MA-LAZA 12 JANOARY 2012
2. rijadolly
(
12/01/2012 01:47)
Conjoncture: Le retour de Ravalomanana divise deux chefs d’institution
Coup de théâtre hier à la cérémonie de présentation de vÅ“ux au couple présidentiel à Iavoloha. Le président du Congrès de la Transition Mamy Rakotoarivelo a évoqué dans son discours le retour de Marc Ravalomanana. Réplique immédiate du Président de la Transition Andry Rajoelina…
À la fin de son discours de présentation de vÅ“ux au couple présidentiel, Mamy Rakotoarivelo, président du Congrès de la Transition a annoncé le retour prochain de l’ancien chef de l’État Marc Ravalomanana. D’après les propos du numéro un du CT, ce retour a obtenu l’aval de Marius Fransman, vice-ministre sud-africain de la coopération.
Par ailleurs, le chef de délégation de la mouvance Ravalomanana de souligner que l’exemple sud-africain est un modèle à imiter. Un exemple dont le Président de la HAT a été témoin en Afrique du Sud la semaine dernière. Il s’agit notamment du retour des exilés politiques et de la libération des détenus politiques. Ce chef d’institution d’admettre tout de méme que l’application de la feuille de route n’est pas conforme à la normalité. De ce fait, il a demandé que l’apaisement stipulé dans les articles 16, 20 et 23 de la feuille de route soit concrétisé. Quelques instants plus tard, dans son discours, Andry Rajoelina, le Président de la HAT a déclaré par le biais de métaphore son opposition à ce retour de Marc Ravalomanana. Selon ses propos : « l’air pollué de l’extérieur ne sera jamais introduit dans notre pays ». Des propos quelque peu imagés qui illustrent aisément le sentiment que le PHAT éprouve pour l’ancien chef d’Etat et qui répond directement aux propos du président du CT. En outre, le PHAT a voulu préciser que ce qui a été convenu devra étre respecté et qu’il ne faut plus faire machine arrière. Le locataire d’Ambohitsorohitra de préciser qu’il n’est plus question de perturber davantage l’ordre public d’autant plus que cette année sera consacrée aux élections. Sur ce sujet, le PHAT, dans son discours, a promis que les élections seront crédibles et transparentes. Il se veut optimiste en annonçant que les manifestations populaires dans les rues feront ainsi partie de’un passé révolu. D’ailleurs, le ministre des Finances et du Budget Hery Rajaonarimampianina, lui, avait précisé qu’un budget conséquent de 45 milliards d’Ariary est prévu par la loi des finances 2012 pour la préparation de trois scrutins électoraux.
Pour en revenir à l’allocution du président du CT Mamy Rakotoarivelo, d’après certaines sources, une lettre a été adressée à Marius Fransman très récemment. À en croire les propos du président du Congrès de la Transition, le vice-ministre sud-africain aurait répondu positivement au retour de Marc Ravalomanana à Madagascar.
Marc A.
Coup de théâtre hier à la cérémonie de présentation de vÅ“ux au couple présidentiel à Iavoloha. Le président du Congrès de la Transition Mamy Rakotoarivelo a évoqué dans son discours le retour de Marc Ravalomanana. Réplique immédiate du Président de la Transition Andry Rajoelina…
À la fin de son discours de présentation de vÅ“ux au couple présidentiel, Mamy Rakotoarivelo, président du Congrès de la Transition a annoncé le retour prochain de l’ancien chef de l’État Marc Ravalomanana. D’après les propos du numéro un du CT, ce retour a obtenu l’aval de Marius Fransman, vice-ministre sud-africain de la coopération.
Par ailleurs, le chef de délégation de la mouvance Ravalomanana de souligner que l’exemple sud-africain est un modèle à imiter. Un exemple dont le Président de la HAT a été témoin en Afrique du Sud la semaine dernière. Il s’agit notamment du retour des exilés politiques et de la libération des détenus politiques. Ce chef d’institution d’admettre tout de méme que l’application de la feuille de route n’est pas conforme à la normalité. De ce fait, il a demandé que l’apaisement stipulé dans les articles 16, 20 et 23 de la feuille de route soit concrétisé. Quelques instants plus tard, dans son discours, Andry Rajoelina, le Président de la HAT a déclaré par le biais de métaphore son opposition à ce retour de Marc Ravalomanana. Selon ses propos : « l’air pollué de l’extérieur ne sera jamais introduit dans notre pays ». Des propos quelque peu imagés qui illustrent aisément le sentiment que le PHAT éprouve pour l’ancien chef d’Etat et qui répond directement aux propos du président du CT. En outre, le PHAT a voulu préciser que ce qui a été convenu devra étre respecté et qu’il ne faut plus faire machine arrière. Le locataire d’Ambohitsorohitra de préciser qu’il n’est plus question de perturber davantage l’ordre public d’autant plus que cette année sera consacrée aux élections. Sur ce sujet, le PHAT, dans son discours, a promis que les élections seront crédibles et transparentes. Il se veut optimiste en annonçant que les manifestations populaires dans les rues feront ainsi partie de’un passé révolu. D’ailleurs, le ministre des Finances et du Budget Hery Rajaonarimampianina, lui, avait précisé qu’un budget conséquent de 45 milliards d’Ariary est prévu par la loi des finances 2012 pour la préparation de trois scrutins électoraux.
