MA-LAZA 06 JANOARY 2012
2. rijadolly
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06/01/2012 02:10)
Terrorisme :Un colis piégé explose devant une agence de la BFV-SG
Panique générale hier à Antsakaviro, suite à une alerte à la bombe. Un colis douteux avait été livré sur place à un employé d’une agence de la BFV-SG. Le déposant a réclamé la somme de 20 millions d’Ariary. Vers 18 heures, la bombe a explosé….pafff !!
Selon les témoignages d’un agent de sécurité de l’agence BFV-SG d’Antsakaviro, un garçon était venu apporter un colis destiné à un employé de cette agence vers 14 heures 30. Le colis contenait ce qui ressemblait à une bombe artisanale ainsi qu’un téléphone portable. « Le tout était emballé dans un paquet cadeau adressé à un employé de la banque », affirmait l’agent de sécurité. Quelques instants plus tard, ledit employé a reçu un appel du dépositaire, lequel réclamait une rançon de 20 millions d’Ariary. Autrement, il menaçait de faire exploser la bombe.
Les autorités ont tout de suite été averties. La fameuse bombe a été placée sur la chaussée, les employés de l’agence ont été priés de rentrer chez eux, tandis que les badauds ont été éloignés de la zone. Peu après, un périmètre de sécurité à été mis en place. La circulation en direction de la Route circulaire a bien évidement été bloquée.
Ce n’est que vers 18 heures que des spécialistes en déminage de l’Armée malagasy sont arrivés sur les lieux, avec, à leur téte, un Général. Equipés d’un matériel du Régiment du génie, ces experts appartenaient en fait au service de munition de l’armée, mais ils ont choisi de rester anonymes.
Les curieux, paradoxalement devenus de plus en plus nombreux, ont une nouvelle fois été écartés de la zone dangereuse. Méme les journalistes ont eu du mal à faire leur travail, avec la peur au ventre.
Quelques minutes après, un artificier a fait exploser la bombe artisanale. «Pafff !!!», a-t-on entendu sur place. «L’explosion ressemblait plutôt à celle d’un pétard », a résumé avec malice, un témoin. L’alerte qui a bloqué la circulation à Antsakaviro durant presque 4 heures s’est finalement terminée par un fou rire général.
La brigade criminelle de la gendarmerie nationale est chargée de l’enquéte.
Fah A/Mbolatiana R.
Panique générale hier à Antsakaviro, suite à une alerte à la bombe. Un colis douteux avait été livré sur place à un employé d’une agence de la BFV-SG. Le déposant a réclamé la somme de 20 millions d’Ariary. Vers 18 heures, la bombe a explosé….pafff !!
Selon les témoignages d’un agent de sécurité de l’agence BFV-SG d’Antsakaviro, un garçon était venu apporter un colis destiné à un employé de cette agence vers 14 heures 30. Le colis contenait ce qui ressemblait à une bombe artisanale ainsi qu’un téléphone portable. « Le tout était emballé dans un paquet cadeau adressé à un employé de la banque », affirmait l’agent de sécurité. Quelques instants plus tard, ledit employé a reçu un appel du dépositaire, lequel réclamait une rançon de 20 millions d’Ariary. Autrement, il menaçait de faire exploser la bombe.
Les autorités ont tout de suite été averties. La fameuse bombe a été placée sur la chaussée, les employés de l’agence ont été priés de rentrer chez eux, tandis que les badauds ont été éloignés de la zone. Peu après, un périmètre de sécurité à été mis en place. La circulation en direction de la Route circulaire a bien évidement été bloquée.
Ce n’est que vers 18 heures que des spécialistes en déminage de l’Armée malagasy sont arrivés sur les lieux, avec, à leur téte, un Général. Equipés d’un matériel du Régiment du génie, ces experts appartenaient en fait au service de munition de l’armée, mais ils ont choisi de rester anonymes.
Les curieux, paradoxalement devenus de plus en plus nombreux, ont une nouvelle fois été écartés de la zone dangereuse. Méme les journalistes ont eu du mal à faire leur travail, avec la peur au ventre.
Quelques minutes après, un artificier a fait exploser la bombe artisanale. «Pafff !!!», a-t-on entendu sur place. «L’explosion ressemblait plutôt à celle d’un pétard », a résumé avec malice, un témoin. L’alerte qui a bloqué la circulation à Antsakaviro durant presque 4 heures s’est finalement terminée par un fou rire général.
La brigade criminelle de la gendarmerie nationale est chargée de l’enquéte.
Fah A/Mbolatiana R.
3. rijadolly
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06/01/2012 02:12)
Premières frayeurs
Encore une de ces histoires de bombes artisanales. La scène se passe cette fois-ci dans une banque de la capitale, l’agence de la BFV-SG à Antsakaviro pour étre plus précis. Appelés à la rescousse, les démineurs de l’armée sont arrivés illico presto sur place pour s’enquérir de la situation et ont pris la décision de faire exploser l’engin, en prenant, bien évidemment, toutes les précautions d’usage pour des situations de ce genre. Mais au lieu du « boum » attendu, il y eut un « paf » identique à un bruit de pétard. Après la « déflagration », le ricanement des nombreux badauds qui ont assisté à la scène est significatif.
