ahona ny hevintsika?
1. xxx
(
28/05/2009 22:04)
tsy nanaiky ary sarotra ho ahy ny anaiky ny atongavan'ny "force exterieur" na dia oe force de pacificateur aza ny tenako, nefa kosa refa tena mandinika tsara aho dia aleoko indray aza misy SADC na koa casque bleu na tsy aiko tonga mandrava io fitondrana tgv io satria mazava amintsika rehetra angambany fa ny frantsay no ao ambadik'izao!
49 taona lasa izay no niala ny mpanjanaka frantsay , tsy tena niala anefa fa izay nitondra rehetra teo dia napetraki'ny fitondrana frantsay, hitantsika ny vokany, nanomboka 2002 nohon'ny mpitondra tsy napetrakin'ny frantsay vao hita nisondrotra kely ny malagasy, ka mba mandefa fisaintsainana kely ho an-dry andriwiwi sy ry naritsimba sns.... aho oe aza ny tombotsoanareo rery no jerena fa tadidio fa voazanaka indray tsika izao, tsy azo hafenina ary tena mazava be fa frantsay no nanosika ity tovolahy hanongampanjakana.Tsika gasy ve izany dia ataon'ny frantsay (gouvernement) fangoronankarena?dia ry wiwi sy ry naritsimba izany dia hanao "benzour misé" foana refa mahita vazaha satria efa izay no ao antsaina oe vazaha be ambony? mba manana ambo fa efa mitovy izao fa tsy oe vôzaha dia oe "benzour misé" dia na voadaka aza ny vody dia mbola oe "mési misé" ihany
raha fintinina izany dia refa samy voazana ihany dia aleo ho tonga ny miaramila vahiny satria ny miaramila gasy novidin'ny frantsay sady efa tsy manana ny hajany intsony fa efa nanonga_mpanjakana.
49 taona lasa izay no niala ny mpanjanaka frantsay , tsy tena niala anefa fa izay nitondra rehetra teo dia napetraki'ny fitondrana frantsay, hitantsika ny vokany, nanomboka 2002 nohon'ny mpitondra tsy napetrakin'ny frantsay vao hita nisondrotra kely ny malagasy, ka mba mandefa fisaintsainana kely ho an-dry andriwiwi sy ry naritsimba sns.... aho oe aza ny tombotsoanareo rery no jerena fa tadidio fa voazanaka indray tsika izao, tsy azo hafenina ary tena mazava be fa frantsay no nanosika ity tovolahy hanongampanjakana.Tsika gasy ve izany dia ataon'ny frantsay (gouvernement) fangoronankarena?dia ry wiwi sy ry naritsimba izany dia hanao "benzour misé" foana refa mahita vazaha satria efa izay no ao antsaina oe vazaha be ambony? mba manana ambo fa efa mitovy izao fa tsy oe vôzaha dia oe "benzour misé" dia na voadaka aza ny vody dia mbola oe "mési misé" ihany
raha fintinina izany dia refa samy voazana ihany dia aleo ho tonga ny miaramila vahiny satria ny miaramila gasy novidin'ny frantsay sady efa tsy manana ny hajany intsony fa efa nanonga_mpanjakana.
novalian'i ndenn ny 28/05/2009 23:03
2. lemenakely
(
28/05/2009 22:13)
Miantoka mihintsy ny namana Naritsimba izany fa toa voatonontonona matetika?
3. fijo
(
28/05/2009 22:17)
ity misy fanadiadiana somary manakaiky ny tena nisy tao:
Washington détestait le projet de location de terrain de 1,3 millions ha aux Sud- coréens, Paris a vu d'un très mauvais Å“il l'expertise norvégienne sur l'exploitation du pétrole malgache, et le Vatican en a eu marre du trust protestant au plus haut sommet de l'Etat malgache.