Pour en revenir à l’allocution du président du CT Mamy Rakotoarivelo, d’après certaines sources, une lettre a été adressée à Marius Fransman très récemment. À en croire les propos du président du Congrès de la Transition, le vice-ministre sud-africain aurait répondu positivement au retour de Marc Ravalomanana à Madagascar.
Marc A.
3. rijadolly
(
12/01/2012 01:48)
Invitée de marque
Depuis la mise en place du gouvernement de transition et la nomination du PM de consensus, il n’est plus question de chasse gardée et de pouvoir régalien du Président de la transition. Certes, le locataire d’Iavoloha est le maître des lieux pendant ces 4 jours de liesse au sommet, mais les donnes ont changé. La première journée a été marquée par la passe d’armes de Rajoelina et de Rakotoarivelo sur le retour au pays de Marc Ravalomanana. Mais également sur le discours déterminé du PM sur la mise en Å“uvre de la feuille de route.
La feuille de route définit les rôles et les attributions. Le Premier ministre de consensus est partenaire et non subordonné. Il ne peut pas étre limogé. Il a toutes les latitudes pour mener à bien sa tâche qui est de gérer la transition.
Le PM Omer Beriziky n’hérite pas d’une situation confuse comme sous son prédécesseur. Il a derrière lui l’ensemble de la Communauté internationale. Et en principe, il a le soutien du Président de la transition. Et nous voyons combien cette communauté internationale est la principale invitée de marque de jour.
Cependant, la vitesse du processus de reconnaissance internationale dépendra du personnage Omer Beriziky. Mais également, du comportement de ce gouvernement hétéroclite. De la personnalité de chaque ministre. Etant donné qu’il s’agit, selon la feuille de route, d’un gouvernement d’union nationale. Hier, le PM a défini clairement les enjeux et les avancées effectuées.
Le principe « union nationale » met les ministres devant une grande responsabilités, notamment ceux issus des entités signataires de la feuille de route. Ces entités ne peuvent pas prétendre représenter la Nation et l’ensemble de la classe politique. Que faire ? Tout est question de bonne volonté. Les 11 entités devraient regarder ailleurs que dans leurs seuls camps politiques. Cela s’appelle ouverture sur la société civile. Et les techniciens. Du moins, dans le débat et la mise en application, dans son intégralité, des objectifs fixés par la feuille de route
Depuis la mise en place du gouvernement de transition et la nomination du PM de consensus, il n’est plus question de chasse gardée et de pouvoir régalien du Président de la transition. Certes, le locataire d’Iavoloha est le maître des lieux pendant ces 4 jours de liesse au sommet, mais les donnes ont changé. La première journée a été marquée par la passe d’armes de Rajoelina et de Rakotoarivelo sur le retour au pays de Marc Ravalomanana. Mais également sur le discours déterminé du PM sur la mise en Å“uvre de la feuille de route.
La feuille de route définit les rôles et les attributions. Le Premier ministre de consensus est partenaire et non subordonné. Il ne peut pas étre limogé. Il a toutes les latitudes pour mener à bien sa tâche qui est de gérer la transition.
Le PM Omer Beriziky n’hérite pas d’une situation confuse comme sous son prédécesseur. Il a derrière lui l’ensemble de la Communauté internationale. Et en principe, il a le soutien du Président de la transition. Et nous voyons combien cette communauté internationale est la principale invitée de marque de jour.
Cependant, la vitesse du processus de reconnaissance internationale dépendra du personnage Omer Beriziky. Mais également, du comportement de ce gouvernement hétéroclite. De la personnalité de chaque ministre. Etant donné qu’il s’agit, selon la feuille de route, d’un gouvernement d’union nationale. Hier, le PM a défini clairement les enjeux et les avancées effectuées.
Le principe « union nationale » met les ministres devant une grande responsabilités, notamment ceux issus des entités signataires de la feuille de route. Ces entités ne peuvent pas prétendre représenter la Nation et l’ensemble de la classe politique. Que faire ? Tout est question de bonne volonté. Les 11 entités devraient regarder ailleurs que dans leurs seuls camps politiques. Cela s’appelle ouverture sur la société civile. Et les techniciens. Du moins, dans le débat et la mise en application, dans son intégralité, des objectifs fixés par la feuille de route
4. rijadolly
(
12/01/2012 01:48)
JIRAMA: Hausse inévitable du coût de l’électricité si la tendance actuelle perdure
Les tarifs de la compagnie de production et de distribution d’eau et d’électricité malgache sont susceptibles d’étre révisés à la hausse cette année. Dans son discours de présentation des vÅ“ux, le chef de l’État malgache a averti les consommateurs dans ce sens.