Naturellement, la personne destinataire du colis, un employé de l’agence, a eu une belle frayeur en découvrant son « cadeau ». Pareil pour les personnes qui ont été obligées de s’en emparer et de s’en débarrasser. Elles n’ont d’ailleurs trouvé un autre endroit que la rue pour déposer leur sinistre découverte. Avec la peur au ventre car l’engin pourrait exploser d’un moment à l’autre. Les passants, repoussés sans ménagement, étaient également effrayés de cet objet qui a tout l’aspect d’une bombe artisanale (du moins telle qu’elles ont été vues sur les chaînes de télévision et dans les journaux) et s’empressaient de s’éloigner pour s’arréter, attendant la suite des événements, inconscients qu’ils sont des effets d’une « vraie » bombe.
Au moins, tout est bien qui finit bien. L’explosion a eu lieu sans faire de victimes. Les artificiers, connaissant sûrement le contenu et la supposée puissance de l’engin, ont pris la décision d’enclencher la procédure de mise à feu. L’enquéte permettra sans doute de savoir qui a eu la mauvaise idée, avec un simple téléphone portable muni d’un… pétard, de terroriser un employé de banque et ses collègues, de bloquer la circulation sur un très large périmètre, d’effrayer un quartier entier qui a dû se demander pourquoi tant d’hommes en treillis et armés investissaient leur rue. Si c’était l’effet escompté, alors l’ingénieux auteur a atteint son but. Mais c’est peut-étre sérieux. Un homme politique pourrait se cacher derrière. Et l’on devine… qui.
Encore une de ces histoires de bombes artisanales. La scène se passe cette fois-ci dans une banque de la capitale, l’agence de la BFV-SG à Antsakaviro pour étre plus précis. Appelés à la rescousse, les démineurs de l’armée sont arrivés illico presto sur place pour s’enquérir de la situation et ont pris la décision de faire exploser l’engin, en prenant, bien évidemment, toutes les précautions d’usage pour des situations de ce genre. Mais au lieu du « boum » attendu, il y eut un « paf » identique à un bruit de pétard. Après la « déflagration », le ricanement des nombreux badauds qui ont assisté à la scène est significatif.
Naturellement, la personne destinataire du colis, un employé de l’agence, a eu une belle frayeur en découvrant son « cadeau ». Pareil pour les personnes qui ont été obligées de s’en emparer et de s’en débarrasser. Elles n’ont d’ailleurs trouvé un autre endroit que la rue pour déposer leur sinistre découverte. Avec la peur au ventre car l’engin pourrait exploser d’un moment à l’autre. Les passants, repoussés sans ménagement, étaient également effrayés de cet objet qui a tout l’aspect d’une bombe artisanale (du moins telle qu’elles ont été vues sur les chaînes de télévision et dans les journaux) et s’empressaient de s’éloigner pour s’arréter, attendant la suite des événements, inconscients qu’ils sont des effets d’une « vraie » bombe.
Au moins, tout est bien qui finit bien. L’explosion a eu lieu sans faire de victimes. Les artificiers, connaissant sûrement le contenu et la supposée puissance de l’engin, ont pris la décision d’enclencher la procédure de mise à feu. L’enquéte permettra sans doute de savoir qui a eu la mauvaise idée, avec un simple téléphone portable muni d’un… pétard, de terroriser un employé de banque et ses collègues, de bloquer la circulation sur un très large périmètre, d’effrayer un quartier entier qui a dû se demander pourquoi tant d’hommes en treillis et armés investissaient leur rue. Si c’était l’effet escompté, alors l’ingénieux auteur a atteint son but. Mais c’est peut-étre sérieux. Un homme politique pourrait se cacher derrière. Et l’on devine… qui.
4. rijadolly
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06/01/2012 02:13)
Délestage: Les nouvelles centrales de production arrivent à Toamasina
79 conteneurs avec à bord des centrales de production d’énergie temporaire sont arrivées dans le port de Toamasina hier. Ces appareils, en provenance de Dar-El-Salaam, seront utilisés par la société JIRAMA afin de faire face aux problèmes de délestage dans la Capitale.
D’une capacité de 42 mégawatts, ces centrales seront réparties comme suit : 30 mégawatts seront installés à Ambohimanambola tandis que les 12 restantes le seront à Antanandrano.
La location de ces centrales de production d’énergie temporaire ne devra dépasser 12 mois, ont confié les responsables de la JIRAMA. Toutefois, ces derniers n’ont pas jugé nécessaire de communiquer le coût de cette location. Elles appartiennent en fait à une société écossaise dénommée Aggreko.