C'est le « Da Vinci Code » auquel a eu droit le président Marc Ravalomanana et les Malgaches depuis un an, ayant abouti sur le coup d'Etat du 17 mars 2009 et qui a amené le pays dans le chaos
Pour en revenir à la trame de cette histoire sordide où se mélent haine, rancoeur, détestation, trahison, intéréts, gros sous, géopolitique, pétrole et religion…
Puissance agricole
Avril 2008, l'Etat malgache se fait approcher par des intermédiaires du géant sud- coréen Daewoo. L'objet des approches, la location de terrain agricole à l'industriel asiatique en vue de son exploitation pour la culture industrielle de maïs et de palmiers à huile dans un premier temps. Et dans une phase ultérieure pour la culture intensive de céréales en tout genre.
Le projet séduit le chef de l'Etat lequel ne réve que de voir son pays devenir une puissance agricole à l'égal des pays américains et européens. Au demeurant, Dieu auquel il semble vouer une foi inébranlable, a pourvu l'île de tous les attributs pour y parvenir.
Mais les « serviteurs de Baal » ne l'entendent pas de cette oreille. A la bourse des céréales de Chicago, les traders se sont émus de voir que des clients Sud- coréens pourraient les échapper à plus ou moins brève échéance si le projet de Daewoo voyait un début de commencement. En effet, les céréaliers américains dépendent en partie des commandes asiatiques et ils ne sont pas préts de lâcher pour si peu leurs clients.
Ratés
D'où la « fuite » dans la presse américaine, trop bien renseignée, du projet malgacho- coréen présenté de manière tellement ubuesque que méme les « altermodialistes » comme l'association Survie sont tombés dans la manipulation.
A ce moment précis, le sort du président malgache était déjà scellé méme si le projet n'était qu'au stade des études de faisabilité. Coïncidence ou non, les dossiers financiers de la Grande Ile présentés soit à Bretton Woods soit à Bruxelles ont commencé à connaître des ratés.
Alors que pendant sept ans (à partir de 2002), ils sont tous passés comme une lettre à la poste ! Autrement dit, l'Amérique a lâché Marc Ravalomanana lequel dans la foulée a autorisé l'octroi à un pétrolier chinois des blocs dans le périmètre de Bemolanga en vue de l'exploitation future du pétrole malgache.
Eva Joly
Avec les français, c'est du pareil au meme, voir pire. De notoriété internationale, les relations entre Marc Ravalomanana et ceux là n'ont jamais été bonnes. Les deux parties n'ont pas fait l'effort nécessaire pour y parvenir d'ailleurs. Au contraire, elles se sont fortement dégradées l'année dernière avec le renvoi de l'ancien ambassadeur Gildas Le Lidec. Ce qui déclencha aussitôt des représailles. Boudeuse, la France a attendu début 2009 avant de nommer son nouveau représentant.
Orgueilleuse, elle a tout fait pour que à travers l'Union européenne dont elle est l'un des principaux contributeurs, l'assistance à Madagascar soit suspendue pour cause de « mauvaise gouvernance. »
Mais il y a mieux. Les français n'ont pas apprécié l'affinité trop affichée entre Marc Ravalomanana et Eva Joly, cette magistrate franco- norvégienne qui a acquis une renommée internationale pour avoir démasqué la corruption chez Elf, ancétre de Total, la société pétrolière qui a réalisé 12 milliards euros de bénéfices en 2008.
Lobbys
Elle est méme accusée d'avoir conseillée au président Ravalomanana de recourir à l'expertise norvégienne dans la gestion du secteur pétrolier malgache. Ce qui n'est pas du goût de certains lobbys. Pour eux et pour d'autres, « pas question de travailler avec Ravalo et la Norvège quand le pétrole sortira du sous sol malgache. »
Il leur faudra dès lors se débarrasser du chef de l'Etat avant qu'il ne soit trop tard.
Tous les leviers et tous les canaux ont ainsi été utilisés pour renverser le président élu de Madagascar. Ce dernier a été trahi à tous les niveaux et jusque dans son très proche entourage, au gouvernement, à l'Assemblée et méme à la présidence !