Le social des Malgaches a été soulevé par Andry Rajoelina, président de la Haute Autorité de la Transition, hier à Iavoloha. Dans son discours, il a tenu à avertir la population d’une inévitable hausse des tarifs de la Jirama si les centrales thermiques continuent d’alimenter l’électricité du pays. D’après ses calculs, le coût de production d’une centrale thermique s’élève à 0.35 cents de USD/kwh. Un montant estimé à 700 Ariary le kwh si, actuellement, la Jirama distribue à 340 Ariary/kwh en moyenne. Une réflexion notée par le Président de la HAT qui a fait remarquer par la méme occasion que la Jirama vend à perte sa production d’électricité. Le chef de l’État malgache de signaler que durant trois années consécutives, la Jirama n’avait appliqué aucune hausse de tarif. En revanche, une baisse conséquente des tarifs, de l’ordre de 10%, a été appliquée depuis l’avènement de la transition.
En outre, le chef de l’État se voulait rassurant en annonçant que la ville d’Antananarivo ne souffrira plus du délestage à compter de cette année. Il a rappelé l’acquisition de nouveaux équipements de la Jirama, tels que des groupes électrogènes, depuis le début de cette année 2012. Force est de constater que glissement de l’Ariary face à l’USD pourra entrainer une hausse de prix du carburant et, par conséquent, une hausse des tarifs de production d’électricité de la Jirama. Cependant, ni le PHAT ni le ministre de l’Energie n’ont annoncé la date à compter de laquelle cette hausse des tarifs de consommation sera appliquée.
Solution alternative
Dans le méme contexte, le président de la HAT a avancé une solution alternative, celle de mettre en place des centrales alimentée par de l’énergie éolienne. Madagascar a un besoin en énergie de 250 mégawatts et, pour cette année, le président de la HAT envisage la production de 50 mégawatts d’électricité à partir de l’énergie éolienne avant la fin de cette année 2012. Le chef de l’État de faire remarquer que le coût de production de l’éolienne est estimé à 0.19 cents le kwh soit presque la moitié du coût de production d’une centrale thermique.
Selon les explications du ministre de l’Energie, Nestor Razafindroriaka, plusieurs sites dans tout Madagascar sont exploitables pour la mise en place de centrales éoliennes, que ce soit en provinces ou sur les hautes terres. En ce qui concerne l’installation de centrale hydroélectrique dans les autres régions du pays, le ministre de l’Energie de préciser que plusieurs sites sont actuellement disponibles mais que ces projets sont à long terme.
Marc A.
Les tarifs de la compagnie de production et de distribution d’eau et d’électricité malgache sont susceptibles d’étre révisés à la hausse cette année. Dans son discours de présentation des vÅ“ux, le chef de l’État malgache a averti les consommateurs dans ce sens.
Le social des Malgaches a été soulevé par Andry Rajoelina, président de la Haute Autorité de la Transition, hier à Iavoloha. Dans son discours, il a tenu à avertir la population d’une inévitable hausse des tarifs de la Jirama si les centrales thermiques continuent d’alimenter l’électricité du pays. D’après ses calculs, le coût de production d’une centrale thermique s’élève à 0.35 cents de USD/kwh. Un montant estimé à 700 Ariary le kwh si, actuellement, la Jirama distribue à 340 Ariary/kwh en moyenne. Une réflexion notée par le Président de la HAT qui a fait remarquer par la méme occasion que la Jirama vend à perte sa production d’électricité. Le chef de l’État malgache de signaler que durant trois années consécutives, la Jirama n’avait appliqué aucune hausse de tarif. En revanche, une baisse conséquente des tarifs, de l’ordre de 10%, a été appliquée depuis l’avènement de la transition.
En outre, le chef de l’État se voulait rassurant en annonçant que la ville d’Antananarivo ne souffrira plus du délestage à compter de cette année. Il a rappelé l’acquisition de nouveaux équipements de la Jirama, tels que des groupes électrogènes, depuis le début de cette année 2012. Force est de constater que glissement de l’Ariary face à l’USD pourra entrainer une hausse de prix du carburant et, par conséquent, une hausse des tarifs de production d’électricité de la Jirama. Cependant, ni le PHAT ni le ministre de l’Energie n’ont annoncé la date à compter de laquelle cette hausse des tarifs de consommation sera appliquée.
