Aza adino ny tantara: HAT
1. LazaDaddy
(
20/06/2010 03:30)
ny "Haute Autorite de Trahison" dia efa nisy hatramin'ny andron'ny PADESM fa tsy vao 15 volana "Monja" akory. Io no notoherin'Itompokolahy Monja Jaona mafy kanefa lasa anisan'ireo nanangana ny HAT ny zanany ... indrisy
novalian'i Miguele33 ny 21/06/2010 09:50
2. milamm
(
20/06/2010 15:42)
tsy misy adino reny ka,ny loharano izao no jerena de toy izao
Je me demande s'il ne faut pas voir dans la forte implication militaire française en Afrique, au-delà des enjeux économiques et géopolitiques, une manifestation de puissance,
l'armée française n'a servi qu'à gérer les problèmes internes à des régimes confrontés à des rébellions armées ou à des mouvements populaires .Les hommes politiques le revendiquent très clairement, qu'il s'agisse de Mitterrand, de Chirac ou de Sarkozy/operation civilo-militaire sans consentement du regime parlementaire francaise,les cas du Cameroun et de Madagascar suffisent à montrer que c'est un mythe complet : le mythe des indépendances en douceur préparées par Deferre et de Gaulle après la conférence de Brazzaville en 46,En 2006, en RCA, la France a monté une opération du méme type que Kolwezi (sauvetage du régime de Mobutu grâce à l'intervention des parachutistes français) : l'armée française a largué des parachutistes pour reconquérir Birao, dans l'ignorance totale de la population française mais aussi des parlementaires. Cette opération a sauvé le régime du président centrafricain Bozizé,. Cela s'est accompagné d'un processus d'élimination des mouvements indépendantistes et de leurs leaders, mais aussi de la promotion d'hommes politiques à la dévotion des intéréts français. (par biais de leur marionettes Itpkl Tsiranana/repression 72 ,ratsy iraka repression 91,lavanify repression 2009,sauf Atoa Ravalomanana qui s'est battu pour l'independence socio-economique, gestion politique de notre pays) on retrouve toujours dans leurs discours l'idée que "la France doit garder son rang dans le monde". On sent bien qu' absolument, ça faisait partie du kit théorique doctrinal qui a été inculqué aux officiers africains formés dans les écoles militaires françaises de l'indochine en Afrique,ocean indian ect...la doctrine militaire de la "guerre révolutionnaire", de la "contre-insurrection" qui veut que le rôle principal de l'armée soit le "contrôle de la population"( brechard du GP namono an' Itpkl Ratsimandrava,lelison,charles,kotonandrasana nanao sesi-tany an'Atoa Ravalomanana.. )Bien sûr cette présence offre de nombreux avantages : elle conditionne, dans une large mesure, la possibilité d'entretenir des situations de monopole économique dans certains pays et de surveiller des ressources stratégiques ex.les pays du francafrique.
-" Dossier noir " de l'association Survie paru aux éditions Agone. Un dossier on ne peut plus actuel en cette année de commémoration du cinquantenaire des indépendances africaines.
L'armée française a-t-elle recours à des savoirs de type ethnologique dans son approche des populations des pays occupés ?

 zarazarao anjakana @ adim-poko
-Dans son dernier rapport sur la Centrafrique, Human Rights Watch est très critique par rapport aux dernières interventions de l'armée française en RCA. 


Dans le rapport qu'elle a publié en 2007jusqu'en 2010, l'ONG a pointé un certain nombre de choses : elle a détaillé la politique de terre brûlée menée par l'armée centrafricaine à l'égard des populations du Nord, des populations accusées de soutenir les mouvements rebelles. Là aussi, on retrouve les techniques coloniales françaises : il s'agit de terroriser les populations afin de priver de leur soutien les mouvements rebelles. Les exactions les plus graves ont été commises dans le sillage direct des interventions militaires françaises. Après la reprise de Birao par l'armée française, cette ville a été ravagée par les forces centrafricaines. A l'époque, dans les journaux, les militaires français ont fait peser la responsabilité des destructions sur les rebelles. On sait depuis qu'il s'agissait d'une tentative de dissimulation qui relève de la complicité de crime de guerre. Il y a également dans le rapport de HRW des photos qui interrogent : on voit des officiers français à proximité directe de l'OCRB (Office Central de Répression du Banditisme), une sorte de milice qui se livre à des exécutions sommaires.
 

