Saika nisy namono ny Filoha Ravalomanana.(suite)
1. Fiffi
(
18/04/2007 12:12)
de ahoana hiany aza zao ? ity indray nefa de gazety hafa no namoaka azy io....
L'enquête sur la tentative d'entrée de force à la résidence du président de la République, Ravalomanana Marc, à Faravohitra, se déroule dans la discrétion. L'augmentation de l'effectif des personnes appréhendées à la Brigade des recherches de la gendarmerie nationale à Fiadanana est confirmée. Mais leur nombre exacte n'est pas déterminé.
Ainsi, une source proche du pouvoir a annoncé la garde à vue de 13 personnes. “L'un d'entre eux est un colonel de la gendarmerie. Les autres sont tous des militaires du 1er Régiment des forces d'intervention (1er Rfi)”, a t-elle évoqué.
Mais l'information n'est pas confirmée par une autre source près du dossier. “Nous ne savons pas réellement, à l'heure actuelle, le nombre des personnes appréhendées. Une chose est sûre: c'est l'existence de militaires parmi ceux qui sont arrêtés”, a t-elle confiée.
Le premier ministre, Charles Rabemanjara, a révélé l'incident, lors d'une conférence de presse au ministère de l'Intérieur et de la réforme adminsitrative (MIRA), vendredi. “Il y a eu une tentative d'attentat contre le chef de l'Etat, dans la nuit du 3 au 4 avril”, a t-il déclaré.
Fano Rakotondrazaka L'Express de Madagascar
L'enquête sur la tentative d'entrée de force à la résidence du président de la République, Ravalomanana Marc, à Faravohitra, se déroule dans la discrétion. L'augmentation de l'effectif des personnes appréhendées à la Brigade des recherches de la gendarmerie nationale à Fiadanana est confirmée. Mais leur nombre exacte n'est pas déterminé.
Ainsi, une source proche du pouvoir a annoncé la garde à vue de 13 personnes. “L'un d'entre eux est un colonel de la gendarmerie. Les autres sont tous des militaires du 1er Régiment des forces d'intervention (1er Rfi)”, a t-elle évoqué.
Mais l'information n'est pas confirmée par une autre source près du dossier. “Nous ne savons pas réellement, à l'heure actuelle, le nombre des personnes appréhendées. Une chose est sûre: c'est l'existence de militaires parmi ceux qui sont arrêtés”, a t-elle confiée.
Le premier ministre, Charles Rabemanjara, a révélé l'incident, lors d'une conférence de presse au ministère de l'Intérieur et de la réforme adminsitrative (MIRA), vendredi. “Il y a eu une tentative d'attentat contre le chef de l'Etat, dans la nuit du 3 au 4 avril”, a t-il déclaré.
Fano Rakotondrazaka L'Express de Madagascar
novalian'i Fiffi ny 01/05/2007 13:19
2. jefra
(
18/04/2007 17:15)
Forces armées: Enquête sur enquête…
(...) une source informée vient de confirmer hier qu’un colonel de la Gendarmerie nationale ainsi qu’un lieutenant et un capitaine de l’Armée sont, actuellement et effectivement, en garde à vue pour les besoins de l’enquête se rapportant à la tentative d’assassinat du président de la République qui a été révélée par le Premier ministre devant se produire dans la nuit du 3 au 4 avril à Faravohitra.
Pour observer le secret de l’instruction et la présomption d’innocence, nous tairons le nom de ces trois officiers et le camp militaire où ils subissent actuellement leurs enquêtes. Néanmoins, de mauvaises langues indiquent qu’ils sont actuellement en train de vivre l’incongrue situation des « arroseurs arrosés ».
En effet, ce colonel des bérets noirs ainsi que ces lieutenant et capitaine de l’Armée ont déjà été « identifiés » par leurs pairs comme de véritables indics du régime Ravalomanana. Ceux-là même qui ont traîné partout leurs oreilles et yeux, notamment dans les rangs militaires, pour avoir la moindre phrase ou le minimum de déclarations hostiles au pouvoir en place pour en dresser une liste de leurs auteurs. Une liste qu’ils ont ensuite envoyée à qui de droit, notamment à la Justice qui n’a pas manqué de l’exploiter par l’audition, durant le mois dernier, d’une soixantaine d’officiers supérieurs et généraux au Parquet. En clair, après avoir mis en difficulté bien de leurs pairs, ces trois éléments des Forces armées subissent maintenant à leur tour le calvaire judiciaire.
(...) une source informée vient de confirmer hier qu’un colonel de la Gendarmerie nationale ainsi qu’un lieutenant et un capitaine de l’Armée sont, actuellement et effectivement, en garde à vue pour les besoins de l’enquête se rapportant à la tentative d’assassinat du président de la République qui a été révélée par le Premier ministre devant se produire dans la nuit du 3 au 4 avril à Faravohitra.