Solution alternative
Dans le méme contexte, le président de la HAT a avancé une solution alternative, celle de mettre en place des centrales alimentée par de l’énergie éolienne. Madagascar a un besoin en énergie de 250 mégawatts et, pour cette année, le président de la HAT envisage la production de 50 mégawatts d’électricité à partir de l’énergie éolienne avant la fin de cette année 2012. Le chef de l’État de faire remarquer que le coût de production de l’éolienne est estimé à 0.19 cents le kwh soit presque la moitié du coût de production d’une centrale thermique.
Selon les explications du ministre de l’Energie, Nestor Razafindroriaka, plusieurs sites dans tout Madagascar sont exploitables pour la mise en place de centrales éoliennes, que ce soit en provinces ou sur les hautes terres. En ce qui concerne l’installation de centrale hydroélectrique dans les autres régions du pays, le ministre de l’Energie de préciser que plusieurs sites sont actuellement disponibles mais que ces projets sont à long terme.
Marc A.
5. rijadolly
(
12/01/2012 01:49)
Mise en Å“uvre de la feuille de route: Le PM évoque un bilan positif
Le Premier ministre du gouvernement d’union nationale Omer Beriziky a dressé le premier bilan de ces trois premiers mois de mise en Å“uvre de la feuille de route.
Il estime que d’un point de vue général, Madagascar se dirige allégrement vers l’organisation des élections. « L’objectif en est de tenir ensemble des scrutins transparents et justes afin de mettre en place la bonne gouvernance. Cela permettra également de mettre en place un Etat de droit pour garantir une société sereine où règnent la sécurité et la paix », a-t-il poursuivi. Grosso modo, la feuille de route est, vue sous un certain angle, concrétisée en bonne et due forme. Le Premier ministre Omer Beriziky a en outre mis les points sur les « i » en ce qui concerne les perspectives de son gouvernement. Selon ses propos : « nombreuses sont les tâches qui nous attendent, notamment en ce qui concerne la mise en place des institutions prescrites par la feuille de route ».
Il a ensuite précisé la nécessité de créer une nouvelle CENI, de mettre en place un Conseil économique, social et culturel ainsi que le Conseil de Réconciliation Nationale qui devra garantir l’apaisement.
Enfin, le locataire de Mahazoarivo a appelé pour l’énième fois les entités encore hésitantes, à intégrer les institutions de la transition.
Lova E.
Le Premier ministre du gouvernement d’union nationale Omer Beriziky a dressé le premier bilan de ces trois premiers mois de mise en Å“uvre de la feuille de route.
Il estime que d’un point de vue général, Madagascar se dirige allégrement vers l’organisation des élections. « L’objectif en est de tenir ensemble des scrutins transparents et justes afin de mettre en place la bonne gouvernance. Cela permettra également de mettre en place un Etat de droit pour garantir une société sereine où règnent la sécurité et la paix », a-t-il poursuivi. Grosso modo, la feuille de route est, vue sous un certain angle, concrétisée en bonne et due forme. Le Premier ministre Omer Beriziky a en outre mis les points sur les « i » en ce qui concerne les perspectives de son gouvernement. Selon ses propos : « nombreuses sont les tâches qui nous attendent, notamment en ce qui concerne la mise en place des institutions prescrites par la feuille de route ».
Il a ensuite précisé la nécessité de créer une nouvelle CENI, de mettre en place un Conseil économique, social et culturel ainsi que le Conseil de Réconciliation Nationale qui devra garantir l’apaisement.
Enfin, le locataire de Mahazoarivo a appelé pour l’énième fois les entités encore hésitantes, à intégrer les institutions de la transition.
Lova E.
6. rijadolly
(
12/01/2012 01:50)
Retour de l’ancien chef d’Etat Marc Ravalomanana: Le Cemgam explique la nouvelle position de l’Armée
Interrogé sur la position des Forces armées quant au retour de l’ancien président Marc Ravalomanana, le Gal André Ndriarijaona, chef d’Etat- major Général de l’Armée Malagasy a répliqué qu’un comité ad hoc est mis en place au sein du gouvernement. Selon ses propos, «nous respectons la hiérarchie, nous ne pouvons pas faire blocage aux décisions du gouvernement». Il a ainsi affirmé que l’Armée a le devoir de se soumettre aux décisions du gouvernement. Toute forme de désapprobation constituerait, d’après lui, d’acte de rébellion.
Le CEMGAM a mis l’accent sur la mission qui incombe aux Forces armées, celle de maintenir l’ordre public. La grande famille de l’Armée devra étre interrogée sur l’aspect technique et non politique des choses, a-t-il laissé entendre.
Les Forces armées accompagneront les actions destinées à réunir les conditions sécuritaires du retour de l’ancien président Marc Ravalomanana. Chacun devra remplir sa part de responsabilité, a fait savoir le Gal André Ndriarijaona. Le contexte était, néanmoins, différent lors de la manifestation des éléments des Forces armées à l’Episcopat d’Antanimena, a-t-il répliqué aux questions posées par la presse.
