EPIC et PIP ?????
1. xxx
(
10/01/2008 07:00)
Mba afaka manampy ahy ve nareo amin'ny fanazavana momba an'ireto:
1) EPIC (Etablissement Public à caractère Industriel et Commercial). Inona no tena dikan'io statut io? Inona no fiantraikany? Rehefa inona no hatao an'io ny agence iray ?
2)PIP (programme d'investissements publics?. Inona no tena dikan'io? Ary inona no fiantraikany raha toa ka havadika an'io ny financement avy any amin'ny bailleur de fonds?
Misaotra mialoha
1) EPIC (Etablissement Public à caractère Industriel et Commercial). Inona no tena dikan'io statut io? Inona no fiantraikany? Rehefa inona no hatao an'io ny agence iray ?
2)PIP (programme d'investissements publics?. Inona no tena dikan'io? Ary inona no fiantraikany raha toa ka havadika an'io ny financement avy any amin'ny bailleur de fonds?
Misaotra mialoha
novalian'i bazylou ny 25/07/2008 13:20
2. Jeankely
(
11/01/2008 06:28)
Tsy mahay manazava ireo tanteraka aho fa ilay voalohany no misy santionany kely fantatro. NIsy fotoana nangataka ny INSTAT mba ho EPIC ary nahagaga fa avy eo toe tia ny miaraka @'ny fanjakana indray ny sasany. Sahala izany ireo CNERIT, CNRE, sy ny sisa ao anaty MInistera ry zalahy nefa afaka mampidibola amin'ny fanadihadihana sy ny asa ataony. Ny anisany mahagaga ahy koa dia lasa lazain'ny sasany ho secret na tokony hamidy daholo ny zavatra havoakandry zalahy. Misy nefa fanadihadiana izay ilaina @ etudes na research isakarazany ary malalaka ny fahazoana azy amin'ny tany hafa nefa dia lazaindreo olana ny fahazoana azy. Ny zavatra mitranga na hevitra raisina rhetra dia lasa olana na heverina fanatsara aza any ampiandohana.
Ny PIP indray dia ny tompon'andraikitry ny Ministera ireo no mahay manazava azy satria mampiasa io reo amin'ny vola hiasany sy hanaovany ny asa tiany hatao. Miala tsiny fa tsy fanazavana mivantana no nataoko fa filazana ankapobeny. Mino aho fa ho avy ny tena misahana sy miasa @'ireo.
Ny PIP indray dia ny tompon'andraikitry ny Ministera ireo no mahay manazava azy satria mampiasa io reo amin'ny vola hiasany sy hanaovany ny asa tiany hatao. Miala tsiny fa tsy fanazavana mivantana no nataoko fa filazana ankapobeny. Mino aho fa ho avy ny tena misahana sy miasa @'ireo.
4. HESHA
(
11/01/2008 13:13)
ny kely mba haiko :
EPIC hoatran ny tranombarotra ROSO talou reny, ste a part entiere izy fa an ny fanjakana.
PIP resaka budget atokana hi financer na asa tsy voatery hampidi-bola izy io, matetika iarahana am prive mahatonga le 3P (Partenariat Public Prive), ohatra ny financement na ONG / Commune / Etat hanao adduction d eau potable am faritra iray
EPIC hoatran ny tranombarotra ROSO talou reny, ste a part entiere izy fa an ny fanjakana.
PIP resaka budget atokana hi financer na asa tsy voatery hampidi-bola izy io, matetika iarahana am prive mahatonga le 3P (Partenariat Public Prive), ohatra ny financement na ONG / Commune / Etat hanao adduction d eau potable am faritra iray
5. landja
(
14/01/2008 05:45)
Misaotra an'i hesha. Fa mba hasio fanazavana bebe kokoa satria azo ny teneninao nefa rehefa tena appliquer-na toa ohatran'ny tsy azo. Izaho mantsy tena vaovao be amin'io resaka Administration io.
