fanafotsiana vola "blanchiment d'argent/money laundering"
1. badboy
(
15/05/2008 14:59)
Misy "administration" vaovao hatsangana iadivana @ io fanafotsiana vola maloto io. Voasoritr'ireo mpanadihady fa ny vola voahodikodina ao mada no avoaka any ivelany dia averina ampidirina avy eo ka lazaina fa vola azo avy @ asa atao avy any ivelany ka lasa madio ilay izy. Ny mahagaga dia vola be ilay mivoaka sy miditra nefa tsy misy mahatsikaritra hoe vola voahodikodina. Dia tena tsisy mahalala mihintsy ve ny mapanaramaso sa mody fanina daholo satria samy manao na koa mahazo ampahany matevina rehefa miverina ilay vola???? :{ :{ :{ mampiorikoditra!
novalian'i badboy ny 18/05/2008 07:51
2. milaibe
(
15/05/2008 15:28)
avy aiza ny sources le vaovao aloha fa ratsy be nge zany e ,hotran`izany daholo ireny iles paradis fiscaux ireny ,ny off shore no manjaka ny azy tsy hoe modiny tsy hita fa efa izay mintsiny ny ivelomany
3. badboy
(
15/05/2008 16:56)
Blanchiment d'argent
Plusieurs dossiers passés à la loupe
Les autorités se dotent des moyens pour combattre le blanchiment d’argent. Elles bénéficient du soutien de la Banque mondiale.
Robert Blake a promis le soutien de la Banque mondiale à la lutte contre le blanchiment d’argent.
Le phénomène de blanchiment de capitaux existe bel et bien à Madagascar. « Les auteurs n'ont pas encore été appréhendés, toutefois, des enquêtes ont été menées sur de nombreux dossiers grâce à la coopération du gouvernement suisse », affirme Rafolisy Patrick, secrétaire exécutif du Comité pour la sauvegarde de l'intégrité, lors de la table-ronde sur la lutte contre ce fléau qui se tient depuis hier dans les locaux de la Banque mondiale.
« Détournement de denier public, exportations illicites de pierres précieuses, corruption. Ce sont les principales sources d'argent sale dans le pays. De ce fait, les capitaux blanchis ne proviennent pas forcément de l'extérieur » souligne toujours notre interlocuteur.
Un système de détection
D'après ses explications, les billets sont envoyés à l'extérieur, puis reviennent au pays après un certain moment via des déclarations d'activité non fondées. Ils intègrent, par la suite, le circuit normal.
« Outre les banques, les compagnies d'assurance, les promoteurs de projets immobiliers et les casinos sont les secteurs les plus exposés à ce trafic. En cas de soupçon, ces derniers ont l'obligation d'informer le service de renseignement financier » informe Rafolisy Patrick.
Ce système a été mis en place pour éviter la prolifération des délinquances financières. Il sera opérationnel à compter du mois de juin. Il a pour rôle de détecter les mouvements suspects, de suivre et de mettre la main sur l'argent en cours de blanchiment. « Cette unité technique devra aussi permettre de réduire la vulnérabilité en matière de transfert international de capitaux » déclare le ministre de la Défense nationale, Cécile Manorohanta.
Par ailleurs, des représentants du secteur privé et de l'administration ont partagé leurs expériences respectives au cours de cette table-ronde.
L'objectif étant de mettre en place des stratégies et politiques efficaces pour renforcer la lutte contre le blanchiment d'argent et de consolider la coordination des diverses parties prenantes. Pour sa part, le réprésentant résident de la Banque mondiale, Robert Blake, a confirmé la volonté de l'institution à soutenir l'initiative de Madagascar.
Il est à noter que ce phénomène favorise également d'autres activités criminelles comme les trafics humains et de drogue.
Lantoniaina Razafindramiadana
Date : 15-05-2008
http://www.lexpressmada.com/index.php?p=display&id=17599
Plusieurs dossiers passés à la loupe
Les autorités se dotent des moyens pour combattre le blanchiment d’argent. Elles bénéficient du soutien de la Banque mondiale.
Robert Blake a promis le soutien de la Banque mondiale à la lutte contre le blanchiment d’argent.
Le phénomène de blanchiment de capitaux existe bel et bien à Madagascar. « Les auteurs n'ont pas encore été appréhendés, toutefois, des enquêtes ont été menées sur de nombreux dossiers grâce à la coopération du gouvernement suisse », affirme Rafolisy Patrick, secrétaire exécutif du Comité pour la sauvegarde de l'intégrité, lors de la table-ronde sur la lutte contre ce fléau qui se tient depuis hier dans les locaux de la Banque mondiale.
« Détournement de denier public, exportations illicites de pierres précieuses, corruption. Ce sont les principales sources d'argent sale dans le pays. De ce fait, les capitaux blanchis ne proviennent pas forcément de l'extérieur » souligne toujours notre interlocuteur.
Un système de détection
D'après ses explications, les billets sont envoyés à l'extérieur, puis reviennent au pays après un certain moment via des déclarations d'activité non fondées. Ils intègrent, par la suite, le circuit normal.
« Outre les banques, les compagnies d'assurance, les promoteurs de projets immobiliers et les casinos sont les secteurs les plus exposés à ce trafic. En cas de soupçon, ces derniers ont l'obligation d'informer le service de renseignement financier » informe Rafolisy Patrick.
Ce système a été mis en place pour éviter la prolifération des délinquances financières. Il sera opérationnel à compter du mois de juin. Il a pour rôle de détecter les mouvements suspects, de suivre et de mettre la main sur l'argent en cours de blanchiment. « Cette unité technique devra aussi permettre de réduire la vulnérabilité en matière de transfert international de capitaux » déclare le ministre de la Défense nationale, Cécile Manorohanta.
Par ailleurs, des représentants du secteur privé et de l'administration ont partagé leurs expériences respectives au cours de cette table-ronde.
L'objectif étant de mettre en place des stratégies et politiques efficaces pour renforcer la lutte contre le blanchiment d'argent et de consolider la coordination des diverses parties prenantes. Pour sa part, le réprésentant résident de la Banque mondiale, Robert Blake, a confirmé la volonté de l'institution à soutenir l'initiative de Madagascar.
Il est à noter que ce phénomène favorise également d'autres activités criminelles comme les trafics humains et de drogue.
Lantoniaina Razafindramiadana
Date : 15-05-2008
http://www.lexpressmada.com/index.php?p=display&id=17599
5. badboy
(
17/05/2008 12:47)
Jeanpetit >> matoa mamaly de namaky. Izay ihany ny tanjona lehibe indrindra : ny hazaon'izay mamaky fa tsy ny valiny omeny akory (The understanding is better than the retort).
6. Jeankely
(
17/05/2008 14:51)
amporisihina Ikoto-gazety andika sy hitatitra hatrany satria tsy mahita ny sasany :-D :-D :-D
7. badboy
(
18/05/2008 07:51)
Misaotra anao mandray anjara @ fampiroboroboana ny fapitana vao² na dia hoe mamporisika fotsiny aza. Misimisy ny toa anao sy za dia ho haharaka vao² ny rehetra. :^) :^) :^) :^)