Pour ce qui est du sort du Lt-Col. Charles Andrianasoavina, le CEMGAM de préciser que seule, la discipline militaire sera appliquée. En cas de faute militaire, le conseil d’enquéte est appelé à statuer.
Claudia R.
Interrogé sur la position des Forces armées quant au retour de l’ancien président Marc Ravalomanana, le Gal André Ndriarijaona, chef d’Etat- major Général de l’Armée Malagasy a répliqué qu’un comité ad hoc est mis en place au sein du gouvernement. Selon ses propos, «nous respectons la hiérarchie, nous ne pouvons pas faire blocage aux décisions du gouvernement». Il a ainsi affirmé que l’Armée a le devoir de se soumettre aux décisions du gouvernement. Toute forme de désapprobation constituerait, d’après lui, d’acte de rébellion.
Le CEMGAM a mis l’accent sur la mission qui incombe aux Forces armées, celle de maintenir l’ordre public. La grande famille de l’Armée devra étre interrogée sur l’aspect technique et non politique des choses, a-t-il laissé entendre.
Les Forces armées accompagneront les actions destinées à réunir les conditions sécuritaires du retour de l’ancien président Marc Ravalomanana. Chacun devra remplir sa part de responsabilité, a fait savoir le Gal André Ndriarijaona. Le contexte était, néanmoins, différent lors de la manifestation des éléments des Forces armées à l’Episcopat d’Antanimena, a-t-il répliqué aux questions posées par la presse.
Pour ce qui est du sort du Lt-Col. Charles Andrianasoavina, le CEMGAM de préciser que seule, la discipline militaire sera appliquée. En cas de faute militaire, le conseil d’enquéte est appelé à statuer.
Claudia R.
7. rijadolly
(
12/01/2012 01:51)
Gal Dolin Rasolosoa: «Nous terminons ce que l’on a débuté»
Le général Dolin Rasolosoa, président du Conseil Supérieur de la transition, estime que les réalisations effectuées par le régime de transition sont visibles et palpables. Cependant, il constate que certains individus font apparemment semblant de ne pas les admettre. « Quoi qu’il en soit, nous poursuivons tout ce que l’on a commencé », a-t-il déclaré dans son allocution à la cérémonie de présentation de vÅ“ux à Iavoloha.
En ce qui concerne la mise en Å“uvre de la feuille de route, il a martelé que cette action d’envergure nationale requiert la contribution des acteurs politiques locaux dont les signataires de cette directive de sortie de crise. «Il serait plus judicieux de proposer et de faire connaître les suggestions susceptibles de contribuer à la sortie de crise», a souligné le président du CST. D’ailleurs, il a rappelé que la feuille de route est déjà effective et devrait aboutir à l’organisation des élections.
Enfin, le président du CST exhorte tous les politiciens et les membres de l’institution qu’il préside à Å“uvrer dans l’intérét de toute la population et la nation.
Lova E.
Le général Dolin Rasolosoa, président du Conseil Supérieur de la transition, estime que les réalisations effectuées par le régime de transition sont visibles et palpables. Cependant, il constate que certains individus font apparemment semblant de ne pas les admettre. « Quoi qu’il en soit, nous poursuivons tout ce que l’on a commencé », a-t-il déclaré dans son allocution à la cérémonie de présentation de vÅ“ux à Iavoloha.
En ce qui concerne la mise en Å“uvre de la feuille de route, il a martelé que cette action d’envergure nationale requiert la contribution des acteurs politiques locaux dont les signataires de cette directive de sortie de crise. «Il serait plus judicieux de proposer et de faire connaître les suggestions susceptibles de contribuer à la sortie de crise», a souligné le président du CST. D’ailleurs, il a rappelé que la feuille de route est déjà effective et devrait aboutir à l’organisation des élections.
Enfin, le président du CST exhorte tous les politiciens et les membres de l’institution qu’il préside à Å“uvrer dans l’intérét de toute la population et la nation.
Lova E.
8. rijadolly
(
12/01/2012 01:52)
Revendication du SECES: Le MFB exprime son étonnement
«La déclaration du syndicat des enseignants-chercheurs de l’enseignement supérieur (SECES) n’a pas de fond technique, aucun dossier relatif aux heures complémentaires des enseignants-chercheurs n’est en notre possession et qui nous permette de les régler. A mon avis, il y a autre chose derrière cette requéte de démission ». Telle est la réaction du ministre des Finances et du Budget Hery Rajaonarimampianina à la déclaration des membres du SECES qui réclament sa démission.
Le ministre des Finances et du Budget se dit surpris par cette déclaration dans la mesure où le dossier du SECES ne lui est méme pas encore parvenu. Comme il a tenu à le préciser, la requéte du SECES ne suit aucune règle logique.
