Une déesse à Antanimora
1. ari.malala
(
23/07/2008 09:12)
http://www.laverite.mg/actu1.htm
Un physique de rêve, une beauté à faire picoter la peau, une sveltesse enivrante, une élégance déroutante, etc. Les mots et phrases ont manqué à ses victimes pour qualifier son allure raffinée. Elle qui, Rakotondrasoa Ralibert Mannick Vatosoa de son nom, a su aligner tous ces atouts pour, comme par magie, faire fondre la vigilance de ces dernières. Mais comme toute chose a une fin, cette rare beauté vient d’être rattrapée par son propre charme. Escroquerie, abus de confiance, émission de chèques sans provision, faux et usage de faux ont ainsi été collés à son cou, à titre de bijoux… judiciaires.
La semaine dernière, elle a écopé de trois peines d’emprisonnement fermes sur les trois premiers dossiers pénaux qui l’ont coiffé. De mauvaises langues (au figuré) ont révélé qu’il lui reste encore pas moins de sept autres poursuites judiciaires à dégrafer de sa jupe. Une série noire de procès qui risque fort de l’épingler encore plus, jusqu’à ses lingeries fines. Elle, c’est Rakotondrasoa Ralibert Mannick Vatosoa, une jeune perle au physique de rêve, d’une beauté à faire picoter la peau avec sa sveltesse enivrante, enrobée d’une élégance déroutante. Elle a pris le chemin le plus court pour parvenir à ses fins : faire jouer à fond, et avec doigté, son charme pour faire fondre la vigilance d’une gent masculine trop aveuglée par ce mirage envoûtant. Une apparence séduisante et trompeuse qui a pu ainsi empocher, au bas mot, plus d’une centaine de millions d’ariary.
Jeux de genoux
Elle n’a traqué, et bien évidemment n’a dragué, que ces messieurs qui, vus de loin, fument l’opulence et humectent la richesse. Sans ayant eu à peser à fond sur son charme, sa sublime silhouette lui suffit pour mettre ceux-ci à ses pieds. Très décontractée, trop même avec ses jeux de genoux en « écarté-calé », elle a pu emmener, bien ancrée sur son siège, ses interlocuteurs d’en face vers un imaginaire univers de l’infini. Ces derniers qui, ayant eu ainsi les yeux tout aveuglés par ce joyau de la nature, ne se sont même pas aperçus qu’elle leur a déjà pu subtiliser quelques chèques de leur carnet. Des chèques qui ont permis, par la suite, à cette « pierre précieuse » (de son prénom, Vatosoa) d’acheter ailleurs de diverses marchandises de valeur qu’elle a immédiatement vendues à perte. Histoire d’avoir un sac « Chloé » tout bourré de liasses de billets, sans peine ni dépen…dance.
Si l’ « oiseau » manifestait une certaine réticence, Mademoiselle Rakotondrasoa n’a pas hésité à passer à la vitesse supérieure pour carrément s’introduire dans sa case (au propre comme au figuré). Là où elle a déployé son pouvoir charnel pour littéralement tenir celui-ci au cou. Un effort supplémentaire qui, en toute logique, a généré des gains supplémentaires : elle a carrément régné sur les richesses de son gibier. Plus grave encore, ce dernier n’ayant plus juré que par et pour elle, l’amazone s’est permise le luxe de se fixer des honoraires et autres émoluments « extra » en ayant empoché chèques (encore ?), bijoux en or, gros paquet de 10 000 ariary et tout objet de valeur de celui-ci et pouvant être mué, en un temps record, en liquidités.
Aphrodite de Tana
Malheureusement pour elle, toute chose a une fin. Un dicton dont elle ne s’est jamais fardée le visage. Résultats : elle a été poursuivie judiciairement d’escroquerie, abus de confiance, émission de chèques sans provision, faux et usage de faux. Et trois sévères verdicts l’ont démaquillé à l’issue du procès du 14 juillet dernier : pour chacun des trois dossiers pénaux, deux ans de prison fermes, assortis, en totalité, de 27 millions ariary de dommages et intérêts. Cette Aphrodite de Tana a déjà été placée sous mandat de dépôt depuis le 28 mai dernier. Mais des yeux indiscrets semblent l’avoir vue, ces derniers jours, prendre le petit déjeuner dans un salon de thé huppé de la capitale. Apparemment, cette déesse d’Antanimora continue encore à enivrer…
Rolly Mercia
Un physique de rêve, une beauté à faire picoter la peau, une sveltesse enivrante, une élégance déroutante, etc. Les mots et phrases ont manqué à ses victimes pour qualifier son allure raffinée. Elle qui, Rakotondrasoa Ralibert Mannick Vatosoa de son nom, a su aligner tous ces atouts pour, comme par magie, faire fondre la vigilance de ces dernières. Mais comme toute chose a une fin, cette rare beauté vient d’être rattrapée par son propre charme. Escroquerie, abus de confiance, émission de chèques sans provision, faux et usage de faux ont ainsi été collés à son cou, à titre de bijoux… judiciaires.
