Creation monétaire hoe?

1. xxx ( 07/09/2009 22:21)
CREATION MONETAIRE. Le placement de la surliquidité des banques pour une valeur de plus de 220 milliards d’Ariary est plutôt proposé.

Attention danger !
Le contexte actuel nous permet-il d’adopter la création monétaire ? Des économistes et bien d’autres acteurs au sein du secteur financier n’ont pas caché leurs inquiétudes car cela peut étre dangereux pour le pays. En effet, cette stratégie a été proposée dernièrement en vue de substituer aux aides extérieures dans le cas où la Communauté Internationale émettra des sanctions envers Madagascar à l’expiration du 16 septembre prochain. C’est l’échéance fixée par cette dernière pour que les protagonistes politiques puissent trouver de commun accord une solution à la sortie de cette crise.

Inflation à quatre chiffres

On entend par création monétaire l’émission de monnaie qui est réservée strictement à la Banque Centrale, sans couverture. Si l’offre de biens et services n’augmente pas, cet instrument génère directement une inflation. Si l’Etat emprunte sur le marché du Bon de Trésor par Adjudication (BTA), sera-t-il en mesure de rembourser à échéance avec ses propres recettes fiscales ?, se demande un responsable de la Banque Centrale. Dans la foulée, la qualité des services publics ne satisfait pas encore les contribuables, a-t-il rajouté. En toute objectivité, des économistes conseillent d’utiliser cet instrument avec une extréme prudence car les conséquences dommageables peuvent étre irréversibles. Cela peut conduire rapidement à une inflation à trois voire quatre chiffres, d’après leurs dires.

Ar 220 milliards de surliquidité

C’est pourquoi, ils proposent plutôt le placement de la surliquidité se chiffrant encore à une somme de plus de 220 milliards d’Ariary au niveau des banques commerciales que de créer de la monnaie. Ces dernières doivent ainsi continuer à octroyer des préts à court ou à moyen terme mobilisables par ouverture d’un compte ou d’un emprunteur, et ce, sans disposer de dépôts ou de ressources préalables autres que la confiance. Mais dans la réalité, des clients se plaignent de la lourdeur de la procédure sur l’accès aux crédits à part le refus de financement de leurs projets qui sont dans la plupart des cas qualifiés non-bancables. De son côté, un banquier argumente que les gens ont plutôt peur d’investir entraînant cette surliquidité. Les activités économiques tournent au ralenti, c’est pourquoi, les utilisateurs de crédits sont maintenant en baisse, a-t-il soulevé.

Limiter les importations

Par contre, un autre expert en Finances Publiques évoque que la création monétaire est intéressante à condition que cela soit utilisé au service de la production de la valeur ajoutée tout en limitant les importations. Il a proposé, entre autres, le financement des travaux d’irrigation agricole ou de construction des pistes rurales via le système HIMO pouvant bénéficier de 500 000 à 1 million d’agriculteurs éparpillés dans toute l’île. Mais un opérateur importateur rejette cette proposition qui va à l’encontre de son intérét. Par ailleurs, un financier craint que cette idée de création monétaire ne serve pas à financer les dépenses de l’Etat mais plutôt à des fins politiques. Et c’est toujours la population en qui paie les prix.

Navalona R.







2. ndenn ( 08/09/2009 08:25)
Encore des suppositions futiles de la part des soi-disants operateurs economiques pourris et des banquiers à la botte des politocards qui ne voient pas plus loin que leurs nombrils .
Les vrais problemes qui se posent , c\\\' est la solvabilité de la monnaie Ariary en terme economique ( l\\\' intégrité de service et de bien offert par la finance classifier toujours de mauvaise foi dans le rouge ) par ces responsables de la banque centrale qui ont eu le tort d\\\' accepter des volumes d\\\' activités non conformes et pas du tout fiables aux yeux du FMI ,WB , et l\\\' institution archaîque qu\\\' est le Breton h. ,et d\\\'autre part l\\\' action bancaire sous l\\\' influence du diktat des monnaies fortes comme l\\\' euro , le dollar , le yuen , le yen , handicape en general les monnaies légères des pays qui n\\\' ont pas d\\\' infrastructure de fabrication monétaire propre à eux ,faudrait -il prendre exemple sur des nations comme le nigeria ,l\\\' afrique du sud ,pour resoudre les problemes de fond qui subsistent depuis la nuit des temps pour equilibrer les balances commerciales déficitaires de ces pays pauvres trés endettés .
3. ndenn ( 08/09/2009 08:25)
Encore des suppositions futiles de la part des soi-disants operateurs economiques pourris et des banquiers à la botte des politocards qui ne voient pas plus loin que leurs nombrils .
Les vrais problemes qui se posent , c\\\' est la solvabilité de la monnaie Ariary en terme economique ( l\\\' intégrité de service et de bien offert par la finance classifier toujours de mauvaise foi dans le rouge ) par ces responsables de la banque centrale qui ont eu le tort d\\\' accepter des volumes d\\\' activités non conformes et pas du tout fiables aux yeux du FMI ,WB , et l\\\' institution archaîque qu\\\' est le Breton h. ,et d\\\'autre part l\\\' action bancaire sous l\\\' influence du diktat des monnaies fortes comme l\\\' euro , le dollar , le yuen , le yen , handicape en general les monnaies légères des pays qui n\\\' ont pas d\\\' infrastructure de fabrication monétaire propre à eux ,faudrait -il prendre exemple sur des nations comme le nigeria ,l\\\' afrique du sud ,pour resoudre les problemes de fond qui subsistent depuis la nuit des temps pour equilibrer les balances commerciales déficitaires de ces pays pauvres trés endettés .
4. Mirananirina ( 08/09/2009 10:15)
dia izay indray izany moa
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