Ahaona ny hevitrareo amin'ny Film

1. papoussia ( 26/07/2008 07:16)
Tsy haiko aloha nareo na efa nahita ilay Film fa ra mbola tsy nahita de tsara ra mijery vao manome hevitra eto
ny Sombiny dia izao misy vehivavy roa mpinamana be de tsy miteraka ny iray , de nomen'ny iray ho azy ny zanany ra vao teraka teo no tiako hanehoanareo hevitra.
Manaiky ve ny sainareo amin'ny izany sa manome tsiny ilay nanome zaza ?
répondu par ari.malala le 28/07/2008 13:14
2. lingwa ( 26/07/2008 08:44)
ka le film aza ts fatatra akory ny titre kou in no ho jerena eo

mba manatanteraka an le teny oe "tiavo ny namanao tahaka ny tenanao" kosa angamba izy kou. Zanany ve tsy ho zanaky ny namany iany. :-)
3. ainaheri ( 26/07/2008 08:50)
Inn marina alou ilay film ee,enao kou mapmé an,mety bdb ny film mana tranga otr'zay ,au moins mba omenao ny titre-ny........Raha fanomezana ilay zaza ataoko tsy olana raha ohatra ka matotra ny maha mpinama azireo,fitsonjovany an'ilay fangirifirian'ilay namany zany no nanomezany azy....ary zay kou maha film azy ,fa tsy voateriko akory we ihainana daholo ny zvtr miseho @ ireny,betsaka ny eritreritra mandalo :)
4. Njainjai ( 26/07/2008 08:51)
in alo n titre anle film d in tsara n tinao antongavana fa tsy azonay e?
5. lingwa ( 26/07/2008 09:15)
miandry le titre an le film zay e :P
6. ni81 ( 26/07/2008 11:25)
Vao t@ ty herinandro ity aho no nahazo io vaovao io tany dago sa resaka hafa?
Toy izao no fandehany ary @ teny frantsay sady lava. Izaho aloha dia tena nalahelo an'i Volatiana satria tena fitiavana no nataon'ireto olona ve dia novaliana toy izany izy! Tsy hotononiko eto ilay olona nomeny ilay zaza fa samia misaintsaina...

Volatiana sur son enfant

Révélations fracassantes

Que n'a-t-on pas entendu au sujet de Volatiana ? Les rumeurs, appuyées par des non-dits ou des demi-mot, n'ont fait que s'amplifier au fil des années. L'actrice et chanteuse, acculée par ce qu'elle ressent comme une profonde ingratitude, a déjà tout dévoilé au cours d'une émission télévisée d'une chaîne locale. A sa grande surprise cependant, à la diffusion, l'interview a été amputée de sa partie la plus importante : celle où elle a déballé sa vérité. "A quoi bon avoir abordé la question si c'était pour la censurer ?", s'est-elle demandée. L'interview qui suit vient donc jeter la lumière sur cette zone d'ombre entretenue autour d'un pan de la vie de cette artiste. En fait, ceci n'est que l'avant papier de "Paingotra 2", un film qui sortira le 23 juillet prochain. Tout ce que Volatiana nous révèle ci-après est en effet mis en scène dans ce film, avec un souci de détails très accentué. "Tout ce qui y est raconté relève de faits réels, même les dialogues sont authentiques. La personne concernée, une artiste de renom, s'y reconnaîtra d'ailleurs. Ses paroles y sont reproduites d'une manière fidèle. Elle s'en souviendra certainement.", assure l'artiste. La patronne de Maxi Studio va au fond des choses "pour dire la vérité, car elle devient insupportable (tsy zaka intsony)", selon ses propres termes.

