires publiques et destinés à soutenir les plus démunis viennent d’étre suspendus pour cette année 2012. En effet, ces fonds ne figuraient plus dans la loi de Finances 2012.

Cependant, consécutif à la crise, l’effectif des personnes en situation de difficulté financière ne cesse de s’accroître. Il en est ainsi de celui du centre hospitalier universitaire de Befelatanana qui représente actuellement 67% de tous les patients contre 32% en 2008.
Par conséquent, l’aumônerie du CHU est contrainte d’utiliser ses fonds propres pour aider au mieux les patients issus de familles défavorisées. Dans le cadre de ces «fonds d’équité» du ministère de la Santé publique, le CHU avait été doté en 2011 d’une enveloppe de 27 millions d’Ariary. Un budget qui avait permis de sauver plus de 6.000 patients.
Initiés depuis 2004 par le ministère de la Santé publique, les fonds d’équité servent à rémunérer les prestataires pour les soins prodigués aux plus démunis, garantissant ainsi à tous l’accès aux soins de santé. Selon les explications, une identification préalable des démunis est effectuée par les responsables de chaque Fokontany. Une fois identifiés, les patients éligibles reçoivent une carte de solidarité.

Journée internationale des malades

A l’occasion de la Journée internationale des malades, célébrée samedi dernier, un culte oecuménique pour les malades s’est tenu à l’aumônerie catholique du centre hospitalier universitaire de Befelatanana.
Cette séance a été organisée conjointement par l’aumônerie catholique et l’aumônerie protestante. Elle a été suivie d’une distribution d’effets vestimentaires et de couvertures aux malades hospitalisés.
Les aumôneries catholique et protestante du CHU de Befelatanana participent à l’allégement des souffrances des malades par l’utilisation de leurs fonds propres et des contributions de généreux donateurs.

RR.
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Entreprises franches et ZFI: Des taux de croissance négatifs


Avant la crise, les exportations de Madagascar en produits textiles vers les Etats-Unis se sont chiffrées autour de 200 millions de dollars US par an, rappelle le Syndicat des Industries de Madagascar.

Mais à la suite de l’exclusion de Madagascar de l’AGOA, les entreprises franches et les Zones Franches Industrielles ZFI ont enregistré des taux de croissance négatifs respectivement de 17,5%, 30% et 15% durant les années 2009, 2010 et 2011.
A titre de rappel, l’African Growth Opportunity Act offre aux pays africains Subsahariens bénéficiaires la possibilité d’exporter leurs produits vers les Etats-Unis, avec une exonération des droits de douane. Madagascar figurait en téte de liste des pays exportateurs de produits textiles vers les Etats-Unis dans le cadre de ce régime.
Récemment, Eric Wong, chargé d’affaires de l’ambassade américaine, suit de près l’évolution de la situation à Madagascar et rappelle que Madagascar ne pourra réintégrer les instances de l’AGOA tant que les droits de l’homme n’y soient pas respectés et l’Etat de droit restauré.
Le Syndicat des Industries de Madagascar souligne que notre industrie locale est victime des effets conjugués de la crise financière internationale et de la crise politique du pays.
Dans sa récente publication, le SIM évoque le rapport de la Banque Mondiale du premier semestre 2011 qui parle d’une « morosité économique » en dépit de la relance de certains secteurs. Les industries se heurtent également à la baisse du pouvoir d’achat des consommateurs, accentuée par le problème de chômage. En 2009, près de 228.000 pertes d’emploi ont été relevées. « Méme si les partis politiques ont signé la feuille de route de sortie de crise, la friction en leur sein ne permet aucune visibilité concrète pour les industries», mentionne le rapport de la BM. Certains industriels parlent de « stagnation dans le brouillard ». Quoi qu’il en soit, le SIM ne baisse pas les bras pour autant.

Claudia R.
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Médiation: Le nouveau CAMM attendu à fin avril