La semaine dernière, elle a écopé de trois peines d’emprisonnement fermes sur les trois premiers dossiers pénaux qui l’ont coiffé. De mauvaises langues (au figuré) ont révélé qu’il lui reste encore pas moins de sept autres poursuites judiciaires à dégrafer de sa jupe. Une série noire de procès qui risque fort de l’épingler encore plus, jusqu’à ses lingeries fines. Elle, c’est Rakotondrasoa Ralibert Mannick Vatosoa, une jeune perle au physique de rêve, d’une beauté à faire picoter la peau avec sa sveltesse enivrante, enrobée d’une élégance déroutante. Elle a pris le chemin le plus court pour parvenir à ses fins : faire jouer à fond, et avec doigté, son charme pour faire fondre la vigilance d’une gent masculine trop aveuglée par ce mirage envoûtant. Une apparence séduisante et trompeuse qui a pu ainsi empocher, au bas mot, plus d’une centaine de millions d’ariary.
Jeux de genoux
Elle n’a traqué, et bien évidemment n’a dragué, que ces messieurs qui, vus de loin, fument l’opulence et humectent la richesse. Sans ayant eu à peser à fond sur son charme, sa sublime silhouette lui suffit pour mettre ceux-ci à ses pieds. Très décontractée, trop même avec ses jeux de genoux en « écarté-calé », elle a pu emmener, bien ancrée sur son siège, ses interlocuteurs d’en face vers un imaginaire univers de l’infini. Ces derniers qui, ayant eu ainsi les yeux tout aveuglés par ce joyau de la nature, ne se sont même pas aperçus qu’elle leur a déjà pu subtiliser quelques chèques de leur carnet. Des chèques qui ont permis, par la suite, à cette « pierre précieuse » (de son prénom, Vatosoa) d’acheter ailleurs de diverses marchandises de valeur qu’elle a immédiatement vendues à perte. Histoire d’avoir un sac « Chloé » tout bourré de liasses de billets, sans peine ni dépen…dance.
Si l’ « oiseau » manifestait une certaine réticence, Mademoiselle Rakotondrasoa n’a pas hésité à passer à la vitesse supérieure pour carrément s’introduire dans sa case (au propre comme au figuré). Là où elle a déployé son pouvoir charnel pour littéralement tenir celui-ci au cou. Un effort supplémentaire qui, en toute logique, a généré des gains supplémentaires : elle a carrément régné sur les richesses de son gibier. Plus grave encore, ce dernier n’ayant plus juré que par et pour elle, l’amazone s’est permise le luxe de se fixer des honoraires et autres émoluments « extra » en ayant empoché chèques (encore ?), bijoux en or, gros paquet de 10 000 ariary et tout objet de valeur de celui-ci et pouvant être mué, en un temps record, en liquidités.
Aphrodite de Tana
Malheureusement pour elle, toute chose a une fin. Un dicton dont elle ne s’est jamais fardée le visage. Résultats : elle a été poursuivie judiciairement d’escroquerie, abus de confiance, émission de chèques sans provision, faux et usage de faux. Et trois sévères verdicts l’ont démaquillé à l’issue du procès du 14 juillet dernier : pour chacun des trois dossiers pénaux, deux ans de prison fermes, assortis, en totalité, de 27 millions ariary de dommages et intérêts. Cette Aphrodite de Tana a déjà été placée sous mandat de dépôt depuis le 28 mai dernier. Mais des yeux indiscrets semblent l’avoir vue, ces derniers jours, prendre le petit déjeuner dans un salon de thé huppé de la capitale. Apparemment, cette déesse d’Antanimora continue encore à enivrer…
Rolly Mercia
répondu par endrika01 le 20/08/2008 19:40
3. Herimiafina
(
11/08/2008 13:34)
Mampalahelo izany. Mariky ny fitotongana-mpiainana.