Propos recueillis par Hery Mampionona et Clarisse Razafy

+ La Vérité Week End : Lors d'une émission télévisée, on vous a vue en larmes en abordant un sujet qui, apparemment, vous tient à cœur. Il nous semble que vous en avez trop dit ou pas assez…
= Volatiana : "En réalité, j'ai tout dit durant le tournage mais les réalisateurs, pour des raisons que j'ignore, ont coupé certains passages au montage."
+ Qu'en est-il exactement ?
= "Il s'agit des détails sur l'histoire de l'adoption d'une de mes filles par une personne qui était très proche de moi. En dehors du fait que c'est une lointaine cousine, c'était aussi et surtout une très grande amie."
+ Mais est-ce que ce n'était pas un acte volontaire de votre part ?
= "En fait, il faut remonter l'histoire pour bien la comprendre. L'amie en question ne pouvait pas avoir d'enfant. Cette situation la mettait dans un tel état que, à certains moments, on avait l'impression que sa dépression pouvait même la conduire au suicide. Nous (feu son mari et elle, ndlr) lui avons suggéré maintes fois de recourir à l'adoption pour compenser ce vide qui, visiblement, empoisonnait sa vie. Mais pour elle, il était hors de question d'adopter un enfant d'une inconnue."



+ Et vous lui avez donc proposé votre propre fille ?
= "En fait, c'est mon mari qui, en premier, a eu cette idée. Devant la profonde déprime de notre amie, il a fini par me proposer de lui confier notre éventuel prochain enfant (Volatiana avait déjà une première fille à cette époque, ndlr). J'y ai d'abord opposé un refus catégorique. Même lorsque j'étais déjà tombée enceinte, j'ai toujours refusé. Pour moi, quelle que soit la situation dans laquelle elle se trouvait, à chacun sa vie "
+ Pourquoi avez-vous accepté par la suite ?
= "C'était lors d'une de nos rencontres avec mon amie. Elle avait noté que je prenais de l'embonpoint et m'en avait fait la remarque. Lorsque je lui ai annoncé que j'étais enceinte, il fallait voir dans quel état de tristesse elle était. Elle n'a pu s'empêcher de caresser mon ventre déjà rebondi, les larmes aux yeux. C'est là que, très touchée, spontanément et pratiquement sans y réfléchir, j'ai suivi la suggestion de mon mari. Je lui ai alors dit que je lui confierai cet enfant à venir pour adoption si c'est une fille. Par contre, si c'est un garçon, je le garde. Vous n'imaginez pas la joie que cela a suscitée en elle !»

