Retour au pays: Marc Ravalomanana persiste et signe


D’aucun n’ignorent que Marc Ravalomanana est un personnage de nature très tenace. Animé par une forte volonté d’apporter sa contribution à la résolution de la crise malgache, ce politicien chevronné s’entéte à revenir au pays, en dépit des échecs multiples qu’il a jusqu’ici essuyés en la matière.

«Marc Ravalomanana entend coûte que coûte revenir dans son pays natal. Il a fait savoir à Johannesburg qu’il ne baissera pas les bras face aux machinations, aux menaces et autres intimidations perpétrées par le PHAT à son encontre. Il prévoit d’ailleurs de renouveler ses billets d’embarquement dans le courant de cette semaine pour rejoindre Madagascar », ont fait savoir des membres de sa mouvance.
L’ex-chef d’Etat, dans une intervention téléphonique en direct de Johannesburg juste après son retour en terre sud-africaine, a effectivement confirmé sa détermination à rentrer à Madagascar. « Ma présence physique dans le pays est incontournable au processus de sortie de crise, comme il a été dictée dans la feuille de route. L’actuel régime ne bénéficiera jamais de la reconnaissance internationale tant que la communauté internationale ne lui est pas favorable. Je tiens à faire remarquer que certaines grandes puissances ont manifesté leur inquiétude du non respect des termes de la feuille de route par Andry Rajoelina et son entourage. Mon retour au pays constitue l’unique solution », a indiqué, à cette occasion, Marc Ravalomanana. Le président fondateur du TIM d’ajouter qu’il se passe bien volontiers des menaces d’arrestation proférées à son encontre. Une disposition qu’il qualifie de pathétique car décidée par une poignée de personnes dont la crédibilité est remise en cause aux yeux de la communauté internationale…

L.R
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Ravalo a fait demi-tour

L’avion transportant l’ancien président Marc Ravalomanana a été obligé de faire demi-tour au-dessus du Canal de Mozambique après que les autorités malgaches, à la surprise de tout le monde, aient une nouvelle fois lancé un Notam à son encontre. A la grande déception de ses partisans venus, encore, très nombreux à Ivato samedi. Un demi-tour qui veut dire beaucoup de choses.
Tout d’abord, que les autorités compétentes malgaches ne veulent pas que l’ex président remette les pieds à Madagascar, malgré les annonces officielles déclamant le contraire. Une fuite en avant pour les uns, pour la simple raison que ces mémes autorités aient attendu le dernier moment pour sortir la décision, croyant peut-étre que l’ancien président n’osera pas monter dans l’avion qui le ramènera à Madagascar. Pour les autres, c’est une sage décision qui montre que la HAT a encore la haute main sur le pays et qu’elle a pu éviter des affrontements, voire des scènes encore plus horribles que celles du 26 janvier 2009.
Ensuite que la HAT doit encore trouver de l’argent pour dédommager la compagnie aérienne Afrikan Airlink qui a été obligé d’ordonner à son pilote de faire demi-tour en plein vol alors que la destination finale était Antananarivo. Des dédommagements qui se chiffreront à des millions de dollars que l’Etat devra extirper au Trésor public, donc aux contribuables. Si le Notam était lancé la veille ou, du moins, avant le décollage de l’avion, la HAT se serait épargnée bien de désagréments.
L’événement de samedi dernier montre également que l’ancien président a encore une audience, somme toute, importante et non négligeable. Contrairement à ce que laisse entrevoir les meetings quotidiens du Magro. La HAT devrait se rendre à l’évidence : la popularité de l’ancien président, pour ménager les susceptibilités, est tout au moins égale à celle de l’actuel président si l’on se réfère aux rassemblements populaires quotidiens sur la Place du 13 mai aux moments forts de la « révolution orange » de 2009.
Et enfin, avec ce Notam et cet empéchement de dernière minute lancés à l’encontre de l’ancien président, la « Feuille de route » est menacée dans son fondement. Sans la mouvance Ravalomanana, elle n’a plus rien de consensuelle ni d’inclusive. La communauté internationale y veille et en tirera les conclusions qui s’imposent : elle n’accordera pas sa reconnaissance à l’endroit du régime. Andry Rajoelina devra revoir sa copie et retourner inéluctablement à la case départ. Car le seul soutien d’une partie de la CI ne suffira pas à porter le pays vers l’ordre constitutionnel, seul garant du retour de Madagascar dans le concert des Nations.
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Fermeture des aéroports: Beriziky dégage ses responsabilités



