o ry zalahy
1. bazylou
(
14/10/2011 18:20)
efa nivoka sahady anie le karana nanao trafika na 30kg volamena saika aondran any komoro e
ireto panao polifika ma,detika hatrany an'ity nosy ity. fika sy saosy fonano ady eo.
analin kisa ry papa ny olona tsy misakafo hafa tsy indrepa isan'andro a.
Tsy misy securite nytanana sy ny any ambany volo.
dia ahoana , mbola hiala bala ihany ve isika sa handray andraikitra hanarina sy hanavotra ity nosy ity ???
ireto panao polifika ma,detika hatrany an'ity nosy ity. fika sy saosy fonano ady eo.
analin kisa ry papa ny olona tsy misakafo hafa tsy indrepa isan'andro a.
Tsy misy securite nytanana sy ny any ambany volo.
dia ahoana , mbola hiala bala ihany ve isika sa handray andraikitra hanarina sy hanavotra ity nosy ity ???
répondu par bazylou le 17/10/2011 18:49
2. bazylou
(
14/10/2011 18:27)
tsy vahaolana intsony ity mivavabavaka sy mivorivory etsy sy eroa ity. hetsika no ilaina
4. hery
(
15/10/2011 08:06)
:-)
Efa hatramin'ny Janvier 2009 izahay ra Bazylou no nimenomenona hoe tsy mamely izany fanjakana alaina an-keriny izany a. Ianareo izao vao taitra.
Rehefa maka an-keriny ny filoha dia maka an-keriny daholo izay manana basy... izany no ampianarina azy ka.
Fa ianareo moa sarotra tenenina, lazaina fa fitiavana manokana an-dRavalo no nitenenana an'izany.
Efa hatramin'ny Janvier 2009 izahay ra Bazylou no nimenomenona hoe tsy mamely izany fanjakana alaina an-keriny izany a. Ianareo izao vao taitra.
Rehefa maka an-keriny ny filoha dia maka an-keriny daholo izay manana basy... izany no ampianarina azy ka.
Fa ianareo moa sarotra tenenina, lazaina fa fitiavana manokana an-dRavalo no nitenenana an'izany.
6. bazylou
(
15/10/2011 18:44)
dia avereno amin'ny laoniny aza le fanjakana fa tsy eo nareo no 2009 e2009
7. bazylou
(
15/10/2011 20:01)
tsy hoe nihiratra ry noue fa diso ary tsy voan'i tgv le teteza mita. milay be ilay courageny fa sy vitany ilay hitondra firenena f anandany andro hiresaka etsy sy eroa izy.
hany ka nivaralila ny zavatra.
azo lazaina ihany koa anefa io fa tetika hijanonana eo lava be.
oza ary nosahyhanova e??
hany ka nivaralila ny zavatra.
azo lazaina ihany koa anefa io fa tetika hijanonana eo lava be.
oza ary nosahyhanova e??
8. milamm
(
16/10/2011 18:30)
raha tsy diso aho hoy ilay mpitarika malaza " Tsy adidiko izaho samirery fa adidy izaho sy ianao " efa betsaka ireo te anova na very asa mitotongana ny fiainany, very havana tsy foy mahatsapa fa tsy rariny tsy misy tara zany mintsiny satria adidiny rehetra fa tsy zo ny mamerina ny atao oe aradalana tsy mijanona izy reny nefa misaratsaraka .Tena oh. akaiky reny krizy 1991-92 ny rehetra no nirotsaka fa rava sy niroso ihany ny repoblikany filoha Zafy refa rava teny atenatenany naongany solombavambahoaka iandry olomahery ho tonga ve vao hitroatra sa hiaramientana anohitra toy ny akanga maro tsy vakin'amboa, ny mitabe tsy laniny mamba fanalahidy tsy ananan'ireo olombitsy mitazona ny andia-manamboninahitra mampiasa herisetra @ vahoaka ka atambaro ny fanahy hery saina dia andao hiaramiroso anala ireo sakantsakana rehetra fa tsy ifanondro tanana samy tsy tompon'andraikitra.