+ Pendant les longs mois de grossesse, ne vous est-il pas arrivé de changer d’avis ?
= "Je m'en remettais au tout Puissant. Chaque jour qui passe, je priais pour que sa volonté soit faite. Car en fait, c'était donc Dieu seul qui avait le dernier mot. L'issue de ma décision dépendait du sexe de l'enfant à venir dont il est le seul maître."
+ Comment a réagi votre entourage ?
= "Mal, très mal ! Tout le monde, excepté mon mari, m'a donné tort. Mon beau-père, par exemple, m'a désapprouvée, mais il a dit qu'étant donné que c'était une promesse émise ("vava latsaka"), il fallait que je la tienne."
+ Le moment de vérité ?
= "C'était vers le septième mois de grossesse. J'avais passé une échographie qui a révélé que l'enfant que je portais était une fille. Là, il était donc dit qu'elle était promise à l'adoption. La première chose que j'ai faite était alors de… féliciter la future mère adoptive au téléphone. Elle s'est empressée de venir me voir. Le petit pincement au cœur qui me tenaillait s'est dissipé lorsque j'ai vu le bonheur de mon amie."
+ Vous avez donc mené la grossesse à terme sans problèmes ?
= "Un léger tout de même. Mon mari et moi, nous n'étions pas d'accord avec mon amie sur la manière de présenter l'événement au public. En effet, elle s'est mise à simuler une grossesse. Ce qui ne nous semblait pas être très indiqué. Pour nous, il ne fallait pas cacher l'adoption. Il n'y avait rien de mal à cela. Mais elle avait ses propres raisons."
+ A quel moment l'enfant a-t-elle été confiée à sa famille adoptive ?
= "Juste à la naissance."
+ Est-ce que cela a été une déchirure pour vous ?
= "Pour faciliter la séparation, il fallait que je me garde de tout contact avec l'enfant. Sitôt mise au monde, elle fut donc tout de suite emmenée par sa famille adoptive. C'était au pavillon Sainte fleur et mon amie y a rameuté la presse pour annoncer qu'elle a accouché."
+ Jusqu'ici, nous ne voyons encore aucun nuage…
= "Là où ça a commencé à se gâter, c'était lorsque notre amie a commencé à nous annoncer la nécessité de "couper les ponts" (sic). Ce que nous, de notre côté, n'arrivions pas à comprendre. Avec le recul, il apparaît donc qu'elle guettait la moindre occasion pour nous éloigner définitivement de son entourage. Quelques temps après, le clash est intervenu d'une manière tout à fait inattendue, enfin pour nous."
+ De quelle manière ?
= "C'était presque une broutille. Dans tous les cas, ce n'était nullement une raison de nous traiter en ennemi. Car, par la suite, c'est ce qui s'est vraiment passé.
+ Pouvez-vous être plus explicite ?
= « On était partie prenante dans une prestation artistique au profit d'une œuvre religieuse. A l'issue de l'événement, à l'heure de faire les comptes, nous avons laissé une partie des sommes pour l'église. L'amie a alors répandu le bruit que nous l'avons escroquée de 500 000 fmg. Ce qui est totalement faux et le pasteur de l'église pouvait en témoigner. Mis au courant de cette accusation, mon mari et moi sommes donc allés chez elle pour lui expliquer la vérité. Malheureusement, elle nous a carrément jetés dehors en nous disant clairement qu'elle ne voulait plus nous fréquenter."
+ Le pont a donc été définitivement coupé ?
= "C'est le cas de le dire. Mon mari en a été très affecté. Il s'en voulait à mort car c'était lui qui a été le premier émettre l'idée de l'adoption. Il se sentait coupable de son insistance auprès de moi en ce sens."
+ Les rumeurs sur cette affaire ont circulé depuis longtemps. Là, vous ne faites que les confirmer. Qui en est la source ?