Jean Omer Beriziky, Premier ministre de la transition a donné des explications sur les ondes de RFI quant au retour avorté samedi dernier de Marc Ravalomanana.

D’après le Premier ministre, «à aucun moment le gouvernement n’avait donné l’ordre de fermer les aéroports de Madagascar » et il ne sait pas exactement d’où provenait cet ordre. « Je ne sais pas au juste ce qui a été décidé au niveau de la Présidence». Il n’a pas manqué de souligner que le retour de l’ancien chef d’Etat était possible et qu’il était également possible de trouver une solution consensuelle.
Le Premier ministre a mis l’accent sur le fait que le retour de l’ancien chef d’Etat est prévu par l’article 20 de la feuille de route et tous les signataires devraient accepter son retour. Selon les propos du PM : « à mon avis, Marc Ravalomanana devra revenir dans son pays. Mais il faut que toutes les conditions de ce retour soient remplies : l’assurance de sa sécurité et de celle de sa famille, ensuite l’assurance d’une paix sociale retrouvée. Tout cela ne peut se faire que par une solution négociée, consensuelle, pour que son retour se fasse dans les conditions optimales de sécurité ».
Jean Omer Beriziky s’est également exprimé quant à la suspension de la participation de la mouvance Ravalomanana aux institutions de la transition. Il a fait savoir que la feuille de route ne peut étre appliquée sans la présence de la mouvance Ravalomanana et qu’il va ainsi tenter de les convaincre à revenir sur leur décision.
Le Premier ministre a admis qu’il va falloir de nouveau raccommoder les déchirures, alors que nous étions déjà sur la bonne voie…
Il propose ainsi de se retrouver de nouveau autour d’une table ronde pour dénouer la situation. Il estime, en outre, qu’il faudra considérer les opinions des sages, des quatre chefs d’église dans la résolution de la crise. «Madagascar doit sortir de cette crise qui n’a que trop duré et qui entraîne le pays dans un marasme sans fond, aussi bien économique que social ».
Dans un communiqué, le chef du gouvernement lance un appel à l’apaisement et à la prudence. Il a réitéré que le gouvernement va déployer des efforts à trouver des solutions afin que l’article 20 de la feuille de route soit respecté.
Jean Omer Beriziky condamne les actes de vandalisme qui se sont produits du côté d’Ivato et témoigne de sa reconnaissance aux forces de l’ordre pour leur dextérité à maîtriser la situation et pour les efforts qu’ils auront encore à entreprendre.

C.R
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HAT: Avion spécial pour extrader Ravalomanana


Le régime de transition a exprimé samedi dernier sa détermination à procéder à l’arrestation de Marc Ravalomanana. Les autorités veulent arréter l’ex président malgache en Afrique du Sud.
Le pouvoir de transition veut procéder coûte que coûte à l’arrestation de l’ancien président de la République Marc Ravalomanana. Dans son communiqué du samedi 21 janvier 2012, la présidence de la transition annonce qu’elle compte affréter un avion spécial et l’envoyer en Afrique du Sud pour ramener l’ancien chef de l’État malgache au pays.
Le régime de la transition argumente ses intentions sur la feuille de route qui mentionne dans sa note explicative l’abstention de la SADC de s’immiscer dans les affaires judiciaires malgaches. Dans ce sens, le régime de la transition envisage de saisir le gouvernement sud-africain et d’entamer les négociations pour arréter Marc Ravalomanana depuis son pays d’exil. L’année dernière, le Gal Richard Ravalomanana a déjà annoncé l’envoi d’éléments de la Police judiciaire malgache en Afrique du Sud. Une initiative qui n’a pas obtenu une réponse positive de Pretoria.
La Justice malgache a condamné à deux reprises l’ancien chef d’État malgache Marc Ravalomanana. Deux mandats d’arrét sont lancés contre ce dernier dont le premier pour détournement de deniers publics tandis que le second concerne le carnage du 07 février 2009 à Ambohitsorohitra.