9. milamm
(
16/10/2011 19:05)
misy koa fijery hafa marobe tsy mitovy zay voalazany Gene Sharp @ tony lahatsoratra tony mifandraika @ zavamisy sy tsy maintsy jerena akaiky (tsoaka avy @ gazety M.T)
Coups d’État, élections et sauveurs étrangers
lundi 1er août 2011
En prolongement de réflexions récentes sur les sanctions internationales et de l’extrait précédent déjà paru fin Juin, nous vous proposons aujourd’hui un texte tiré de l’essai de Gene Sharp, « De la dictature à la démocratie ».
Un coup d’État militaire contre une dictature peut paraître un des moyens les plus faciles et rapides d’éliminer un régime corrompu. Néanmoins, cette option pose de graves problèmes. Le plus important est qu’elle laisse en place une mauvaise distribution du pouvoir entre la population, l’élite au pouvoir et la force militaire. Le renvoi de certaines personnes et cliques des postes gouvernementaux facilitera tout simplement l’occupation de ces postes par d’autres personnes. Celles-ci auront peut-étre un comportement plus tempéré et seront éventuellement plus ouverts à des réformes démocratiques, mais ils peuvent aussi, à l’inverse, étre plus corrompus que ceux dont ils prennent la place.
Après avoir consolidé sa position, la nouvelle clique peut se révéler plus impitoyable et plus ambitieuse que la précédente. Ainsi, malgré les espoirs qu’elle apportait, elle sera libre de faire ce qu’elle veut sans se préoccuper de démocratie ou de droits humains. Cela ne peut donc pas étre une réponse acceptable au problème de la dictature.
Quant aux élections, il n’en est pas question sous une dictature : elles ne sont pas un instrument efficace de changement politique. Certains régimes dictatoriaux, comme ceux du bloc de l’Est sous contrôle soviétique, firent des parodies d’élections pour paraître démocratiques. Elles ne furent que des plébiscites rigoureusement contrôlés pour faire entériner par le public des choix de candidats déjà tranchés par les despotes. Des dictateurs sous pression peuvent parfois accepter de nouvelles élections, mais en les truquant pour mettre en place leurs marionnettes civiles au gouvernement. Si des candidats de l’opposition ont eu le droit de se présenter et furent réellement élus, comme en Birmanie en 1990 et au Nigeria en 1993, les résultats furent simplement ignorés et les « vainqueurs » soumis à l’intimidation, arrétés ou méme exécutés. Les dictateurs ne vont pas se permettre d’organiser des élections qui pourraient les chasser de leur trône.
Beaucoup de gens souffrant actuellement d’une dictature brutale, ou qui se sont exilés pour y échapper, ne croient pas que les opprimés puissent se libérer eux-mémes. Mais ils pensent que leur peuple ne peut étre sauvé que par l’intervention de tiers. Ils placent leur confiance en des forces extérieures et croient que seule l’aide internationale peut étre assez puissante pour renverser les dictateurs.
Cette idée selon laquelle les opprimés sont incapables d’agir efficacement est parfois exacte pour une certaine période. Souvent les peuples opprimés manquent de volonté et sont temporairement incapables de lutter, car ils n’ont aucune confiance en leur capacité de faire face à une dictature brutale et ne voient aucun moyen de s’en sortir. On comprend donc qu’ils placent leurs espoirs de libération en des entités tierces, en une force extérieure qui peut étre « l’opinion publique », les Nations Unies, un autre pays, ou encore des sanctions économiques et politiques internationales.
Une telle vision est confortable, mais elle pose de sérieux problèmes. Cette confiance accordée à une puissance extérieure peut étre très mal placée. Le plus souvent aucun sauveur étranger ne se présente, et si l’un d’eux le fait, on ne devrait probablement pas lui faire confiance.
Car de dures réalités sont à considérer avant de s’en remettre à une intervention étrangère :
Fréquemment, les puissances étrangères tolèrent et méme soutiennent une dictature afin de faire avancer leur propre intérét économique et politique.