L’on sait par ailleurs qu’elles seront installées et opérationnelles d’ici 3 semaines. Leurs transports débuteront dès la fin de cette semaine. Ainsi, 28 conteneurs seront acheminés par voie ferroviaire. Les 51 autres le seront par voie terrestre et seront transportées par vague de 12 afin de ne pas trop encombrer la circulation sur la route nationale 2.
Avec ces appareils, les Tananariviens devraient donc en avoir fini avec les coupures de courant. Concernant les délestages dans les provinces, les responsables de la JIRAMA ont expliqué que les groupes électrogènes qui ont été utilisés pour Antananarivo seront déplacés dans les chefs-lieux de provinces et résoudre le problème.
Le Directeur Général, Rasidy Désiré, accompagné de quelques membres du conseil d’administration, ont fait le déplacement dans le grand port pour accueillir le Sea Lion qui s’est chargé du transport de ces centrales de production d’énergie temporaire.
Mbolatiana R/Stéphane R
79 conteneurs avec à bord des centrales de production d’énergie temporaire sont arrivées dans le port de Toamasina hier. Ces appareils, en provenance de Dar-El-Salaam, seront utilisés par la société JIRAMA afin de faire face aux problèmes de délestage dans la Capitale.
D’une capacité de 42 mégawatts, ces centrales seront réparties comme suit : 30 mégawatts seront installés à Ambohimanambola tandis que les 12 restantes le seront à Antanandrano.
La location de ces centrales de production d’énergie temporaire ne devra dépasser 12 mois, ont confié les responsables de la JIRAMA. Toutefois, ces derniers n’ont pas jugé nécessaire de communiquer le coût de cette location. Elles appartiennent en fait à une société écossaise dénommée Aggreko.
L’on sait par ailleurs qu’elles seront installées et opérationnelles d’ici 3 semaines. Leurs transports débuteront dès la fin de cette semaine. Ainsi, 28 conteneurs seront acheminés par voie ferroviaire. Les 51 autres le seront par voie terrestre et seront transportées par vague de 12 afin de ne pas trop encombrer la circulation sur la route nationale 2.
Avec ces appareils, les Tananariviens devraient donc en avoir fini avec les coupures de courant. Concernant les délestages dans les provinces, les responsables de la JIRAMA ont expliqué que les groupes électrogènes qui ont été utilisés pour Antananarivo seront déplacés dans les chefs-lieux de provinces et résoudre le problème.
Le Directeur Général, Rasidy Désiré, accompagné de quelques membres du conseil d’administration, ont fait le déplacement dans le grand port pour accueillir le Sea Lion qui s’est chargé du transport de ces centrales de production d’énergie temporaire.
Mbolatiana R/Stéphane R
5. rijadolly
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06/01/2012 02:14)
Place de la démocratie: La mouvance Zafy à Ambohijatovo le 17 janvier
La place de la démocratie à Ambohijatovo fétera ses 3 ans le 17 Janvier prochain. Pour célébrer cette date, la mouvance Albert Zafy prévoit d’organiser en ce lieu, une manifestation, a affirmé le Pasteur Edouard Tsarahame, membre de cette tendance politique. A la question de savoir si la Mouvance allait déposer une autorisation auprès des autorités compétentes pour pouvoir tenir un meeting, notre interlocuteur a répondu qu’en tant que place de la démocratie, ceux qui prévoient y tenir un quelconque rassemblement politique ne devrait pas en avoir besoin.
La place de la démocratie a été inaugurée le 17 janvier 2009 par Andry Rajoelina, maire de la capitale de l’époque, accompagné d’une foule assoiffée de démocratie. Et ce, suite à la fermeture de la station radio et télé Viva, propriétés de Andry Rajoelina. A cette période où il a été en conflit avec le Président Marc Ravalomanana, il a déclaré que la place d’Ambohijatovo devrait étre ouverte aux citoyens désireux d’exprimer leurs opinions. Une fois arrivé au pouvoir, le Président Andry Rajoelina n’a plus défendu la valeur de cette place, empéchant méme les partisans de l’opposition d’y tenir une manifestation jusqu’à présent.
Lova E.
La place de la démocratie à Ambohijatovo fétera ses 3 ans le 17 Janvier prochain. Pour célébrer cette date, la mouvance Albert Zafy prévoit d’organiser en ce lieu, une manifestation, a affirmé le Pasteur Edouard Tsarahame, membre de cette tendance politique. A la question de savoir si la Mouvance allait déposer une autorisation auprès des autorités compétentes pour pouvoir tenir un meeting, notre interlocuteur a répondu qu’en tant que place de la démocratie, ceux qui prévoient y tenir un quelconque rassemblement politique ne devrait pas en avoir besoin.
La place de la démocratie a été inaugurée le 17 janvier 2009 par Andry Rajoelina, maire de la capitale de l’époque, accompagné d’une foule assoiffée de démocratie. Et ce, suite à la fermeture de la station radio et télé Viva, propriétés de Andry Rajoelina. A cette période où il a été en conflit avec le Président Marc Ravalomanana, il a déclaré que la place d’Ambohijatovo devrait étre ouverte aux citoyens désireux d’exprimer leurs opinions. Une fois arrivé au pouvoir, le Président Andry Rajoelina n’a plus défendu la valeur de cette place, empéchant méme les partisans de l’opposition d’y tenir une manifestation jusqu’à présent.