Ka mba afaka manome ohatra ve enao? Misaotra
Ka mba afaka manome ohatra ve enao? Misaotra
7. badboy
(
09/04/2008 17:41)
Les EPA et EPIC sont les deux régimes juridiques possibles d’un établissement public (EP). Ils se distinguent par leur activité : service public administratif, pour les EPA, ou service public industriel et commercial, pour les EPIC. Pour différencier ces activités et en déterminer le caractère éventuellement marchand, trois critères sont examinés : l’objet de l’établissement (missions traditionnelles de souveraineté ou d’action sociale pour les EPA, production et commercialisation de biens et services pour les EPIC), ses ressources (surtout redevances payées par les usagers pour les EPIC), ses modalités de fonctionnement (identiques à ceux d’une entreprise privée ou non). Sont ainsi des EPA, les caisses nationales de la Sécurité sociale, l’ANPE ou quelques musées nationaux (ex : Le Louvre, Orsay, Versailles) et des EPIC, la RATP ou encore les théâtres nationaux.
Les EPA et les EPIC ne sont pas soumis de la même façon au droit public. Ainsi, un EPA relève en principe du droit public administratif : son personnel est composé d’agents publics, ses décisions sont des actes administratifs et les conflits relèvent de la justice administrative sauf exception. En revanche, un EPIC est largement régi par le droit privé : son personnel est soumis en principe au Code du travail et s’assimile très largement aux salariés du secteur privé, et les contrats qu’ils passent avec leurs usagers relèvent du droit privé. Néanmoins, les frontières sont moins étanches qu’il n’y paraît.
Enfin, pour distinguer les EPA et les EPIC, certains auteurs ont créé la distinction entre « activités de plus grand service » et « activités de plus grand profit ». Néanmoins, ces expressions ne sont pas par elles-mêmes très révélatrices.
Les EPA et les EPIC ne sont pas soumis de la même façon au droit public. Ainsi, un EPA relève en principe du droit public administratif : son personnel est composé d’agents publics, ses décisions sont des actes administratifs et les conflits relèvent de la justice administrative sauf exception. En revanche, un EPIC est largement régi par le droit privé : son personnel est soumis en principe au Code du travail et s’assimile très largement aux salariés du secteur privé, et les contrats qu’ils passent avec leurs usagers relèvent du droit privé. Néanmoins, les frontières sont moins étanches qu’il n’y paraît.
Enfin, pour distinguer les EPA et les EPIC, certains auteurs ont créé la distinction entre « activités de plus grand service » et « activités de plus grand profit ». Néanmoins, ces expressions ne sont pas par elles-mêmes très révélatrices.
8. badboy
(
09/04/2008 18:45)
Madagascar relance son économie
Relancer l’économie
Le budget de l’Etat malgache s’élève à près de 15 000 milliards de Fmg. En vigueur depuis le 2 janvier dernier, il mise sur l’investissement public pour relancer l’économie du pays. Les autorités malgaches comptent sortir du rouge et visent un taux de croissance de 7,8%.
par David Cadasse
15 000 milliards de francs malgaches (Fmg). Ou plus exactement 14 841 086 625 000 de Fmg. Le budget de l’Etat malgache, voté le 18 décembre 2002, est en vigueur depuis le 2 janvier dernier. Après l’effondrement de l’économie l’année dernière, suite à la crise politique dans le pays, les autorités espèrent renouer rapidement avec la croissance. Une relance qu’elles comptent assurer notamment par l’investissement public.
" J’exhorte chacun de vous à donner le maximum pour que cette année marque le démarrage effectif du décollage économique ", déclarait le ministre de l’Economie, des Finances et du Budget, Benjamin Andriampanrany Radividson, à l’occasion de sa cérémonie de voeux. Si le budget 2003 reste sensiblement le même que celui de l’année dernière, le pays affiche l’objectif d’un taux de croissance de 7,8% pour 2003 (-12% en 2002) et la volonté de ramener l’inflation à 5% (15% en 2002).
Cinq axes prioritaires
Au rang des priorités : la construction, la réhabilitation des infrastructures économiques, la sécurité, l’éducation nationale et la santé publique. Le Programme d’investissement public (PIP) 2003 octroie près de la moitié de son enveloppe globale au secteur infrastructure (43,54 %), 24,23% au social, 16,94% au secteur administratif et 15,29% au secteur productif.
Politique de relance par la demande, l’Etat injecte non seulement de l’argent public dans l’économie mais il diminue également les impôts sur le revenu - une hausse de 12% des salaires est d’ailleurs prévue en 2003 - afin de favoriser la consommation. Les autorités entendent maintenir leurs recettes fiscales en s’appuyant sur une population imposable plus nombreuse, les contribuables ne représentant que 0,6 % de la population totale (15 millions d’habitants).