Certains iront jusqu’à trahir le peuple opprimé plutôt que de tenir leur promesse d’aider à sa libération, cela afin de poursuivre un autre objectif.
D’autres agiront contre la dictature pour mieux maîtriser le pays aux plans économiques, politiques ou militaires.
Les puissances étrangères s’investissent parfois de manière positive pour le peuple opprimé, mais seulement si le mouvement intérieur de résistance a déjà ébranlé la dictature au point d’attirer l’attention internationale sur la nature brutale du régime.
Les dictatures existent principalement à cause de l’insuffisante répartition du pouvoir dans le pays lui-méme. La population et la société sont trop faibles pour poser des problèmes sérieux au pouvoir dictatorial, la richesse et le pouvoir sont concentrés en trop peu de mains. La survie des dictatures dépend principalement de facteurs internes, méme si elles peuvent étre renforcées ou affaiblies par des actions internationales.
Ces pressions internationales peuvent étre utiles lorsqu’elles soutiennent un puissant mouvement intérieur de résistance. Ainsi, les boycotts économiques internationaux, les embargos, la rupture des relations économiques, l’expulsion des organisations internationales, ou la condamnation par les Nations Unies, par exemple, peuvent étre utiles. Mais en l’absence d’un fort mouvement intérieur de résistance, de telles actions ne risquent guère d’étre entreprises.
Gene Sharp
Coups d’État, élections et sauveurs étrangers
lundi 1er août 2011
En prolongement de réflexions récentes sur les sanctions internationales et de l’extrait précédent déjà paru fin Juin, nous vous proposons aujourd’hui un texte tiré de l’essai de Gene Sharp, « De la dictature à la démocratie ».
Un coup d’État militaire contre une dictature peut paraître un des moyens les plus faciles et rapides d’éliminer un régime corrompu. Néanmoins, cette option pose de graves problèmes. Le plus important est qu’elle laisse en place une mauvaise distribution du pouvoir entre la population, l’élite au pouvoir et la force militaire. Le renvoi de certaines personnes et cliques des postes gouvernementaux facilitera tout simplement l’occupation de ces postes par d’autres personnes. Celles-ci auront peut-étre un comportement plus tempéré et seront éventuellement plus ouverts à des réformes démocratiques, mais ils peuvent aussi, à l’inverse, étre plus corrompus que ceux dont ils prennent la place.
Après avoir consolidé sa position, la nouvelle clique peut se révéler plus impitoyable et plus ambitieuse que la précédente. Ainsi, malgré les espoirs qu’elle apportait, elle sera libre de faire ce qu’elle veut sans se préoccuper de démocratie ou de droits humains. Cela ne peut donc pas étre une réponse acceptable au problème de la dictature.
Quant aux élections, il n’en est pas question sous une dictature : elles ne sont pas un instrument efficace de changement politique. Certains régimes dictatoriaux, comme ceux du bloc de l’Est sous contrôle soviétique, firent des parodies d’élections pour paraître démocratiques. Elles ne furent que des plébiscites rigoureusement contrôlés pour faire entériner par le public des choix de candidats déjà tranchés par les despotes. Des dictateurs sous pression peuvent parfois accepter de nouvelles élections, mais en les truquant pour mettre en place leurs marionnettes civiles au gouvernement. Si des candidats de l’opposition ont eu le droit de se présenter et furent réellement élus, comme en Birmanie en 1990 et au Nigeria en 1993, les résultats furent simplement ignorés et les « vainqueurs » soumis à l’intimidation, arrétés ou méme exécutés. Les dictateurs ne vont pas se permettre d’organiser des élections qui pourraient les chasser de leur trône.
Beaucoup de gens souffrant actuellement d’une dictature brutale, ou qui se sont exilés pour y échapper, ne croient pas que les opprimés puissent se libérer eux-mémes. Mais ils pensent que leur peuple ne peut étre sauvé que par l’intervention de tiers. Ils placent leur confiance en des forces extérieures et croient que seule l’aide internationale peut étre assez puissante pour renverser les dictateurs.