Car avant que l'or noir ne sorte de terre, ce sont les dollars et les euros qui ont coulé à flot pour arroser tout ce beau monde.
Rampe
Enfin et non des moindres, le N° 1 malgache est passé à la chausse-trappe du Vatican à travers l'église locale.
Le départ à la retraite du Cardinal Armand Razafindratandra a sonné le glas de ce protestant bon teint et fier de l'étre mais qui a le malheur de siéger sur le trône dévolu depuis plus de quarante ans aux disciples de saint Pierre dans l'île, selon une règle non écrite.
La désignation de Mgr Odon Razanakolona, réputé proche de l'Arema et des dissidents du MFM, n'arrangea pas ses affaires. Son ascension à la téte du conseil chrétien des églises en début d'année donna une autre fenétre de tir à tous ceux qui en veulent au chef de l'Etat.
L'archevéque d'Antananarivo s'est servi de cette rampe afin de lancer l'offensive sur Iavoloha et pour arriver à ses fins.
Pantins
La coalition de ses trois puissances tentaculaires a eu raison des velléités d'indépendance de Marc Ravalomanana.
Toutefois, pour préserver les apparences et afin de cacher leur jeu, ils lui reconnaissent du bout des lèvres le titre devenu vide de sens de président de Madagascar.
Pour preuve, ils ont condamné le coup d'Etat mais pas ses auteurs, ils ont dénoncé le putsch mais pas les putschistes.
Pour la simple et bonne raison que ce sont leurs pantins.
Article ajouté le 2009-04-13 , consulté 193 fois
Washington détestait le projet de location de terrain de 1,3 millions ha aux Sud- coréens, Paris a vu d'un très mauvais Å“il l'expertise norvégienne sur l'exploitation du pétrole malgache, et le Vatican en a eu marre du trust protestant au plus haut sommet de l'Etat malgache.
C'est le « Da Vinci Code » auquel a eu droit le président Marc Ravalomanana et les Malgaches depuis un an, ayant abouti sur le coup d'Etat du 17 mars 2009 et qui a amené le pays dans le chaos
Pour en revenir à la trame de cette histoire sordide où se mélent haine, rancoeur, détestation, trahison, intéréts, gros sous, géopolitique, pétrole et religion…
Puissance agricole
Avril 2008, l'Etat malgache se fait approcher par des intermédiaires du géant sud- coréen Daewoo. L'objet des approches, la location de terrain agricole à l'industriel asiatique en vue de son exploitation pour la culture industrielle de maïs et de palmiers à huile dans un premier temps. Et dans une phase ultérieure pour la culture intensive de céréales en tout genre.
Le projet séduit le chef de l'Etat lequel ne réve que de voir son pays devenir une puissance agricole à l'égal des pays américains et européens. Au demeurant, Dieu auquel il semble vouer une foi inébranlable, a pourvu l'île de tous les attributs pour y parvenir.
Mais les « serviteurs de Baal » ne l'entendent pas de cette oreille. A la bourse des céréales de Chicago, les traders se sont émus de voir que des clients Sud- coréens pourraient les échapper à plus ou moins brève échéance si le projet de Daewoo voyait un début de commencement. En effet, les céréaliers américains dépendent en partie des commandes asiatiques et ils ne sont pas préts de lâcher pour si peu leurs clients.
Ratés
D'où la « fuite » dans la presse américaine, trop bien renseignée, du projet malgacho- coréen présenté de manière tellement ubuesque que méme les « altermodialistes » comme l'association Survie sont tombés dans la manipulation.
A ce moment précis, le sort du président malgache était déjà scellé méme si le projet n'était qu'au stade des études de faisabilité. Coïncidence ou non, les dossiers financiers de la Grande Ile présentés soit à Bretton Woods soit à Bruxelles ont commencé à connaître des ratés.