Lova E.
6. rijadolly
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06/01/2012 02:15)
SADC: Des chefs d’Etat soutiennent le retour de Ravalomanana
Une source proche de Marc Ravalomanana a confié que la plupart des chefs d’Etat de la SADC soutiennent le retour à Madagascar de l’ancien président malgache. Toutefois, ce soutien, aussi important soit-il, n’a pas encore porté ses fruits, au vu du report incessant de la procédure de rapatriement de Marc Ravalomanana au pays.
Au niveau de la SADC, la décision n’est pas adoptée de manière collégiale, du moins en ce qui concerne la résolution de la crise malgache. Le dernier mot revient à la troïka, c’est-à-dire aux chefs d’Etat sud-africain, zambien et tanzanien.
A entendre les opinions, peu nombreux sont ceux qui prennent au sérieux l’annonce d’un retour de l’ex-locataire d’Ambohitsorohatra à Madagascar. Depuis 2009, en effet, ses partisans ont attendu en espérant voir Marc Ravalomanana débarquer à l’aéroport d’Ivato. Annonce après annonce, ses sympathisants s’interrogent si le fondateur du parti TIM ne disposerait plus de moyens… politiques et diplomatiques suffisants pour regagner son pays natal ? Sachant qu’il a le soutien de quelques chefs d’Etat de la SADC. D’ailleurs, depuis le 17 septembre dernier, ledit « retour sans condition » de Marc Ravalomanana est toujours conditionné par la feuille de route.
De ce fait, les observateurs se demandent de leur côté si l’ancien chef d’Etat malgache a encore son destin entre ses mains, ou est-il dépendant des organisations régionales et internationales, telles la SADC ou l’Union Africaine. Notre source de poursuivre que le retour à Madagascar de Marc Ravalomanana pourrait ne pas avoir lieu avant la fin de ce mois, car parallèlement, une réunion de la Commission de l’Union Africaine est prévue à cette méme période.
Il a été annoncé au début de l’année que le président déchu était attendu vers mi-janvier. À plusieurs reprises, Marc Ravalomanana a déclaré que c’est sa propre personne qui décidera de la date de son retour.
Cependant, étant donné la conjoncture actuelle, on est loin de croire que l’ancien locataire d’Ambohitsorohatra rentrera à Madagascar de son propre gré, selon les propos d’un analyste politique. Il a déjà tenté de le faire en février dernier mais en vain !
Lova E.
Une source proche de Marc Ravalomanana a confié que la plupart des chefs d’Etat de la SADC soutiennent le retour à Madagascar de l’ancien président malgache. Toutefois, ce soutien, aussi important soit-il, n’a pas encore porté ses fruits, au vu du report incessant de la procédure de rapatriement de Marc Ravalomanana au pays.
Au niveau de la SADC, la décision n’est pas adoptée de manière collégiale, du moins en ce qui concerne la résolution de la crise malgache. Le dernier mot revient à la troïka, c’est-à-dire aux chefs d’Etat sud-africain, zambien et tanzanien.
A entendre les opinions, peu nombreux sont ceux qui prennent au sérieux l’annonce d’un retour de l’ex-locataire d’Ambohitsorohatra à Madagascar. Depuis 2009, en effet, ses partisans ont attendu en espérant voir Marc Ravalomanana débarquer à l’aéroport d’Ivato. Annonce après annonce, ses sympathisants s’interrogent si le fondateur du parti TIM ne disposerait plus de moyens… politiques et diplomatiques suffisants pour regagner son pays natal ? Sachant qu’il a le soutien de quelques chefs d’Etat de la SADC. D’ailleurs, depuis le 17 septembre dernier, ledit « retour sans condition » de Marc Ravalomanana est toujours conditionné par la feuille de route.
De ce fait, les observateurs se demandent de leur côté si l’ancien chef d’Etat malgache a encore son destin entre ses mains, ou est-il dépendant des organisations régionales et internationales, telles la SADC ou l’Union Africaine. Notre source de poursuivre que le retour à Madagascar de Marc Ravalomanana pourrait ne pas avoir lieu avant la fin de ce mois, car parallèlement, une réunion de la Commission de l’Union Africaine est prévue à cette méme période.
Il a été annoncé au début de l’année que le président déchu était attendu vers mi-janvier. À plusieurs reprises, Marc Ravalomanana a déclaré que c’est sa propre personne qui décidera de la date de son retour.
Cependant, étant donné la conjoncture actuelle, on est loin de croire que l’ancien locataire d’Ambohitsorohatra rentrera à Madagascar de son propre gré, selon les propos d’un analyste politique. Il a déjà tenté de le faire en février dernier mais en vain !
Lova E.
