Ny solitany sy ny vahiny mpampiasa vola eto madagasikara
1. ravatorano
(
21/03/2006 07:11)
ENQUÊTE
Rush des investisseurs étrangers sur l’or noir malgache
( Enquête du 20/3/2006 )
L’exploration pétrolière on shore (sur terre) et off shore (en mer profonde) sur le territoire malgache attire bien des investisseurs. Mais vu l’enjeu géopolitique de l’acquisition de ces blocs, les candidats se font discrets. Aux dires du directeur général de l’Office des mines nationales et des industries stratégiques (Omnis), Elysée Razaka, les appels d’offres sont lancés et seront clos en novembre pour les blocs situés au large des côtes de Morondava (Ouest). Les soumissionnaires attendus viennent du monde entier, surtout des Asiatiques et des Européens.
Ainsi, la Norsk Hydro, une compagnie norvégienne, lorgne sur des blocs libres off shore à l’Ouest et au Nord. Certains ont déjà obtenu des licences d’exploitation: le groupe Vanco (qui comprend Vanco, ExxonMobil et Norsk Hydro) au large de Majunga, et la Sterling Energy Ltd à Ambilobe et à Ampasindava (Nord Ouest). D’autres en sont au stade des prospections: depuis la fin de l’année 2005 et jusqu’à la fin de ce mois, des prospections spéculatives par la sismique ont lieu sur 10 000 km au large des côtes de Morondava. C’est la compagnie américaine TGS-Nopec qui s’en charge.
Les Chinois ne sont pas en reste dans la course aux réserves pétrolières. L’information selon laquelle le groupe géant CNPC (Chinese National Petroleum Company) aurait fait l’acquisition de blocs au large des côtes malgaches, comme il l’a fait dans de nombreux autres pays, se révèle infondée. Selon le directeur général de l’Omnis, il s’agit en fait d’une compagnie affiliée à l’un des associés du géant pétrolier, Sunpec. Celle-ci a acquis deux blocs au large de Morondava, au nom de Madagascar Petroleum Energy.
Des conditions d’acquisition drastiques
A l’heure actuelle, les réserves malgaches sont encore «libres». Seule la moitié des blocs on shore a été attribuée. Les autorités malgaches sont conscientes de l’enjeu que représente l’acquisition de ces blocs. D’où des conditions drastiques de sélection des soumissionnaires aux appels d’offres internationaux lancés. «On requiert des capacités financières, techniques, et de production minimale» déclare le directeur général de l’Omnis, Elysée Razaka.
En outre, la compagnie doit payer des garanties de capacité minimale d’investissement et de production à la banque,et les études d’impact environnemental équivalent à un impôt de 25% de l’investissement total, avant d’avoir l’aval de l’Office national de l’environnement et du ministère concerné.. A payer aussi les royalties, et les taxes (IDH ou taxe directe sur les hydrocarbures) basées soit sur le profit pétrolier soit sur les gros bénéfices, au ratio de 30%. Il faut donc sérieusement le vouloir pour investir dans le pétrole. Mais vu le cours actuel du baril, et la crise qui menace, le jeu en vaut paraît-il la chandelle.
Mirana Rasamimanana
les nouvelles 21/03/2006
http://www.les-nouvelles.com
Rush des investisseurs étrangers sur l’or noir malgache
( Enquête du 20/3/2006 )
L’exploration pétrolière on shore (sur terre) et off shore (en mer profonde) sur le territoire malgache attire bien des investisseurs. Mais vu l’enjeu géopolitique de l’acquisition de ces blocs, les candidats se font discrets. Aux dires du directeur général de l’Office des mines nationales et des industries stratégiques (Omnis), Elysée Razaka, les appels d’offres sont lancés et seront clos en novembre pour les blocs situés au large des côtes de Morondava (Ouest). Les soumissionnaires attendus viennent du monde entier, surtout des Asiatiques et des Européens.
Ainsi, la Norsk Hydro, une compagnie norvégienne, lorgne sur des blocs libres off shore à l’Ouest et au Nord. Certains ont déjà obtenu des licences d’exploitation: le groupe Vanco (qui comprend Vanco, ExxonMobil et Norsk Hydro) au large de Majunga, et la Sterling Energy Ltd à Ambilobe et à Ampasindava (Nord Ouest). D’autres en sont au stade des prospections: depuis la fin de l’année 2005 et jusqu’à la fin de ce mois, des prospections spéculatives par la sismique ont lieu sur 10 000 km au large des côtes de Morondava. C’est la compagnie américaine TGS-Nopec qui s’en charge.
Les Chinois ne sont pas en reste dans la course aux réserves pétrolières. L’information selon laquelle le groupe géant CNPC (Chinese National Petroleum Company) aurait fait l’acquisition de blocs au large des côtes malgaches, comme il l’a fait dans de nombreux autres pays, se révèle infondée. Selon le directeur général de l’Omnis, il s’agit en fait d’une compagnie affiliée à l’un des associés du géant pétrolier, Sunpec. Celle-ci a acquis deux blocs au large de Morondava, au nom de Madagascar Petroleum Energy.
Des conditions d’acquisition drastiques
A l’heure actuelle, les réserves malgaches sont encore «libres». Seule la moitié des blocs on shore a été attribuée. Les autorités malgaches sont conscientes de l’enjeu que représente l’acquisition de ces blocs. D’où des conditions drastiques de sélection des soumissionnaires aux appels d’offres internationaux lancés. «On requiert des capacités financières, techniques, et de production minimale» déclare le directeur général de l’Omnis, Elysée Razaka.
En outre, la compagnie doit payer des garanties de capacité minimale d’investissement et de production à la banque,et les études d’impact environnemental équivalent à un impôt de 25% de l’investissement total, avant d’avoir l’aval de l’Office national de l’environnement et du ministère concerné.. A payer aussi les royalties, et les taxes (IDH ou taxe directe sur les hydrocarbures) basées soit sur le profit pétrolier soit sur les gros bénéfices, au ratio de 30%. Il faut donc sérieusement le vouloir pour investir dans le pétrole. Mais vu le cours actuel du baril, et la crise qui menace, le jeu en vaut paraît-il la chandelle.
Mirana Rasamimanana
les nouvelles 21/03/2006
http://www.les-nouvelles.com
répondu par Fiffi le 25/03/2006 08:18
3. Fiffi
(
22/03/2006 05:18)
xxx : rehefa nalaina avy @ gazety ny lahatsoratra dia aleo otantika no alefa!
C’est la compagnie américaine TGS-Nopec qui s’en charge.raha vao resaka solitany aloha dia ny amerikanina tsy maintsy ao eh! ary misy hidiran'ny nahatongavan'ny Annan teto M/car ve io ?
4. ravatorano
(
22/03/2006 07:19)
za koa gaga nahita an ilay article fa frantsay toa oout d amerikanina no ao.
Ny fidiran izany amin ny fandalovan Ingahy Kofi Annan klou d tsy ahiko loatra fa toa reefa misy olobe mandalo eto amin ny tanan toa misy fiovan goavan foana kle
Ny fidiran izany amin ny fandalovan Ingahy Kofi Annan klou d tsy ahiko loatra fa toa reefa misy olobe mandalo eto amin ny tanan toa misy fiovan goavan foana kle
6. fijo
(
23/03/2006 21:27)
fiffi ,jereo ny lasa a marina izany.matoa ireo mandalo eto,misydikany ao,fa tsy hitsangatsagana ny diany.hi hihi pôlifika daholo io e