Pour observer le secret de l’instruction et la présomption d’innocence, nous tairons le nom de ces trois officiers et le camp militaire où ils subissent actuellement leurs enquêtes. Néanmoins, de mauvaises langues indiquent qu’ils sont actuellement en train de vivre l’incongrue situation des « arroseurs arrosés ».
En effet, ce colonel des bérets noirs ainsi que ces lieutenant et capitaine de l’Armée ont déjà été « identifiés » par leurs pairs comme de véritables indics du régime Ravalomanana. Ceux-là même qui ont traîné partout leurs oreilles et yeux, notamment dans les rangs militaires, pour avoir la moindre phrase ou le minimum de déclarations hostiles au pouvoir en place pour en dresser une liste de leurs auteurs. Une liste qu’ils ont ensuite envoyée à qui de droit, notamment à la Justice qui n’a pas manqué de l’exploiter par l’audition, durant le mois dernier, d’une soixantaine d’officiers supérieurs et généraux au Parquet. En clair, après avoir mis en difficulté bien de leurs pairs, ces trois éléments des Forces armées subissent maintenant à leur tour le calvaire judiciaire.
3. xxx
(
20/04/2007 11:56)
hay ve mbola saika le izy fa tsy hoe nisy namono.
MIDITRA @ MANGARAHARA TSY MAINTSY MIVOAKA @ LOADOAKA .
NY TODY TSY MISY FA NY NATAO IHANY NO HIVERINA.
Firy no maty tany ampigadrana zay .aiza ny ran'ireny
MIDITRA @ MANGARAHARA TSY MAINTSY MIVOAKA @ LOADOAKA .
NY TODY TSY MISY FA NY NATAO IHANY NO HIVERINA.
Firy no maty tany ampigadrana zay .aiza ny ran'ireny
4. xxx
(
20/04/2007 14:36)
dia ampahafirin'ny matimaty foana t@ ratsiraka teo @ fitondrana tsy nisy fitsarana fa niala maina daolo ny fianakavian'ny maty?ary ny halatra bevava t@ firenena?izao ry zalahy rehetra mialokaloka any andafy fa "nationalité française" daolo?ny tody tsy misy marina fa mbola hita eo ny valiny e!
6. Iandou
(
23/04/2007 19:17)
Tsy hoe faly raha misy izany fa rehefa mandrify ny filoha dia atao resaka fa ny havan'ny olona maty t@2002 tsisy mpanontany.
8. jefra
(
30/04/2007 16:48)
Tentative d'assassinat de Ravalomanana : Confidences et rumeurs…
Faute d'information officielle, les circonstances, entourant la tentative d'assassinat de Marc Ravalomanana, la nuit du 3 au 4 avril, continuent d'être entourée de mystère.Néanmoins, des indiscrétions dévoilent une partie de l'affaire.
Ainsi, un colonel de la Gendarmerie, connu par ses pairs pour son indéfectible attachement au régime Ratsiraka, mais qui a bouclé la liste d'officiers supérieurs et généraux désignés être de mèche avec le général Fidy, est indiqué être le "cerveau ", avec l'appui d'un capitaine de l'Armée. Aidé par un autre officier subalterne, les deux premiers ont fait appel au service de quatre militaires de rang inférieur pour exécuter l'opération qui consistait à faire exploser la résidence privée de la famille présidentielle, sise à Faravohitra, à partir d'un tir de bazooka (lance-roquettes mobile). Mais le projet criminel a capoté, eu égard au fait que, après avoir reçu une partie de leurs " indemnités de prestation ", ces quatre militaires se sont rétractés.
Toujours d'après les mêmes confidences, le capitaine de l'Armée en question, fou furieux, est venu voir, 48 heures après, l'un des quatre militaires pour le menacer de mort et le sommer de rendre l'enveloppe financière qu'il a déjà reçue. Terrorisé, ce dernier n'a trouvé comme unique salut que de dévoiler l'affaire aux autorités compétentes et de se constituer prisonnier, convaincu que son " commanditaire ", capable de comploter pour mettre fin à la vie d'un président de la République, n'aurait guère fait grand cas de sa personne. Quoiqu'il en soit, le rouleau compresseur a immédiatement été mis en branle par le gouvernement pour mettre la main sur toutes les personnes, militaires comme civiles, qui ont été impliquées, de près ou de loin, par ce crime crapuleux. Et, depuis le 13 avril, l'enquête afférente a été menée pour dégager la responsabilité des uns et des autres. L'on croit savoir que le défèrement au Parquet de toutes ces personnes se feraient dans le courant de cette semaine.