7. rijadolly
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06/01/2012 02:15)
GFFM: Le pasteur Mailhol crée un nouveau parti politique
Le pasteur Mailhol se prépare à accomplir la volonté du Tout-Puissant, qui se manifestera par son accession au pouvoir en 2013. Ce fidèle serviteur de Dieu entend faire face aux affaires nationales, en créant son propre parti.
A la demande d’un certain nombre de personnes, le pasteur Mailhol a mis sur pied un parti politique dénommé GFFM ou « Gideona Fandresena ny Fahantrana eto Madagascar », dont il est le président-fondateur. Selon les précisions du pasteur en personne, le parti n’a rien à voir avec la religion. Il s’agit d’une initiative personnelle dont l’objectif consiste à faire face aux affaires nationales. Il l’a bien expliqué : « le nom du parti s’inspire directement des exploits de Gédéon, comme il a été rapporté dans la Sainte Bible. Tel ce héros qui a servi à matérialiser la main de Dieu face à un ennemi composé de 120 000 soldats, ma propre personne, ainsi que tous ceux qui souhaitent adhérer au sein du GFFM, avons pour vocation de lutter contre un ennemi commun à tous les Malgaches: la pauvreté ». Le pasteur Mailhol a également fait part de son point de vue sur la conjoncture nationale. Pour lui, la conjoncture politique actuelle suit doucement son cours, comme il a été prévu par le Tout-Puissant. Il a en effet indiqué qu’il se prépare d’ores et déjà à l’accomplissement de la volonté de Dieu, faisant ainsi allusion à son accession à Ambohitsorohitra en 2013. Comme tout bon politicien, le pasteur Mailhol se dit également favorable à l’alternance au pouvoir.
L.R
Le pasteur Mailhol se prépare à accomplir la volonté du Tout-Puissant, qui se manifestera par son accession au pouvoir en 2013. Ce fidèle serviteur de Dieu entend faire face aux affaires nationales, en créant son propre parti.
A la demande d’un certain nombre de personnes, le pasteur Mailhol a mis sur pied un parti politique dénommé GFFM ou « Gideona Fandresena ny Fahantrana eto Madagascar », dont il est le président-fondateur. Selon les précisions du pasteur en personne, le parti n’a rien à voir avec la religion. Il s’agit d’une initiative personnelle dont l’objectif consiste à faire face aux affaires nationales. Il l’a bien expliqué : « le nom du parti s’inspire directement des exploits de Gédéon, comme il a été rapporté dans la Sainte Bible. Tel ce héros qui a servi à matérialiser la main de Dieu face à un ennemi composé de 120 000 soldats, ma propre personne, ainsi que tous ceux qui souhaitent adhérer au sein du GFFM, avons pour vocation de lutter contre un ennemi commun à tous les Malgaches: la pauvreté ». Le pasteur Mailhol a également fait part de son point de vue sur la conjoncture nationale. Pour lui, la conjoncture politique actuelle suit doucement son cours, comme il a été prévu par le Tout-Puissant. Il a en effet indiqué qu’il se prépare d’ores et déjà à l’accomplissement de la volonté de Dieu, faisant ainsi allusion à son accession à Ambohitsorohitra en 2013. Comme tout bon politicien, le pasteur Mailhol se dit également favorable à l’alternance au pouvoir.
L.R
8. rijadolly
(
06/01/2012 02:16)
Ankatso: Le SECES persiste et signe
La suspension des activités pédagogiques de l’Université d’Antananarivo se poursuivra jusqu’à l’obtention d’une réponse favorable de la part de l’Etat malgache. C’est ce qui émane de l’Assemblée générale du Syndicat des enseignants chercheurs (Seces), section Antananarivo, qui s’est tenue hier à Ankatso. D’après Raharimalala Fidèle, présidente du Seces Antananarivo, cette décision a été prise dans la mesure où aucune réaction ni amorce de négociation n’ont encore été entreprises depuis la déclaration du syndicat au mois de Décembre dernier. Le Seces national prévoit par ailleurs de tenir un conseil national ce mardi 10 Janvier 2012 à Antananarivo et ce, suite à une revendication des sections provinciales. A noter qu’une assemblée de mise en oeuvre des résolutions de ce conseil national se fera au niveau de toutes les sections le 12 Janvier prochain. A l’issue d’un entretien avec la presse, ce syndicat a réitéré sa revendication sur l’intégration du budget destiné au paiement de leurs indemnités de recherches et indemnités de risques dans la loi de finances 2012. Ce syndicat a rappelé à cette occasion, que l’Etat n’a encore pu régler leurs indemnités dans leur totalité, pour l’année 2009 jusqu’en 2011. Cette suspension des activités pédagogiques tend à la fois, au prolongement de la durée de l’année universitaire 2011 et au report de la prochaine rentrée pour cette année 2012. Interrogé sur cette affaire, Jean-Eric Rakotoarisoa, vice-président de l’université d’Antananarivo a estimé que l’Etat devrait prendre ses responsabilités de manière à régler dans les plus brefs délais ce problème touchant de près aussi bien l’enseignement supérieur que les enseignants-chercheurs. Ce responsable a précisé que cette grève du Seces touche plus particulièrement les activités pédagogiques, dans la mesure où l’administration de l’université poursuit ses activités courantes. A noter que le traitement du dossier relatif aux bourses d’études pour cette année 2012 est actuellement en cours.