Cette idée selon laquelle les opprimés sont incapables d’agir efficacement est parfois exacte pour une certaine période. Souvent les peuples opprimés manquent de volonté et sont temporairement incapables de lutter, car ils n’ont aucune confiance en leur capacité de faire face à une dictature brutale et ne voient aucun moyen de s’en sortir. On comprend donc qu’ils placent leurs espoirs de libération en des entités tierces, en une force extérieure qui peut étre « l’opinion publique », les Nations Unies, un autre pays, ou encore des sanctions économiques et politiques internationales.
Une telle vision est confortable, mais elle pose de sérieux problèmes. Cette confiance accordée à une puissance extérieure peut étre très mal placée. Le plus souvent aucun sauveur étranger ne se présente, et si l’un d’eux le fait, on ne devrait probablement pas lui faire confiance.
Car de dures réalités sont à considérer avant de s’en remettre à une intervention étrangère :
Fréquemment, les puissances étrangères tolèrent et méme soutiennent une dictature afin de faire avancer leur propre intérét économique et politique.
Certains iront jusqu’à trahir le peuple opprimé plutôt que de tenir leur promesse d’aider à sa libération, cela afin de poursuivre un autre objectif.
D’autres agiront contre la dictature pour mieux maîtriser le pays aux plans économiques, politiques ou militaires.
Les puissances étrangères s’investissent parfois de manière positive pour le peuple opprimé, mais seulement si le mouvement intérieur de résistance a déjà ébranlé la dictature au point d’attirer l’attention internationale sur la nature brutale du régime.
Les dictatures existent principalement à cause de l’insuffisante répartition du pouvoir dans le pays lui-méme. La population et la société sont trop faibles pour poser des problèmes sérieux au pouvoir dictatorial, la richesse et le pouvoir sont concentrés en trop peu de mains. La survie des dictatures dépend principalement de facteurs internes, méme si elles peuvent étre renforcées ou affaiblies par des actions internationales.
Ces pressions internationales peuvent étre utiles lorsqu’elles soutiennent un puissant mouvement intérieur de résistance. Ainsi, les boycotts économiques internationaux, les embargos, la rupture des relations économiques, l’expulsion des organisations internationales, ou la condamnation par les Nations Unies, par exemple, peuvent étre utiles. Mais en l’absence d’un fort mouvement intérieur de résistance, de telles actions ne risquent guère d’étre entreprises.
Gene Sharp
10. reeves
(
17/10/2011 13:16)
Tsy fantatra aloha hatreto raha hisy vokany ny fampiharana ny tondrozotra na tsia fa raha sanatria ka midofotra io dia tena URGENT ny fanaovana action ciblée mahery vaika ary isika eto Tanà no tokony hanomboka azy . Tokony tsy hisy intsony tahotra avy amintsika satria ny ho avin'ny taranatsika no ataon'ireo jiolahy Mpanao politika ireo sorona izay tohanan'ireo Manamboninahitra Jeneraly Zandary , polisy ary miaramila vitsivitsy izay efa tsy misy moralité intsony nohon'ny fikatsahana tombotsoa manokana . Ny zavatra maika dia ny fandrodanana io fitondrana io , fametrahana Tetezamita TENA NEUTRE , fanilihana ireo manamboninahitra voalaza teo ambony , fametrahana ny aro fanina rehetra mba tsy ho lasa culture eto amintsika ny HALATRA SY NY FANODIKODINANA NY FANANANA IOMBONANA mba ho entina hampanankarena tampoka ny vitsy an'isa . Mila mametraka fitondrana mirona mankany amin'ny ARA-DRARINY kokoa ho an'ny faritra rehetra sy ho an'ny rafi-piasana misy eto isika raha tiana hiverina ny filaminana. Tokony ho fantatry ny vahoaka malagasy fa mbola tsy nisy teto ambonin'ny tany HERISETRA MIARAMILA nahatosika ny volonté n'ny peuple iray izany .