Marc A.
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Ivato: Les manifestants dispersés à coups de bombes lacrymogènes


La manifestation des pro-Ravalomanana à Ivato s’est soldée en fin d’après-midi par une échauffourée. Fort déçus de l’annonce de la fermeture de notre espace aérien et, par conséquent, du changement du plan de vol de l’appareil qui a transporté Marc Ravalomanana, des manifestants ont voulu exprimé leur frustration et leur colère à leur manière.
Après avoir provoqué les éléments de l’EmmoReg, postés devant l’entrée principale de l’aéroport international d’Ivato, une poignée de manifestants s’en est est pris au bâtiment de Air France Cargo, situé non loin de l’aéroport. Heureusement que les stores du bâtiment ont tenu bon. Une partie d’entre eux a commencé à ouvrir les hostilités en trainant puis en renversant les bacs à ordures de la compagnie en question sur la chaussée, avant d’y mettre le feu. Ces individus étaient visiblement animés d’une motivation certaine, celle de bloquer la circulation en érigeant un barrage. Les éléments de l’EmmoReg ont immédiatement vu rouge. Dispositions ont été prises. Ils ont chargé les manifestants à coups de gaz lacrymogènes, afin de les disperser et démanteler cet attroupement non autorisé, mais également pour mettre un terme à cet acte de vandalisme qui a commencé à prendre forme.
Prise de court par cet assaut soudain, la foule n’avait eu d’autre alternative que de se disperser. Des individus ont été pourchassés par les forces de l’ordre.
Des scènes similaires ont été constatées tout le long de la route d’Ivato jusqu’à Talatamaty, jusque dans les ruelles desservant le quartier. Une poignée d’individus s’en est, entretemps, pris à une galerie appartenant à un concessionnaire automobile, au niveau de Mamory Ivato.
Le bilan provisoire de ces affrontements, qui nous est parvenu hier, fait état de l’arrestation de 7 individus, ainsi que d’une dizaine de blessés légers.

L.R

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Mouvance Ravalomanana: Suspension de ses activités au sein des Institutions


La mouvance Ravalomanana a annoncé la suspension de ses activités au sein des institutions de la transition. Dans sa déclaration à la presse, samedi dernier, Mamy Rakotoarivelo a précisé que les membres de la mouvance Ravalomanana n’assisteront pas aux conseils de ministres et de gouvernement à compter du samedi 21 janvier 2012. Cette méme mouvance ne participera pas non plus aux activités du parlement de la transition dont une seconde session extraordinaire est prévue pour ce lundi 23 Janvier 2012.
Cette décision a été adoptée après celle des autorités de la transition d’empécher le retour de Marc Ravalomanana au pays. Une décision adoptée en faisant fi de toute consensualité, a indiqué le chef de délégation de la mouvance Ravalomanana.

Marc A.