Selon les propos du ministre à ce sujet : «j’étais vraiment surpris de cette requéte dans la mesure où nous nous sommes rencontrés juste avant les fétes de Noël. Il avait été convenu que le syndicat et le ministère de l’Enseignement supérieur se conformeront aux procédures appropriées pour soumettre les états de paiement au Trésor public. Cependant, ce dernier n’a toujours reçu aucune déclaration ni état de paiement… Dans ce sens, comment voulez-vous que le ministère des Finances et du Budget puisse effectuer les paiements ? Je ne tiens nullement à empiéter sur les plates-bandes des autres ministères !. Si ces derniers se décident à engager les procédures, le ministère des Finances et du Budget sera au bout de la chaîne pour effectuer les paiements ».
Vola R
«La déclaration du syndicat des enseignants-chercheurs de l’enseignement supérieur (SECES) n’a pas de fond technique, aucun dossier relatif aux heures complémentaires des enseignants-chercheurs n’est en notre possession et qui nous permette de les régler. A mon avis, il y a autre chose derrière cette requéte de démission ». Telle est la réaction du ministre des Finances et du Budget Hery Rajaonarimampianina à la déclaration des membres du SECES qui réclament sa démission.
Le ministre des Finances et du Budget se dit surpris par cette déclaration dans la mesure où le dossier du SECES ne lui est méme pas encore parvenu. Comme il a tenu à le préciser, la requéte du SECES ne suit aucune règle logique.
Selon les propos du ministre à ce sujet : «j’étais vraiment surpris de cette requéte dans la mesure où nous nous sommes rencontrés juste avant les fétes de Noël. Il avait été convenu que le syndicat et le ministère de l’Enseignement supérieur se conformeront aux procédures appropriées pour soumettre les états de paiement au Trésor public. Cependant, ce dernier n’a toujours reçu aucune déclaration ni état de paiement… Dans ce sens, comment voulez-vous que le ministère des Finances et du Budget puisse effectuer les paiements ? Je ne tiens nullement à empiéter sur les plates-bandes des autres ministères !. Si ces derniers se décident à engager les procédures, le ministère des Finances et du Budget sera au bout de la chaîne pour effectuer les paiements ».
Vola R
9. rijadolly
(
12/01/2012 01:52)
Sit-in à Ankatso: Divergence d’idées entre étudiants
En réaction à la déclaration du syndicat des enseignants-chercheurs (SECES) relative à la suspension définitive des activités pédagogiques des six universités, les étudiants de l’université d’Antananarivo ont effectué un sit-in hier sur l’esplanade d’Ankatso hier.
Cette manifestation n’a pas obtenu l’affluence escomptée dans la mesure où les opinions divergent entre les étudiants en ce qui concerne la démarche à suivre pour faire pression à la fois sur le SECES et sur l’Etat malgache.
D’une part, les associations pédagogiques continuent de négocier l’achèvement des examens avant d’entamer le mouvement de contestation. D’autre part, les diverses associations d’étudiants estiment que seule la grève à durée indéterminée ainsi que le sit-in qui se tiennent dans l’enceinte du campus suffiront à décanter la situation.
Les étudiants, par la voix de leur porte-parole, Hery, dénoncent l’inertie des enseignants-chercheurs ainsi que des ministères de tutelle. D’après Hery, cette absence de réaction, tant du SECES que de l’Etat, fait que les étudiants sont pris en otage. Il a fait remarquer que l’Etat n’aurait pas dû adopter le fameux décret portant augmentation du montant des divers avantages et indemnités des enseignants-chercheurs s’il ne dispose méme pas des moyens de les régler… « Les changements successifs de ministre à la téte du département de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique confirme le désintéressement des dirigeants actuels du bon fonctionnement de l’enseignement supérieur », a-t-il déclaré.
Par la méme occasion, le porte-parole des étudiants a fustigé les enseignants-chercheurs qui, d’après lui, n’avaient méme pas songé une seule seconde aux répercussions de leurs initiatives sur les étudiants.
Berija Ravelomanantsoa, autre leader du mouvement des étudiants, a fait savoir que leur manifestation prendra de l’ampleur à partir de ce jour si aucune disposition relative à la reprise des activités pédagogiques ne sera adoptée. Cet étudiant d’admettre qu’en dépit de la divergence d’opinions, tous les étudiants partagent le méme objectif de réclamer la reprise des activités pédagogiques dans tous les départements universitaires d’Antananarivo.
Par ailleurs, certains établissements ont repris leurs activités pédagogiques depuis hier. Il s’agit notamment du département de Gestion et Sociologie qui a entamé hier à sa 2ème session d’examen pour ses étudiants des 2ème et 3ème années, tandis le département de Médecine, pour sa part, a finalement affiché hier les résultats de ses examens.
RR.