Je me demande s'il ne faut pas voir dans la forte implication militaire française en Afrique, au-delà des enjeux économiques et géopolitiques, une manifestation de puissance,
l'armée française n'a servi qu'à gérer les problèmes internes à des régimes confrontés à des rébellions armées ou à des mouvements populaires .Les hommes politiques le revendiquent très clairement, qu'il s'agisse de Mitterrand, de Chirac ou de Sarkozy/operation civilo-militaire sans consentement du regime parlementaire francaise,les cas du Cameroun et de Madagascar suffisent à montrer que c'est un mythe complet : le mythe des indépendances en douceur préparées par Deferre et de Gaulle après la conférence de Brazzaville en 46,En 2006, en RCA, la France a monté une opération du méme type que Kolwezi (sauvetage du régime de Mobutu grâce à l'intervention des parachutistes français) : l'armée française a largué des parachutistes pour reconquérir Birao, dans l'ignorance totale de la population française mais aussi des parlementaires. Cette opération a sauvé le régime du président centrafricain Bozizé,. Cela s'est accompagné d'un processus d'élimination des mouvements indépendantistes et de leurs leaders, mais aussi de la promotion d'hommes politiques à la dévotion des intéréts français. (par biais de leur marionettes Itpkl Tsiranana/repression 72 ,ratsy iraka repression 91,lavanify repression 2009,sauf Atoa Ravalomanana qui s'est battu pour l'independence socio-economique, gestion politique de notre pays) on retrouve toujours dans leurs discours l'idée que "la France doit garder son rang dans le monde". On sent bien qu' absolument, ça faisait partie du kit théorique doctrinal qui a été inculqué aux officiers africains formés dans les écoles militaires françaises de l'indochine en Afrique,ocean indian ect...la doctrine militaire de la "guerre révolutionnaire", de la "contre-insurrection" qui veut que le rôle principal de l'armée soit le "contrôle de la population"( brechard du GP namono an' Itpkl Ratsimandrava,lelison,charles,kotonandrasana nanao sesi-tany an'Atoa Ravalomanana.. )Bien sûr cette présence offre de nombreux avantages : elle conditionne, dans une large mesure, la possibilité d'entretenir des situations de monopole économique dans certains pays et de surveiller des ressources stratégiques ex.les pays du francafrique.
-" Dossier noir " de l'association Survie paru aux éditions Agone. Un dossier on ne peut plus actuel en cette année de commémoration du cinquantenaire des indépendances africaines.
L'armée française a-t-elle recours à des savoirs de type ethnologique dans son approche des populations des pays occupés ?

 zarazarao anjakana @ adim-poko
-Dans son dernier rapport sur la Centrafrique, Human Rights Watch est très critique par rapport aux dernières interventions de l'armée française en RCA. 


Dans le rapport qu'elle a publié en 2007jusqu'en 2010, l'ONG a pointé un certain nombre de choses : elle a détaillé la politique de terre brûlée menée par l'armée centrafricaine à l'égard des populations du Nord, des populations accusées de soutenir les mouvements rebelles. Là aussi, on retrouve les techniques coloniales françaises : il s'agit de terroriser les populations afin de priver de leur soutien les mouvements rebelles. Les exactions les plus graves ont été commises dans le sillage direct des interventions militaires françaises. Après la reprise de Birao par l'armée française, cette ville a été ravagée par les forces centrafricaines. A l'époque, dans les journaux, les militaires français ont fait peser la responsabilité des destructions sur les rebelles. On sait depuis qu'il s'agissait d'une tentative de dissimulation qui relève de la complicité de crime de guerre. Il y a également dans le rapport de HRW des photos qui interrogent : on voit des officiers français à proximité directe de l'OCRB (Office Central de Répression du Banditisme), une sorte de milice qui se livre à des exécutions sommaires.
 

4. swann
(
21/06/2010 09:42)
ka le zanany anie ry laza efa voatsoka koa ka inona moa no olanao amzany fa ze eo manohy e ! monja aza efa lasa mpanohitra indray kouuuu
..
..
5. Miguele33
(
21/06/2010 09:50)
terrywui - lol xDDDDD
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