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Accueil de Ravalomanana à Ivato: Un manifestant mort, 4 autres blessés


Un père de famille, âgé de 45 ans nommé Haingo Njaka Lalaina Rabemiarana, est décédé hier aux environs de 01h à la HJRA d’Ampefiloha des suites de ses blessures.
Selon les témoignages de Robin, son cousin, hier à la morgue de l’hôpital, le dénommé Njaka a reçu une charge de grenade lacrymogène dans sa nuque alors qu’avec ses proches, il venait de s’engouffrer dans une ruelle pour fuir les éléments de l’EmmoReg ayant pris en chasse les manifestants au niveau de Talatamaty. Ses proches de préciser qu’une hémorragie cérébrale serait visiblement à l’origine de la mort de Njaka en dépit du fait qu’il avait reçu premiers soins à l’hôpital. Un jeune homme de 25 ans, dénommé Randrianantenaina, a également été transporté d’urgence à l’HJRA pour blessures à la téte suite à ces manifestations de samedi dernier. Ces 2 victimes ont un point commun : elles ont reçu une cartouche de gaz lacrymogène à la téte. «. Les éléments des forces de l’ordre nous ont carrément visé à la téte alors qu’ils nous pourchassaient jusque dans les ruelles », a relevé le témoin. Nous avons également appris, de source concordante, qu’un 2ème blessé a été admis à l’HJRA dans la soirée de samedi dernier, tandis que deux autres ont été admis à l’hôpital d’Ambohibao. Une délégation de la mouvance Ravalomanana s’est rendue hier matin à l’HJRA d’Ampefiloha pour présenter ses condoléances à la famille du défunt. Ils ont profité de cette occasion pour se rendre au chevet du blessé Randrianantenaina.

L.R

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Sommet de l’UA: Zuma fera pression sur la Transition pour le retour de Marc Ravalomanana



La date du sommet de l’Union Africaine approche à grands pas. Cette rencontre est prévue pour la fin de ce mois de janvier. Les Africains devraient adopter une résolution sur la crise politique malgache.
De son côté, le Président Jacob Zuma a accepté de faire pression sur le régime malgache à ce sommet de l’Union Africaine d’Addis-Abeba au sujet du retour de Marc Ravalomanana à Madagascar.
Les incidents de samedi dernier risquent en effet de compromettre la levée des sanctions politiques et économiques prononcées contre Madagascar. Il reste à attendre si le régime en place cédera à cette pression exercée par le Patron de la troïka de la SADC…
Depuis la signature de la feuille de route et notamment de la mise en place des institutions de la transition, les analystes politiques s’attendent à ce que cette organisation continentale, à l’occasion de sa prochaine réunion à Addis-Abeba, daigne enfin lever les sanctions prononcées contre Madagascar…
Mais cet optimisme est remis en question depuis que le Président de la Transition Andry Rajoelina avait pris l’initiative de bloquer à nouveau le retour à Madagascar de son prédécesseur, Marc Ravalomanana. Ces événements de samedi dernier ainsi que la pression exercée par SEM Jacob Zuma auront-ils raison de la nouvelle résolution de l’UA ?…
Une manÅ“uvre qualifiéepar le camp de l’opposition de violation flagrante de la feuille de route … Le retour de l’ancien chef d’Etat et des autres exilés politiques étant prescrit par l’article 20 de cette directive de sortie de crise.
Force est de constater que le régime de transition avançait progressivement vers la reconnaissance internationale. A preuve, l’ambassadeur de l’Union Européenne vient de présenter ses lettres de créances au chef de la Transition. Ce qui devrait ouvrir la voie aux autres institutions régionales et internationales. L’Union Africaine, elle, devrait emboîter le pas aux 27 et aurait dû, de ce fait, lever l’embargo politique et économique contre la Grande ÃŽle pour la fin de ce mois de janvier, selon des indiscrétions.
Mais, voilà que le doute est de nouveau permis…
De hautes personnalités politiques africaines ainsi que le conseiller spécial du Président sud-africain Jacob Zuma ont été à bord du SA 8252 qui a emmené Marc Ravalomanana à destination de la Grande ÃŽle. Faut-il rappeler que la présidence tournante de la SADC est actuellement attribuée à l’Afrique du Sud ? De plus, l’Afrique du Sud vise la présidence de la Commission de l’UA dont le scrutin se tiendra lors de l’Assemblée Générale de ses membres pour la fin de ce mois.
Bref, l’Afrique du Sud veut contrôler l’Afrique sur le plan politique. La première puissance économique du continent noir a, d’ailleurs, fait du dossier malgache l’un de ces paris pour convaincre le vote de ses homologues africains.