= "Pas moi en tout cas. Au contraire, lorsque les gens me questionnaient sur ce sujet, j'ai toujours répondu que cette enfant était bel et bien la sienne. Après, les bruits ont couru que je l'avais "vendue" pour dix millions ou en contrepartie d'une maison, etc… Je n'en connais pas la source. Je suis la plus dénigrée dans ces rumeurs ! "
+ Est-ce qu'il n'y avait vraiment aucune contrepartie ?
= "Absolument pas ! Notre seul but était d'aider notre amie. Tenez ! Même les frais d'hôpital pour l'accouchement, c'est nous qui les avons entièrement pris en charge. Et c'est là justement que c'est navrant. Non seulement, il n'y a aucune reconnaissance morale en retour, mais voilà qu'on nous accuse de lui voler une somme dérisoire. Pire, par la suite, des rumeurs font état de dénigrements de sa part à mon encontre, sur le plan artistique."
+ Et si ce n'était que des rumeurs ?
= "Malheureusement non. Le hasard a fait que j'en étais personnellement témoin. Un jour, j'ai été appelée pour animer un meeting dans le cadre d'une propagande électorale. C'était en 2002. La personne qui m'a contactée, ignorant tout de l'état de mes relations avec l'ex-amie, a téléphoné à cette dernière pour lui faire part de ma participation. Il avait mis l'appareil, un téléphone fixe, sur haut-parleur. J'ai moi-même entendu ses propos malveillants à mon sujet. Embarrassée au plus haut point, la personne s'est empressée d'éteindre le haut parleur du combiné. Moi, de mon côté, les jambes flageolantes, j'ai failli ne pas trouver la porte de sortie !»
+ Quels étaient ces propos ?
= " Elle me qualifiait de "nulle" en tant que chanteuse (" olona tsy mahay n'inon'inona iny !!"). Par la suite, pour se justifier, elle a affirmé qu'elle ignorait ma présence dans le bureau de l'organisateur et que ce dernier avait mis sont téléphone sur haut-parleur. Je ne vois pas trop où est la différence puisqu'elle a bien émis les propos en question. Des producteurs me rapportent d'ailleurs qu'à chaque fois qu'on projette de nous programmer toutes les deux dans un même spectacle, elle menace de se retirer en affirmant qu'elle ne partagera jamais la scène avec moi."
+ D'après vous, pourquoi une telle attitude de sa part ?
= "Je n'arrive pas à l'expliquer. Car la seule intention de "couper les ponts" ne justifie pas un tel comportement vis-à-vis de celle qui s'est séparée d'une partie d'elle-même pour apporter le bien-être dans sa vie. Il semble même qu'elle remue le couteau dans la plaie. Une fois dans une réunion entre artistes, nous nous sommes retrouvées face à face sur une même table. C'était la première fois après la rupture qu'elle me saluait de nouveau. Elle m'a alors montré la photo de l'enfant, ainsi que celle de la sage-femme, qui m'a accouchée, qu'elle avait sur son portable en me demandant si je les reconnais. Ensuite, elle a formé un numéro et, après quelques minutes de conversation, m'a passé le téléphone. Au bout du fil, une voix d'enfant me salue : "bonjour, maman Volatiana". C'était ma fille ! C'était intenable et, en larmes, je suis allée me réfugier dans les toilettes. Heureusement, beaucoup d'amis artistes m'ont réconfortée. Car il faut savoir que la situation a fait beaucoup de mal dans ma propre existence. Comme je vous l'ai dit, mon mari en a été touché au plus profond de son âme."
+ Comment avez-vous réagi suite à ce revirement de la situation ?
= "Tant bien que mal ! Pour rééquilibrer notre ménage, nous avions décidé d'avoir un autre enfant le plus tôt possible. Malheureusement, mon mari mourut d'un arrêt cardiaque peu après la naissance de ce dernier gosse. Deux jours avant son décès, la petite dernière dans ses bras, et comme s'il avait une prémonition, il m'avait confié qu'il emporterait jusqu'à la tombe sa rancoeur ("lazao izy fa hoentiko hatrany am-pasana ny alaheloko aminy"). Pour lui, les agissements à notre encontre sont autant de coups de couteau dans le dos."
+ L'amie est-elle venue présenter ses condoléances en cette circonstance ?