Mais, en parallèle et toujours consécutivement à l'inexistence d'information officielle sur cette affaire, les rumeurs commencent également à jouer la saga dans les rangs des Forces armées. Ainsi, des témoins oculaires auraient été convaincus avoir vu dernièrement le capitaine de l'Armée dont il s'agit, circulant librement en ville dans son véhicule de marque Land Rover. Liberté de circulation qui aurait confirmé les allégations selon lesquelles cet officier subalterne aurait été remis en liberté dans la mesure où il se trouverait aux côtés de son ami, le colonel de la Gendarmerie, dans le cadre de la " stratégie d'infiltration " (sic). En ce sens qu'il aurait été envoyé par ses supérieurs hiérarchiques pour infiltrer les rangs du commando visant la vie du président Ravalomanana.
En tout cas, les discussions ont également commencé à s'enflammer dans les rangs des gens en treillis militaires car, si effectivement le capitaine en question avait été là en tant que simple " infiltré ", il n'aurait pas, entre autres, à menacer de mort le militaire défaillant mais aurait tout simplement dû rendre compte immédiatement du complot à ces chefs hiérarchiques.
En tout cas, les mêmes discussions dévoilent que cette remise en liberté du capitaine aurait trait à la nécessité d'épargner son chef direct qui, ex-haut responsable de la sécurité présidentielle, serait connu par ses pairs de par sa profonde amertume d'avoir brutalement été limogé de son poste. Un mobile qui pourrait lui être fatal dans le traitement judicaire de ce dossier criminel.
Faute d'information officielle, les circonstances, entourant la tentative d'assassinat de Marc Ravalomanana, la nuit du 3 au 4 avril, continuent d'être entourée de mystère.Néanmoins, des indiscrétions dévoilent une partie de l'affaire.
Ainsi, un colonel de la Gendarmerie, connu par ses pairs pour son indéfectible attachement au régime Ratsiraka, mais qui a bouclé la liste d'officiers supérieurs et généraux désignés être de mèche avec le général Fidy, est indiqué être le "cerveau ", avec l'appui d'un capitaine de l'Armée. Aidé par un autre officier subalterne, les deux premiers ont fait appel au service de quatre militaires de rang inférieur pour exécuter l'opération qui consistait à faire exploser la résidence privée de la famille présidentielle, sise à Faravohitra, à partir d'un tir de bazooka (lance-roquettes mobile). Mais le projet criminel a capoté, eu égard au fait que, après avoir reçu une partie de leurs " indemnités de prestation ", ces quatre militaires se sont rétractés.
Toujours d'après les mêmes confidences, le capitaine de l'Armée en question, fou furieux, est venu voir, 48 heures après, l'un des quatre militaires pour le menacer de mort et le sommer de rendre l'enveloppe financière qu'il a déjà reçue. Terrorisé, ce dernier n'a trouvé comme unique salut que de dévoiler l'affaire aux autorités compétentes et de se constituer prisonnier, convaincu que son " commanditaire ", capable de comploter pour mettre fin à la vie d'un président de la République, n'aurait guère fait grand cas de sa personne. Quoiqu'il en soit, le rouleau compresseur a immédiatement été mis en branle par le gouvernement pour mettre la main sur toutes les personnes, militaires comme civiles, qui ont été impliquées, de près ou de loin, par ce crime crapuleux. Et, depuis le 13 avril, l'enquête afférente a été menée pour dégager la responsabilité des uns et des autres. L'on croit savoir que le défèrement au Parquet de toutes ces personnes se feraient dans le courant de cette semaine.
Mais, en parallèle et toujours consécutivement à l'inexistence d'information officielle sur cette affaire, les rumeurs commencent également à jouer la saga dans les rangs des Forces armées. Ainsi, des témoins oculaires auraient été convaincus avoir vu dernièrement le capitaine de l'Armée dont il s'agit, circulant librement en ville dans son véhicule de marque Land Rover. Liberté de circulation qui aurait confirmé les allégations selon lesquelles cet officier subalterne aurait été remis en liberté dans la mesure où il se trouverait aux côtés de son ami, le colonel de la Gendarmerie, dans le cadre de la " stratégie d'infiltration " (sic). En ce sens qu'il aurait été envoyé par ses supérieurs hiérarchiques pour infiltrer les rangs du commando visant la vie du président Ravalomanana.
En tout cas, les discussions ont également commencé à s'enflammer dans les rangs des gens en treillis militaires car, si effectivement le capitaine en question avait été là en tant que simple " infiltré ", il n'aurait pas, entre autres, à menacer de mort le militaire défaillant mais aurait tout simplement dû rendre compte immédiatement du complot à ces chefs hiérarchiques.
En tout cas, les mêmes discussions dévoilent que cette remise en liberté du capitaine aurait trait à la nécessité d'épargner son chef direct qui, ex-haut responsable de la sécurité présidentielle, serait connu par ses pairs de par sa profonde amertume d'avoir brutalement été limogé de son poste. Un mobile qui pourrait lui être fatal dans le traitement judicaire de ce dossier criminel.
9. Fiffi
(
01/05/2007 13:19)
de miandry ny tohiny zany satria tsy fantatra intsony zay fahamarinan'zao rehetra zao......