En réaction à la déclaration du syndicat des enseignants-chercheurs (SECES) relative à la suspension définitive des activités pédagogiques des six universités, les étudiants de l’université d’Antananarivo ont effectué un sit-in hier sur l’esplanade d’Ankatso hier.
Cette manifestation n’a pas obtenu l’affluence escomptée dans la mesure où les opinions divergent entre les étudiants en ce qui concerne la démarche à suivre pour faire pression à la fois sur le SECES et sur l’Etat malgache.
D’une part, les associations pédagogiques continuent de négocier l’achèvement des examens avant d’entamer le mouvement de contestation. D’autre part, les diverses associations d’étudiants estiment que seule la grève à durée indéterminée ainsi que le sit-in qui se tiennent dans l’enceinte du campus suffiront à décanter la situation.
Les étudiants, par la voix de leur porte-parole, Hery, dénoncent l’inertie des enseignants-chercheurs ainsi que des ministères de tutelle. D’après Hery, cette absence de réaction, tant du SECES que de l’Etat, fait que les étudiants sont pris en otage. Il a fait remarquer que l’Etat n’aurait pas dû adopter le fameux décret portant augmentation du montant des divers avantages et indemnités des enseignants-chercheurs s’il ne dispose méme pas des moyens de les régler… « Les changements successifs de ministre à la téte du département de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique confirme le désintéressement des dirigeants actuels du bon fonctionnement de l’enseignement supérieur », a-t-il déclaré.
Par la méme occasion, le porte-parole des étudiants a fustigé les enseignants-chercheurs qui, d’après lui, n’avaient méme pas songé une seule seconde aux répercussions de leurs initiatives sur les étudiants.
Berija Ravelomanantsoa, autre leader du mouvement des étudiants, a fait savoir que leur manifestation prendra de l’ampleur à partir de ce jour si aucune disposition relative à la reprise des activités pédagogiques ne sera adoptée. Cet étudiant d’admettre qu’en dépit de la divergence d’opinions, tous les étudiants partagent le méme objectif de réclamer la reprise des activités pédagogiques dans tous les départements universitaires d’Antananarivo.
Par ailleurs, certains établissements ont repris leurs activités pédagogiques depuis hier. Il s’agit notamment du département de Gestion et Sociologie qui a entamé hier à sa 2ème session d’examen pour ses étudiants des 2ème et 3ème années, tandis le département de Médecine, pour sa part, a finalement affiché hier les résultats de ses examens.
RR.
10. rijadolly
(
12/01/2012 01:53)
SMM: Une AG qui sent le soufre…
Le Syndicat des Magistrats de Madagascar (SMM), par le biais d’un communiqué qu’il nous a fait parvenir, a réitéré qu’il ne fléchira point et maintient ses revendications, en dépit des moyens mis en Å“uvre pour détruire leur mouvement. Le SMM est persuadé que la non considération de ses revendications, dont la démission du ministre de la Sécurité intérieure, reflète le déclin de l’État de droit et de la bonne gouvernance à Madagascar. Le SMM de marteler que l’indécision ainsi que le manque de volonté de réagir aux évènements du 9 décembre dernier ayant occasionné mort d’homme, signifient clairement que nos dirigeants ne méritent pas le titre qui leur est attribué, étant donné qu’ils ont failli à leurs devoirs et responsabilités. Le SMM d’enfoncer le clou en faisant remarquer que vis-à-vis des récents évènements, la Justice malgache a perdu de sa crédibilité. « L’instrumentalisation de la Justice par les régimes qui se sont succédés à Madagascar est à l’origine des maux de ce pays », ont relevé les membres du syndicat qui dénoncent l’existence flagrante de la culture d’impunité. Par conséquent, en l’absence de l’indépendance de la Justice, les citoyens ne peuvent que subir et voir leurs droits les plus fondamentaux bafoués. Cette énième déclaration du SMM témoigne déjà de l’ambiance qui prévaudra à l’occasion de l’assemblée générale qu’il compte organiser le 16 janvier prochain. Une AG avec, apparemment, une odeur de soufre.
L.R
Le Syndicat des Magistrats de Madagascar (SMM), par le biais d’un communiqué qu’il nous a fait parvenir, a réitéré qu’il ne fléchira point et maintient ses revendications, en dépit des moyens mis en Å“uvre pour détruire leur mouvement. Le SMM est persuadé que la non considération de ses revendications, dont la démission du ministre de la Sécurité intérieure, reflète le déclin de l’État de droit et de la bonne gouvernance à Madagascar. Le SMM de marteler que l’indécision ainsi que le manque de volonté de réagir aux évènements du 9 décembre dernier ayant occasionné mort d’homme, signifient clairement que nos dirigeants ne méritent pas le titre qui leur est attribué, étant donné qu’ils ont failli à leurs devoirs et responsabilités. Le SMM d’enfoncer le clou en faisant remarquer que vis-à-vis des récents évènements, la Justice malgache a perdu de sa crédibilité. « L’instrumentalisation de la Justice par les régimes qui se sont succédés à Madagascar est à l’origine des maux de ce pays », ont relevé les membres du syndicat qui dénoncent l’existence flagrante de la culture d’impunité. Par conséquent, en l’absence de l’indépendance de la Justice, les citoyens ne peuvent que subir et voir leurs droits les plus fondamentaux bafoués. Cette énième déclaration du SMM témoigne déjà de l’ambiance qui prévaudra à l’occasion de l’assemblée générale qu’il compte organiser le 16 janvier prochain. Une AG avec, apparemment, une odeur de soufre.