Lova E.

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Terminus de la ligne: Ivato Ruée des usagers


Le terminus des véhicules de transport en commun reliant Antanimena à Ivato, a été le théâtre d’affluence inhabituelle au cours de la journée de samedi dernier. Les rares véhicules qui se présentaient à l’arrét ont été pris d’assaut par une foule immense qui tenait absolument à se rendre à l’aéroport d’Ivato afin de ne pas étre en reste pour accueillir l’ancien chef d’Etat Marc Ravalomanana.
De longues files se formaient sur place, dès les premières lueurs de l’aube. Mais à partir de 08h, les véhicules commençaient à se faire rare pour ne plus y avoir un seul durant toute la matinée.
Selon les explications des conducteurs, la plupart des véhicules de transport qui desservent cet axe ont été affrétés, à titre spécial, par des associations, des groupes, de simples particuliers ou encore des familles entières pour cette méme occasion.
Si le tarif appliqué par les taxibe pour le trajet est normalement à 400 Ariary, certaines coopératives n’avaient pas hésité à spéculer, pour cette occasion. Elles avaient fixé leur tarif à 1.000 Ariary. Ce qui a engendré la grogne des usagers, mais ne les a pas pour autant découragés…

La ville dans le calme

Le centre-ville, de son côté, a vécu la journée de samedi dernier dans un calme surprenant et presque inhabituel. Peu de gens circulaient dans les artères principales d’Analakely, de Soarano ou encore de Behoririka.
Si la plupart des commerçants qui exercent à ces endroits ont poursuivi leurs activités quotidiennes, les grands centres commerciaux, pour leur part, ont pris la précaution de fermer leurs portes, ou du moins les laisser entrebâillées, samedi dernier. Certains propriétaires et magasins se sont méme précipités de renforcer les serrures et leur dispositif de sécurité, d’autres ont déplacé leurs marchandises dans un endroit plus sûr. Prudence et sécurité obligent…

RR.
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Magasins Courts: La clientèle est privilégiée


Oly Bernadin est l’heureuse gagnante de la tombola Xmas organisée par les magasins Courts dans le cadre de sa campagne Christmas et du lancement de la grande marque japonaise Panasonic.

Le jeu a été ouvert à tous les clients qui ont effectué des achats chez Courts durant la période du 3 novembre 2011 au 7 janvier 2012. Le tirage au sort a eu lieu samedi dernier dans les magasins Courts d’Ankorondrano, en présence des officiers aux jeux.
Oly Bernadin reste l’unique gagnante de cette tombola. Des lots d’une valeur de 7 millions d’Ariary, composés d’un poste téléviseur LCD écran plat 42 », un appareil photo, un home cinéma, un lave-linge, un réfrigérateur, un four micro-onde, tous de produits de marque Panasonic sont attribués à cette mère de famille. Pour cette fois, Courts a fait le choix d’un seul gagnant afin de permettre à sa clientèle d’étre en possession de divers lots de produits Panasonic, dans un esprit de promotion de cette marque de haut de gamme et véhiculer ainsi le slogan Courts « Tokantrano soa ». Courts gâte et privilégie sa clientèle en offrant des remises de prix. Courts applique durant ce mois de janvier une remise de 10 à plus de 50% sur ses articles en magasin, notamment sa large gamme de meubles et d’électroménagers. De nouveaux produits dernier cri sont également arrivés dans les magasins Courts.
A titre de rappel, Courts accorde une livraison à domicile et un montage gratuits à ses clients. Ses produits sont garantis de un à 3 ans.

Vola R

iray makabahana ny 19fevrier 2011 ,ny roa feno manana 21janvier 2012 ,telo dia lasa ????
VITA RY RAJOELINA MIANAKAVY