«Le nouveau Centre d’Arbitrage et de Médiation de Madagascar verra le jour au plus tard à la fin du mois d’avril ou début mai», telle est l’annonce faite par Jean Martin Rakotozafy, président de la Chambre de Commerce, au cours de la cérémonie de clôture de la formation des médiateurs qui s’est tenue du 06 au 10 février dernier.
A titre de rappel, en 2000, à l’initiative de quelques juristes malgaches, un centre d’Arbitrage et de Médiation a été créé à Madagascar sous la forme d’une association. Mais le recours au centre a été assez limité et ce dernier ne fonctionne plus actuellement. D’où la nécessité de le redynamiser. C’est d’ailleurs dans cette optique qu’a été initiée la formation pratique sur la médiation commerciale, prodiguée pendant 5 jours par trois experts étrangers et appuyée par le PNUD. Les 20 participants ayant suivi cette formation ont évoqué leur souhait de participer à la mise en place du «CAMM nouveau». Ils ont d’ailleurs mis en place un cercle des médiateurs. Maître Maria Sylvie Raharinarivonirina s’est dite satisfaite de cette formation. Elle a rappelé que la médiation est un mode de règlement entrepris entre deux personnes ou deux entreprises pour les aider à trouver une solution au litige qui les oppose, par le biais d’une personne qui est totalement autonome, indépendante et impartiale. «La formation m’a permise de me développer sur le plan personnel. Elle m’a surtout permise de voir comment arriver à rétablir une communication entièrement rompue entre deux personnes en conflit».
A noter que l’Assemblée Générale, en vue de la mise en place du nouveau CAMM, aura lieu à la fin de ce mois de février, mais que son démarrage proprement dit se fera par étape et assuré par le nouveau Secrétaire Général qui attend d’étre élu.

Claudia R.
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10 Février: Journée du diplomate russe


Pour marquer l’importance de la diplomatie, les Russes de par le monde célèbrent chaque année, le 10 février, la Journée du diplomate.
Cette année, les Russes célèbrent le bicentenaire de la guerre franco-russe de 1812, baptisée «La première guerre patriotique». Ainsi, les festivités liées à la Journée du diplomate ont été axées autour de cette guerre.
SEM Vladimir Goncharenko, ambassadeur de Russie à Madagascar, a invité, vendredi dernier, des personnalités étrangères et malgaches à cet événement à son ambassade à Ivandry. Une projection du long métrage intitulé «Guerre et paix», oeuvre immortelle de Tolstoï, ainsi qu’une exposition de photos ont caractérisé cette journée consacrée à cette guerre patriotique de 1812.
Selon les propos de SEM Vladimir Goncharenko : «chaque année, nous faisons coïncider la célébration de la Journée du diplomate avec des faits ou des événements ayant les plus marqués l’histoire de la Russie. L’an passé a été célébré le cinquantenaire du premier vol de l’homme dans l’espace cosmique. En 2012, nous célébrons, avec le concours culturel de la France, le bicentenaire de la guerre franco-russe de 1812, que l’on appelle, chez nous, la Première Guerre Patriotique».
Une plaque commémorative mentionnant l’identité des ambassadeurs de l’URSS et de la Russie à Madagascar durant ces 40 ans, a été inaugurée par le ministre malgache des Affaires étrangères et l’ambassadeur de Russie.
Depuis 1972, une dizaine d’ambassadeurs russes se sont succédés à Madagascar. Le premier accrédité en décembre 1972 était SEM Piotr Abrosimov.
SEM Vladimir Goncharenko travaille pour le raffermissement de la relation russo-malgache depuis 2006.

Sidonie R.
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Jeu SMS de l’OJS: Les premiers gagnants


Le premier tirage du jeu sms organisé par l’Organisation des Jeux Sms dont le plus gros enjeu est une villa à Ivato, s’est déroulé samedi dernier dans les locaux du magasin SEG de Soarano.
Voici les numéros des gagnants et leurs lots respectifs offerts par les différents partenaires (ToMétal, SEG, Q7…)
- Congélateur 034.74.310.77
- Four électrique 033.04.102.32
- Groupe électrogène 034.07.913.58
- Ampli-baffle 034.17.644.77
- Réchaud à gaz 034.36.360.64
- Téléphone portable Q7 034.36.097.74
- Téléphone portable Q7 034.03.689.43
Le tirage au sort s’est tenu en présence de deux commissaires au jeu. L’urne transparente a été descellée juste avant le tirage. Le prochain tirage aura lieu le 25 février prochain, suivi de deux autres au mois de mars, et de trois tirages au mois d’avril. Le gagnant du gros lot, la fameuse «Villa JJ», dont la construction est assurée par l’Entreprise JJ, sera connu le 1er mai prochain. Selon les précisions de Stella Andriamamonjy de l’OJS, le coût total de cette villa mise en jeu est de 90 millions d’Ariary et non de 40 millions d’Ariary comme il a été annoncé initialement.
Rappelons que pour participer, il suffit d’envoyer par sms le terme «Villa JJ» au 033.56.800.00 ou au 034.34.00.800 ou encore au 032.32.00.800 à un tarif de 800 Ariary. Ceux qui veulent tenter leur chance auront jusqu’au 27 avril prochain pour envoyer des sms.
Plus vous jouez, plus vous multiplierez vos chances de gagner ! Tous les heureux gagnants connaîtront leur lot au cours du tirage au sort final du 1er mai prochain.

Claudia R.
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