RR.
La suspension des activités pédagogiques de l’Université d’Antananarivo se poursuivra jusqu’à l’obtention d’une réponse favorable de la part de l’Etat malgache. C’est ce qui émane de l’Assemblée générale du Syndicat des enseignants chercheurs (Seces), section Antananarivo, qui s’est tenue hier à Ankatso. D’après Raharimalala Fidèle, présidente du Seces Antananarivo, cette décision a été prise dans la mesure où aucune réaction ni amorce de négociation n’ont encore été entreprises depuis la déclaration du syndicat au mois de Décembre dernier. Le Seces national prévoit par ailleurs de tenir un conseil national ce mardi 10 Janvier 2012 à Antananarivo et ce, suite à une revendication des sections provinciales. A noter qu’une assemblée de mise en oeuvre des résolutions de ce conseil national se fera au niveau de toutes les sections le 12 Janvier prochain. A l’issue d’un entretien avec la presse, ce syndicat a réitéré sa revendication sur l’intégration du budget destiné au paiement de leurs indemnités de recherches et indemnités de risques dans la loi de finances 2012. Ce syndicat a rappelé à cette occasion, que l’Etat n’a encore pu régler leurs indemnités dans leur totalité, pour l’année 2009 jusqu’en 2011. Cette suspension des activités pédagogiques tend à la fois, au prolongement de la durée de l’année universitaire 2011 et au report de la prochaine rentrée pour cette année 2012. Interrogé sur cette affaire, Jean-Eric Rakotoarisoa, vice-président de l’université d’Antananarivo a estimé que l’Etat devrait prendre ses responsabilités de manière à régler dans les plus brefs délais ce problème touchant de près aussi bien l’enseignement supérieur que les enseignants-chercheurs. Ce responsable a précisé que cette grève du Seces touche plus particulièrement les activités pédagogiques, dans la mesure où l’administration de l’université poursuit ses activités courantes. A noter que le traitement du dossier relatif aux bourses d’études pour cette année 2012 est actuellement en cours.
RR.
9. rijadolly
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06/01/2012 02:17)
UNICEF: Distinction honorifique pour Bruno Maes
Bruno Maes, représentant résident de l’Unicef à Madagascar vient d’étre élevé au grade de commandeur de l’ordre national malgache au terme de 5 années de bons et loyaux services à Madagascar. La cérémonie officielle s’est déroulée dans les locaux du ministère des affaires étrangères, à Anosy.
Nommé au poste de représentant résident de l’Unicef au Tchad, Bruno Maes a estimé qu’il quitte Madagascar avec non seulement un « esprit de satisfaction » suite aux réalisations de ses 5 dernières années de service au pays mais également avec un « sentiment d’insuffisance » face aux diverses activités de protection de l’enfant qui devront étre poursuivies par son successeur.
Cinq années de réalisations au service de la mère et de l’enfant
En 5 ans de services à Madagascar, ce numéro 1 de l’Unicef local a réussi à collecter 450 millions de dollars au profit d’activités relatives à la protection de l’enfant. Ce service des Nations-Unies a pu augmenter le volume des aides humanitaires consacrées au pays au cours des 3 années de crise qui ont secoué le pays. L’on peut citer, entre autres, l’accès aux soins spécifiques et la vaccination contre le tétanos au profit de trois millions d’enfants et femmes enceintes jusqu’en 2009. Le programme triennal 2008-2011 de l’Unicef avec une enveloppe de 70 millions de dollars qui a permis le suivi et développement de la santé maternelle et infantile, l’éducation pour l’égalité des genres, le soin et la prévention du VIH/Sida, la gouvernance pour la protection de l’enfant et la promotion de la politique en matière de communication et de partenariat. Des activités visant à alléger la souffrance de la population malgache dans le domaine de la santé, l’éducation, la gouvernance, la jeunesse ainsi qu’en matière de gestion des urgences. On cite en particulier, le projet «Global Partnership of Education» qui vise l’atteinte des objectifs de l’éducation pour tous compris dans l’Objectif du Millénaire pour le Développement, qui a bénéficié de 34 millions de dollars en 2009 et 2010 et de 26 millions de dollars pour la période 2011-2012.
Efforts à entreprendre en matière de protection de l’enfant
Selon Bruno Maes, Madagascar aura beaucoup à faire en matière de protection et de mise en oeuvre des droits de l’enfant. Il s’agit entre autres de la mise en place d’une mesure de protection sociale pour assurer la réinsertion scolaire d’une centaine de milliers d’enfants et la prise en charge des enfants victimes d’abus et d’exploitation arbitraires dans un contexte socio-économique alarmant. Ce représentant de l’Unicef a également mis en exergue la nécessité de poursuivre la campagne de vaccination ainsi que le soutien au projet en matière d’eau et d’assainissement.