L.R
11. rijadolly
(
12/01/2012 01:54)
ONAPASCOMA: Un millier d’accidents scolaires en 2011
Un millier de cas d’accident scolaire ont été enregistrés par l’Office National de la Prévention des accidents scolaires (Onapascoma) dans tout Madagascar durant l’année scolaire 2010-2011. Parmi ceux-ci, 11 accidents mortels et 160 divers cas ayant atteint le seuil de remboursement de plus de 80.000 Ariary. Ces dossiers ont été transférés directement auprès du siège de l’Onapascoma d’Antananarivo.
Par ailleurs, l’Onapascoma a déboursé, durant la méme période, plus 50 millions d’Ariary au profit d’élèves victimes et le paiement est en cours pour certains. Selon les précisions apportées par Tsohara Sarobidy, directeur de l’Onapascoma : « contrairement aux autres compagnies d’assurance locales, l’Onapascoma règle une partie de l’amende au bénéficiaire peu de temps après l’accident scolaire. Ensuite, les parents du bénéficiaire sont invités à constituer le dossier complet de la requéte pour pouvoir bénéficier de l’intégralité de l’assurance ».
Par ailleurs, les élèves victimes d’accidents scolaires, qui bénéficient d’une amende de moins de 80.000 Ariary sont pris en charge par les Directions Régionales de l’Education Nationale et par les circonscriptions scolaires. Seuls les élèves affiliés à l’Onapascoma bénéficient de remboursement d’amendes. Il s’agit notamment des élèves de tous les établissements publics membres d’office ainsi que des établissements privés qui adhèrent à l’office.
Par ailleurs, la cotisation annuelle à verser à l’office varie en fonction de la zone d’implantation des établissements scolaires. Ainsi, la cotisation en est fixée à 200 Ariary par élève par an pour les établissements scolaires implantés en ville, elle est à 150 Ariary par élève par an pour ceux situés dans les ex chefs-lieu de provinces et à Antsirabe. Les établissements des zones rurales et enclavées, pour leur part, doivent s’acquitter de 100 Ariary par élève par an.
4.500.000 enfants issus des 22 régions du pays sont actuellement affiliés à l’Onapascoma.
RR.
Un millier de cas d’accident scolaire ont été enregistrés par l’Office National de la Prévention des accidents scolaires (Onapascoma) dans tout Madagascar durant l’année scolaire 2010-2011. Parmi ceux-ci, 11 accidents mortels et 160 divers cas ayant atteint le seuil de remboursement de plus de 80.000 Ariary. Ces dossiers ont été transférés directement auprès du siège de l’Onapascoma d’Antananarivo.
Par ailleurs, l’Onapascoma a déboursé, durant la méme période, plus 50 millions d’Ariary au profit d’élèves victimes et le paiement est en cours pour certains. Selon les précisions apportées par Tsohara Sarobidy, directeur de l’Onapascoma : « contrairement aux autres compagnies d’assurance locales, l’Onapascoma règle une partie de l’amende au bénéficiaire peu de temps après l’accident scolaire. Ensuite, les parents du bénéficiaire sont invités à constituer le dossier complet de la requéte pour pouvoir bénéficier de l’intégralité de l’assurance ».
Par ailleurs, les élèves victimes d’accidents scolaires, qui bénéficient d’une amende de moins de 80.000 Ariary sont pris en charge par les Directions Régionales de l’Education Nationale et par les circonscriptions scolaires. Seuls les élèves affiliés à l’Onapascoma bénéficient de remboursement d’amendes. Il s’agit notamment des élèves de tous les établissements publics membres d’office ainsi que des établissements privés qui adhèrent à l’office.
Par ailleurs, la cotisation annuelle à verser à l’office varie en fonction de la zone d’implantation des établissements scolaires. Ainsi, la cotisation en est fixée à 200 Ariary par élève par an pour les établissements scolaires implantés en ville, elle est à 150 Ariary par élève par an pour ceux situés dans les ex chefs-lieu de provinces et à Antsirabe. Les établissements des zones rurales et enclavées, pour leur part, doivent s’acquitter de 100 Ariary par élève par an.
4.500.000 enfants issus des 22 régions du pays sont actuellement affiliés à l’Onapascoma.
RR.