Alors que pendant sept ans (à partir de 2002), ils sont tous passés comme une lettre à la poste ! Autrement dit, l'Amérique a lâché Marc Ravalomanana lequel dans la foulée a autorisé l'octroi à un pétrolier chinois des blocs dans le périmètre de Bemolanga en vue de l'exploitation future du pétrole malgache.
Eva Joly
Avec les français, c'est du pareil au meme, voir pire. De notoriété internationale, les relations entre Marc Ravalomanana et ceux là n'ont jamais été bonnes. Les deux parties n'ont pas fait l'effort nécessaire pour y parvenir d'ailleurs. Au contraire, elles se sont fortement dégradées l'année dernière avec le renvoi de l'ancien ambassadeur Gildas Le Lidec. Ce qui déclencha aussitôt des représailles. Boudeuse, la France a attendu début 2009 avant de nommer son nouveau représentant.
Orgueilleuse, elle a tout fait pour que à travers l'Union européenne dont elle est l'un des principaux contributeurs, l'assistance à Madagascar soit suspendue pour cause de « mauvaise gouvernance. »
Mais il y a mieux. Les français n'ont pas apprécié l'affinité trop affichée entre Marc Ravalomanana et Eva Joly, cette magistrate franco- norvégienne qui a acquis une renommée internationale pour avoir démasqué la corruption chez Elf, ancétre de Total, la société pétrolière qui a réalisé 12 milliards euros de bénéfices en 2008.
Lobbys
Elle est méme accusée d'avoir conseillée au président Ravalomanana de recourir à l'expertise norvégienne dans la gestion du secteur pétrolier malgache. Ce qui n'est pas du goût de certains lobbys. Pour eux et pour d'autres, « pas question de travailler avec Ravalo et la Norvège quand le pétrole sortira du sous sol malgache. »
Il leur faudra dès lors se débarrasser du chef de l'Etat avant qu'il ne soit trop tard.
Tous les leviers et tous les canaux ont ainsi été utilisés pour renverser le président élu de Madagascar. Ce dernier a été trahi à tous les niveaux et jusque dans son très proche entourage, au gouvernement, à l'Assemblée et méme à la présidence !
Car avant que l'or noir ne sorte de terre, ce sont les dollars et les euros qui ont coulé à flot pour arroser tout ce beau monde.
Rampe
Enfin et non des moindres, le N° 1 malgache est passé à la chausse-trappe du Vatican à travers l'église locale.
Le départ à la retraite du Cardinal Armand Razafindratandra a sonné le glas de ce protestant bon teint et fier de l'étre mais qui a le malheur de siéger sur le trône dévolu depuis plus de quarante ans aux disciples de saint Pierre dans l'île, selon une règle non écrite.
La désignation de Mgr Odon Razanakolona, réputé proche de l'Arema et des dissidents du MFM, n'arrangea pas ses affaires. Son ascension à la téte du conseil chrétien des églises en début d'année donna une autre fenétre de tir à tous ceux qui en veulent au chef de l'Etat.
L'archevéque d'Antananarivo s'est servi de cette rampe afin de lancer l'offensive sur Iavoloha et pour arriver à ses fins.
Pantins
La coalition de ses trois puissances tentaculaires a eu raison des velléités d'indépendance de Marc Ravalomanana.
Toutefois, pour préserver les apparences et afin de cacher leur jeu, ils lui reconnaissent du bout des lèvres le titre devenu vide de sens de président de Madagascar.
Pour preuve, ils ont condamné le coup d'Etat mais pas ses auteurs, ils ont dénoncé le putsch mais pas les putschistes.
Pour la simple et bonne raison que ce sont leurs pantins.
Article ajouté le 2009-04-13 , consulté 193 fois
4. ndenn
(
28/05/2009 23:03)
C' est connue depuis une certaine periode , l' essentiel ,c' est de savoir avec qui va t- on négocier pour l' exploitation du gisement petrolier, FRANCE , USA , COREE DU SUD , ARABIE SAOUDIT , LYBIE , NORVEGE , CHINE ?