RR.
Bruno Maes, représentant résident de l’Unicef à Madagascar vient d’étre élevé au grade de commandeur de l’ordre national malgache au terme de 5 années de bons et loyaux services à Madagascar. La cérémonie officielle s’est déroulée dans les locaux du ministère des affaires étrangères, à Anosy.
Nommé au poste de représentant résident de l’Unicef au Tchad, Bruno Maes a estimé qu’il quitte Madagascar avec non seulement un « esprit de satisfaction » suite aux réalisations de ses 5 dernières années de service au pays mais également avec un « sentiment d’insuffisance » face aux diverses activités de protection de l’enfant qui devront étre poursuivies par son successeur.
Cinq années de réalisations au service de la mère et de l’enfant
En 5 ans de services à Madagascar, ce numéro 1 de l’Unicef local a réussi à collecter 450 millions de dollars au profit d’activités relatives à la protection de l’enfant. Ce service des Nations-Unies a pu augmenter le volume des aides humanitaires consacrées au pays au cours des 3 années de crise qui ont secoué le pays. L’on peut citer, entre autres, l’accès aux soins spécifiques et la vaccination contre le tétanos au profit de trois millions d’enfants et femmes enceintes jusqu’en 2009. Le programme triennal 2008-2011 de l’Unicef avec une enveloppe de 70 millions de dollars qui a permis le suivi et développement de la santé maternelle et infantile, l’éducation pour l’égalité des genres, le soin et la prévention du VIH/Sida, la gouvernance pour la protection de l’enfant et la promotion de la politique en matière de communication et de partenariat. Des activités visant à alléger la souffrance de la population malgache dans le domaine de la santé, l’éducation, la gouvernance, la jeunesse ainsi qu’en matière de gestion des urgences. On cite en particulier, le projet «Global Partnership of Education» qui vise l’atteinte des objectifs de l’éducation pour tous compris dans l’Objectif du Millénaire pour le Développement, qui a bénéficié de 34 millions de dollars en 2009 et 2010 et de 26 millions de dollars pour la période 2011-2012.
Efforts à entreprendre en matière de protection de l’enfant
Selon Bruno Maes, Madagascar aura beaucoup à faire en matière de protection et de mise en oeuvre des droits de l’enfant. Il s’agit entre autres de la mise en place d’une mesure de protection sociale pour assurer la réinsertion scolaire d’une centaine de milliers d’enfants et la prise en charge des enfants victimes d’abus et d’exploitation arbitraires dans un contexte socio-économique alarmant. Ce représentant de l’Unicef a également mis en exergue la nécessité de poursuivre la campagne de vaccination ainsi que le soutien au projet en matière d’eau et d’assainissement.
RR.
10. rijadolly
(
06/01/2012 02:18)
ol de la couronne de Ranavalona I: Déjà 9 arrestations
09 personnes ont été placées sous mandat de dépôt à la suite des enquétes menées dans le cadre de l’affaire du vol de la Couronne royale de la Reine Ranavalona I au musée du Premier Ministre Rainilaiarivony à Andafiavaratra.
Cette information a été émise lors du premier conseil des ministres de l’année qui s’est tenu au palais d’Etat d’Iavoloha mercredi. Le recueil des informations et autres renseignements sur le numéro vert, mis à la disposition par l’EmmoReg pour la restitution de l’objet volé contre une récompense de 100 millions d’ Ariary, est toujours en service.
L’opération de Sauvegarde et de Récupération du Patrimoine a été mise en place pour l’opérationnalité et le suivi d’un plan d’intervention à court et à long terme. Des mesures ont ainsi été déjà prises tels le renforcement de la communication pour la mobilisation et l’information internationales, la mobilisation des réseaux sociaux et des associations des « Tangalamena » et « Zanak’Andriana ».
Toujours durant ce conseil, il a été décidé que les cérémonies de présentation de vÅ“ux dureront 4 jours consécutifs. Ainsi, le mercredi 11 Janvier 2012 sera consacré en l’honneur des membres de toutes les institutions ; des ténors de partis et groupements politiques ; de hauts responsables des Collectivités Territoriales Décentralisées ; de hauts responsables confessionnels et autres autorités civiles et militaires. Le lendemain, les membres du corps diplomatique seront conviés à Iavoloha. Ce sera ensuite au tour des opérateurs économiques de faire le déplacement vendredi et enfin, la journée de samedi sera consacrée aux responsables des fédérations sportives, des sportifs méritants, des artistes, des responsables de rédaction journalistique et des journalistes.
Mbolatiana R
09 personnes ont été placées sous mandat de dépôt à la suite des enquétes menées dans le cadre de l’affaire du vol de la Couronne royale de la Reine Ranavalona I au musée du Premier Ministre Rainilaiarivony à Andafiavaratra.