Fa le fiantsoana azy hoe "déesse" klou tsy mety e, "poupée de cire" no hitako hoe mety kokoa. :-D :roll:
Fa le fiantsoana azy hoe "déesse" klou tsy mety e, "poupée de cire" no hitako hoe mety kokoa. :-D :roll:
4. endrika01
(
20/08/2008 19:40)
ari.malala:
http://www.laverite.mg/actu1.htm
Un physique de rêve, une beauté à faire picoter la peau, une sveltesse enivrante, une élégance déroutante, etc. Les mots et phrases ont manqué à ses victimes pour qualifier son allure raffinée. Elle qui, Rakotondrasoa Ralibert Mannick Vatosoa de son nom, a su aligner tous ces atouts pour, comme par magie, faire fondre la vigilance de ces dernières. Mais comme toute chose a une fin, cette rare beauté vient d'être rattrapée par son propre charme. Escroquerie, abus de confiance, émission de chèques sans provision, faux et usage de faux ont ainsi été collés à son cou, à titre de bijoux... judiciaires.
La semaine dernière, elle a écopé de trois peines d'emprisonnement fermes sur les trois premiers dossiers pénaux qui l'ont coiffé. De mauvaises langues (au figuré) ont révélé qu'il lui reste encore pas moins de sept autres poursuites judiciaires à dégrafer de sa jupe. Une série noire de procès qui risque fort de l'épingler encore plus, jusqu'à ses lingeries fines. Elle, c'est Rakotondrasoa Ralibert Mannick Vatosoa, une jeune perle au physique de rêve, d'une beauté à faire picoter la peau avec sa sveltesse enivrante, enrobée d'une élégance déroutante. Elle a pris le chemin le plus court pour parvenir à ses fins : faire jouer à fond, et avec doigté, son charme pour faire fondre la vigilance d'une gent masculine trop aveuglée par ce mirage envoûtant. Une apparence séduisante et trompeuse qui a pu ainsi empocher, au bas mot, plus d'une centaine de millions d'ariary.
Jeux de genoux
Elle n'a traqué, et bien évidemment n'a dragué, que ces messieurs qui, vus de loin, fument l'opulence et humectent la richesse. Sans ayant eu à peser à fond sur son charme, sa sublime silhouette lui suffit pour mettre ceux-ci à ses pieds. Très décontractée, trop même avec ses jeux de genoux en >, elle a pu emmener, bien ancrée sur son siège, ses interlocuteurs d'en face vers un imaginaire univers de l'infini. Ces derniers qui, ayant eu ainsi les yeux tout aveuglés par ce joyau de la nature, ne se sont même pas aperçus qu'elle leur a déjà pu subtiliser quelques chèques de leur carnet. Des chèques qui ont permis, par la suite, à cette > (de son prénom, Vatosoa) d'acheter ailleurs de diverses marchandises de valeur qu'elle a immédiatement vendues à perte. Histoire d'avoir un sac > tout bourré de liasses de billets, sans peine ni dépen...dance.
Si l' > manifestait une certaine réticence, Mademoiselle Rakotondrasoa n'a pas hésité à passer à la vitesse supérieure pour carrément s'introduire dans sa case (au propre comme au figuré). Là où elle a déployé son pouvoir charnel pour littéralement tenir celui-ci au cou. Un effort supplémentaire qui, en toute logique, a généré des gains supplémentaires : elle a carrément régné sur les richesses de son gibier. Plus grave encore, ce dernier n'ayant plus juré que par et pour elle, l'amazone s'est permise le luxe de se fixer des honoraires et autres émoluments > en ayant empoché chèques (encore ?), bijoux en or, gros paquet de 10 000 ariary et tout objet de valeur de celui-ci et pouvant être mué, en un temps record, en liquidités.
Aphrodite de Tana
Malheureusement pour elle, toute chose a une fin. Un dicton dont elle ne s'est jamais fardée le visage. Résultats : elle a été poursuivie judiciairement d'escroquerie, abus de confiance, émission de chèques sans provision, faux et usage de faux. Et trois sévères verdicts l'ont démaquillé à l'issue du procès du 14 juillet dernier : pour chacun des trois dossiers pénaux, deux ans de prison fermes, assortis, en totalité, de 27 millions ariary de dommages et intérêts. Cette Aphrodite de Tana a déjà été placée sous mandat de dépôt depuis le 28 mai dernier. Mais des yeux indiscrets semblent l'avoir vue, ces derniers jours, prendre le petit déjeuner dans un salon de thé huppé de la capitale. Apparemment, cette déesse d'Antanimora continue encore à enivrer...
Rolly Mercia
Tsy hita e,reny Mari sy ny zanany ka samy manao zay inanany.