= "Oui. Et là encore, c'était toute une histoire. J'étais dans un tel état de choc que je ne me rendais absolument pas compte de tout se qui se passait autour de moi. Durant les trois jours et trois nuits de veillée, je restais prostrée dans ma chaise, sans manger et surtout, sans aucune réaction, comme tétanisée. L'amie a alors interprété cela autrement en affirmant que j'ai refusé l'enveloppe des condoléances de leur part ! Mais il y a pire : ils avaient offert un linceul au nom de leur fille adoptive. Il y en avait 26 en tout et d'ailleurs, on ne savait plus lequel venait de qui. Le hasard a mal fait les choses puisque, dans la confusion, il y en avait un non utilisé et c'était justement celui qu'ils avaient ramené. Elle n'a pas manqué de mettre ce malheureux fait, une coïncidence fortuite, sur mon dos ! Pourtant, durant les trois jours en question, la seule chose que j'avais avalée était du chocolat qu'elle m'a offert. Si j'avais vraiment la moindre arrière-pensée sur elle, est-ce que j'aurai accepté de manger quelque chose de sa part ? »
+ Vos deux autres enfants sont-elles au courant de la situation ?
= "Oui. D'ailleurs, un jour, rencontrant par hasard sa cadette dans la rue, l'aînée, qui a treize ans, a voulu aller vers elle dans l'intention de lui dire qu'elles sont sœurs. On a eu du mal à la retenir."
+ De son côté, celle qui a été adoptée connaît-elle la vérité ?
= "On m'a raconté qu'elle a déjà été mise au courant par sa mère adoptive."
+ Comme aurait-elle réagi ?
= " D'après ce qu'on m'a dit, assez bien. Il paraît qu'elle a dit avoir de la chance de posséder plusieurs mamans !»
+ Vous ne pensez pas que cette situation conflictuelle entre ses deux mères pourrait avoir des répercussions sur l'existence de cette enfant ?
= "Si, assurément ! Mais que puis-je y faire ? C'est une situation que je n'aurai jamais imaginée et d'ailleurs ce n'est pas moi qui l'ai créée. Mais j'espère de tout cœur que ma fille est heureuse auprès de sa famille adoptive."
+ Pourquoi ne pas s'asseoir autour d'une table et en discuter, pour le bonheur de la gosse ?
= "Je n'ai rien contre. Cependant, j’attends un geste de la part de la personne car je ne lui ai fait aucun mal, au contraire. Si c'est moi qui fais le premier pas, c'est comme si je reconnais avoir tort. Or, ce n'est pas le cas."
+ Est-ce que vous seriez tentée de récupérer l’enfant ?
= " Qui à ma place ne serait pas tentée de le faire, vu la tournure prise par les choses ? Mais est-ce que cela contribuera à son bonheur ? Changer de famille après huit ans n'est pas évident. Comme je vous l'ai dit tout à l'heure, l'important est son bien-être."
+ Mais même si vous savez que l'appel du sang est fort et certain, est-ce que le retrait est encore envisageable ?
= "Juridiquement, non. L'enfant a déjà été adoptée légalement depuis sa naissance."
+ S'il est possible de revenir en arrière, referiez-vous votre geste ?
= "C'est sans doute la plus grande erreur de ma vie. Assurément, je ne la recommencerai pas."










7. papoussia ( 26/07/2008 12:15)
titre le film "PAINGOTRA" misy fizarana telo le izy io tena marina hono io tantara io
Azafady fa adino e
8. papoussia ( 26/07/2008 12:27)
ny tiako ahatongavana indray de tsy inona fa tiako mba mamaoka ny hevitrareo nareo
9. ainaheri ( 26/07/2008 13:27)
papousia>> io lazain'i niraikambivalopolo io zany ilay izy??8):wink:
10. lingwa ( 26/07/2008 14:03)
tena ts nampoiziko njay iny. Atao aona fzany fona ny fiainana e
11. ni81 ( 26/07/2008 14:07)
Izay ilay fiainana... Nentin'ny olona nody any am-pasana mihitsy ny alahelony. :o
12. lingwa ( 26/07/2008 14:27)
Ny an maty vita iany fa fahorian velona mbola tantara be
13. ni81 ( 26/07/2008 14:35)
Marina mihitsy fa tsy hijanona eo intsony io tantara io fa efa naseho vahoaka dia hitatra amin'izay. Raha mba nahay nifanaraka tsara t@ tompon-janaka dia tsy ho nibaribary toy izao ny fandehan-javatra. 8O
14. booboo ( 26/07/2008 19:56)
Mampalahelo fa ny lehibe no migidraka dia ny ankizy no hizaka avy teo...
15. kelly13 ( 26/07/2008 20:11)
hay v ka tena marina le resaka oe zanak'i volatiana le zaza hita @ clip n'ilay "amie" e! ndryy, mafy ty fitiava-namana nefa ...
16. fijo ( 26/07/2008 20:40)
raha rahavavy de tsy ooana fa rahanamana mety hanahirana ihany kle.
17. ari.malala ( 28/07/2008 13:14)
mba ingrate kou zany oul zany kle!
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