L’armée, la sécurité publique et la justice augmentées
Les nouveaux budgets des ministères ont connu des fortunes diverses. La Défense nationale (+30%), la Sécurité publique et la Justice (chacun 25%) enregistrent les plus importantes augmentations de dotation budgétaire. En revanche, coupes sombres au ministère de la Privatisation puisque, avec 44 millions de Fmg, il perd 85% de son budget 2002. Le ministère des Travaux publics (660 milliards de Fmg) perd quant à lui 300 milliards de Fmg. Il reste tout de même le deuxième ministère le plus important après celui de l’Economie et des Finances (1 500 milliards de Fmg), amputé pour 2003 de 99 milliards de Fmg.
Avec des baisses de budget de 18, 9 et 10 milliards de Fmg, les ministères de l’Enseignement secondaire, de l’Enseignement supérieur et de l’Enseignement technique sont invités à se montrer plus fins gestionnaires. D’autant que le gouvernement fait de l’Education nationale une de ses grandes priorités.
Relancer l’économie
Le budget de l’Etat malgache s’élève à près de 15 000 milliards de Fmg. En vigueur depuis le 2 janvier dernier, il mise sur l’investissement public pour relancer l’économie du pays. Les autorités malgaches comptent sortir du rouge et visent un taux de croissance de 7,8%.
par David Cadasse
15 000 milliards de francs malgaches (Fmg). Ou plus exactement 14 841 086 625 000 de Fmg. Le budget de l’Etat malgache, voté le 18 décembre 2002, est en vigueur depuis le 2 janvier dernier. Après l’effondrement de l’économie l’année dernière, suite à la crise politique dans le pays, les autorités espèrent renouer rapidement avec la croissance. Une relance qu’elles comptent assurer notamment par l’investissement public.
" J’exhorte chacun de vous à donner le maximum pour que cette année marque le démarrage effectif du décollage économique ", déclarait le ministre de l’Economie, des Finances et du Budget, Benjamin Andriampanrany Radividson, à l’occasion de sa cérémonie de voeux. Si le budget 2003 reste sensiblement le même que celui de l’année dernière, le pays affiche l’objectif d’un taux de croissance de 7,8% pour 2003 (-12% en 2002) et la volonté de ramener l’inflation à 5% (15% en 2002).
Cinq axes prioritaires
Au rang des priorités : la construction, la réhabilitation des infrastructures économiques, la sécurité, l’éducation nationale et la santé publique. Le Programme d’investissement public (PIP) 2003 octroie près de la moitié de son enveloppe globale au secteur infrastructure (43,54 %), 24,23% au social, 16,94% au secteur administratif et 15,29% au secteur productif.
Politique de relance par la demande, l’Etat injecte non seulement de l’argent public dans l’économie mais il diminue également les impôts sur le revenu - une hausse de 12% des salaires est d’ailleurs prévue en 2003 - afin de favoriser la consommation. Les autorités entendent maintenir leurs recettes fiscales en s’appuyant sur une population imposable plus nombreuse, les contribuables ne représentant que 0,6 % de la population totale (15 millions d’habitants).
L’armée, la sécurité publique et la justice augmentées
Les nouveaux budgets des ministères ont connu des fortunes diverses. La Défense nationale (+30%), la Sécurité publique et la Justice (chacun 25%) enregistrent les plus importantes augmentations de dotation budgétaire. En revanche, coupes sombres au ministère de la Privatisation puisque, avec 44 millions de Fmg, il perd 85% de son budget 2002. Le ministère des Travaux publics (660 milliards de Fmg) perd quant à lui 300 milliards de Fmg. Il reste tout de même le deuxième ministère le plus important après celui de l’Economie et des Finances (1 500 milliards de Fmg), amputé pour 2003 de 99 milliards de Fmg.
Avec des baisses de budget de 18, 9 et 10 milliards de Fmg, les ministères de l’Enseignement secondaire, de l’Enseignement supérieur et de l’Enseignement technique sont invités à se montrer plus fins gestionnaires. D’autant que le gouvernement fait de l’Education nationale une de ses grandes priorités.