Cette information a été émise lors du premier conseil des ministres de l’année qui s’est tenu au palais d’Etat d’Iavoloha mercredi. Le recueil des informations et autres renseignements sur le numéro vert, mis à la disposition par l’EmmoReg pour la restitution de l’objet volé contre une récompense de 100 millions d’ Ariary, est toujours en service.
L’opération de Sauvegarde et de Récupération du Patrimoine a été mise en place pour l’opérationnalité et le suivi d’un plan d’intervention à court et à long terme. Des mesures ont ainsi été déjà prises tels le renforcement de la communication pour la mobilisation et l’information internationales, la mobilisation des réseaux sociaux et des associations des « Tangalamena » et « Zanak’Andriana ».
Toujours durant ce conseil, il a été décidé que les cérémonies de présentation de vÅ“ux dureront 4 jours consécutifs. Ainsi, le mercredi 11 Janvier 2012 sera consacré en l’honneur des membres de toutes les institutions ; des ténors de partis et groupements politiques ; de hauts responsables des Collectivités Territoriales Décentralisées ; de hauts responsables confessionnels et autres autorités civiles et militaires. Le lendemain, les membres du corps diplomatique seront conviés à Iavoloha. Ce sera ensuite au tour des opérateurs économiques de faire le déplacement vendredi et enfin, la journée de samedi sera consacrée aux responsables des fédérations sportives, des sportifs méritants, des artistes, des responsables de rédaction journalistique et des journalistes.
Mbolatiana R
11. rijadolly
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06/01/2012 02:19)
AGOA Le FIVMPAMA: propose la recherche de nouveaux débouchés
Le Fivmpama, par la voix de son président, Herintsalama Rajaonarivelo, préconise la recherche de nouveaux débouchés suite à la non-éligibilité de Madagascar dans le cadre du programme Agoa. Il propose la recherche de nouveaux marchés auprès des pays-membres du Comesa et de la Sadc ainsi que des îles de l’Océan Indien. Il estime que la grande île devrait également miser sur la promotion du commerce équitable de manière à encourager le contact direct entre les producteurs locaux et les sociétés d’accueil des produits à l’extérieur. Il propose également la fabrication de produits typiques. «La fabrication et le commerce de produits à valeur ajoutée constitue un potentiel pour la grande île dans le cadre de la recherche de nouveaux débouchés», a-t-il indiqué.
Par ailleurs, le déficit commercial a progressivement diminué pendant l’année 2011 par rapport en 2010 et ce, malgré la balance commerciale déficitaire de Madagascar. Cette avancée s’explique par les efforts consentis par des entreprises locales en matière de recherche de nouveaux débouchés et la poursuite de leurs activités de production.
En outre, les produits de rente tel le girofle ont également enregistré une hausse en matière de volume de produits exportés tandis que le volume des produits de la filière aquaculture est resté stable, l’année dernière.
Les sociétés franches spécialisées dans le secteur textile ont pu maintenir leur place auprès des marchés autres que les Etats-Unis. En revanche, l’exportation dans le secteur textile n’a pas beaucoup évolué dans la mesure où seules 7.000 tonnes de marchandises ont été exportées à l’extérieur en 2011 contre 7.200 tonnes en 2010 et 14.000 tonnes en 2008.
RR.
Le Fivmpama, par la voix de son président, Herintsalama Rajaonarivelo, préconise la recherche de nouveaux débouchés suite à la non-éligibilité de Madagascar dans le cadre du programme Agoa. Il propose la recherche de nouveaux marchés auprès des pays-membres du Comesa et de la Sadc ainsi que des îles de l’Océan Indien. Il estime que la grande île devrait également miser sur la promotion du commerce équitable de manière à encourager le contact direct entre les producteurs locaux et les sociétés d’accueil des produits à l’extérieur. Il propose également la fabrication de produits typiques. «La fabrication et le commerce de produits à valeur ajoutée constitue un potentiel pour la grande île dans le cadre de la recherche de nouveaux débouchés», a-t-il indiqué.
Par ailleurs, le déficit commercial a progressivement diminué pendant l’année 2011 par rapport en 2010 et ce, malgré la balance commerciale déficitaire de Madagascar. Cette avancée s’explique par les efforts consentis par des entreprises locales en matière de recherche de nouveaux débouchés et la poursuite de leurs activités de production.
En outre, les produits de rente tel le girofle ont également enregistré une hausse en matière de volume de produits exportés tandis que le volume des produits de la filière aquaculture est resté stable, l’année dernière.
Les sociétés franches spécialisées dans le secteur textile ont pu maintenir leur place auprès des marchés autres que les Etats-Unis. En revanche, l’exportation dans le secteur textile n’a pas beaucoup évolué dans la mesure où seules 7.000 tonnes de marchandises ont été exportées à l’extérieur en 2011 contre 7.200 tonnes en 2010 et 14.000 tonnes en 2008.
RR.