hitanareo fa tsy misy sosialy ny prezdanatro!!!
1. bazylou
(
27/01/2007 11:57)
Remaniement
Le social disparait de l'appareil gouvernemental
Contradiction. La politique du nouveau gouvernement semble bâcler le social avec la suppression du ministère de la population et des loisirs. Les deux départements étant respectivement fusionnés au ministère de la Santé et du planning familial et au secrétariat d'Etat à la Culture. La décision du régime contredit en quelque sorte le projet du gouvernement de privilégier la partie sociale et la jeunesse.
La disparition du département de la jeunesse, auparavant rattaché au ministère des Sports, la scission du ministère de la Population et des loisirs ne suscitent pas des commentaires.
"On ne devrait pas minimiser le rôle du ministère de la Population, vu l'effectif élevé des personnes vulnérables à Madagascar. Je trouve que cette décision ne correspond pas à la politique du gouvernement qui mise sur le développement. Cela pourrait nous interdire d'avancer dans la bonne voie", avance Fréderick Rakotovoavy de l'ONG "Sans frontières". Il se réserve pourtant de dire que le dispositif est voué à l'échec. " Tout dépend de la dimension que l'Etat va accorder à ce département et bien sûr des résultats que cela va donner", a-t-il ajouté.
D'autres partenaires du défunt ministère voient cependant le changement sous un autre angle. "La suppression de ce ministère ne nous empêche nullement de travailler et d'atteindre notre objectif, malgré notre étroite collaboration avec le ministère", déclare Julie Rajaonah Ratsimifetra, présidente de l'association SOS Villages des enfants.
Sous un autre angle
Henintsoa Rivo, formateur du centre d'éducation des handicapés AKA.MA (Akany marenina) à la cité des 67ha, quant à lui, trouve la suppression du ministère de la Population normale. "Du temps de son existence, ce département n'était pas très indispensable, même en étant le ministère de tutelle de certaines ONG œuvrant dans le social", a-t-il avancé. Néanmoins, il reconnaît que la disparition du ministère de la Population pourrait compliquer certaines démarches administratives. "Cela va alléger et ravaler le rang du développement au deuxième plan", se lamente-t-il.
Bien avant la présentation des voeux à la nation du 31 décembre 2006, le président de la République Marc Ravalomanana a fait entendre que le deuxième mandat sera beaucoup plus consacré à la promotion du secteur social. "Il faut prioriser le domaine social pendant le deuxième mandat", a-t-il déclaré à maintes reprises.
La suppression est significative. Le nouveau gouvernement n'est pas encore sur le point de concrétiser l'une des grandes lignes du programme du régime compilé dans le MAP, qui prévoit l'existence du ministère de la Population pour la promotion du développement. Mais le gouvernement devrait avoir sa logique. De deux choses l'une : soit la scission servirait d'élan au développement social du pays, soit la situation n'est que provisoire. "Le gouvernement n'a peut-être pas encore trouvé la personne qu'il faut à la tête du ministère de la Population, d'où sa suppression", affirme Julie Rajaonah Ratsimifetra
hoy i express
Le social disparait de l'appareil gouvernemental
Contradiction. La politique du nouveau gouvernement semble bâcler le social avec la suppression du ministère de la population et des loisirs. Les deux départements étant respectivement fusionnés au ministère de la Santé et du planning familial et au secrétariat d'Etat à la Culture. La décision du régime contredit en quelque sorte le projet du gouvernement de privilégier la partie sociale et la jeunesse.
La disparition du département de la jeunesse, auparavant rattaché au ministère des Sports, la scission du ministère de la Population et des loisirs ne suscitent pas des commentaires.
"On ne devrait pas minimiser le rôle du ministère de la Population, vu l'effectif élevé des personnes vulnérables à Madagascar. Je trouve que cette décision ne correspond pas à la politique du gouvernement qui mise sur le développement. Cela pourrait nous interdire d'avancer dans la bonne voie", avance Fréderick Rakotovoavy de l'ONG "Sans frontières". Il se réserve pourtant de dire que le dispositif est voué à l'échec. " Tout dépend de la dimension que l'Etat va accorder à ce département et bien sûr des résultats que cela va donner", a-t-il ajouté.
D'autres partenaires du défunt ministère voient cependant le changement sous un autre angle. "La suppression de ce ministère ne nous empêche nullement de travailler et d'atteindre notre objectif, malgré notre étroite collaboration avec le ministère", déclare Julie Rajaonah Ratsimifetra, présidente de l'association SOS Villages des enfants.
Sous un autre angle
Henintsoa Rivo, formateur du centre d'éducation des handicapés AKA.MA (Akany marenina) à la cité des 67ha, quant à lui, trouve la suppression du ministère de la Population normale. "Du temps de son existence, ce département n'était pas très indispensable, même en étant le ministère de tutelle de certaines ONG œuvrant dans le social", a-t-il avancé. Néanmoins, il reconnaît que la disparition du ministère de la Population pourrait compliquer certaines démarches administratives. "Cela va alléger et ravaler le rang du développement au deuxième plan", se lamente-t-il.
Bien avant la présentation des voeux à la nation du 31 décembre 2006, le président de la République Marc Ravalomanana a fait entendre que le deuxième mandat sera beaucoup plus consacré à la promotion du secteur social. "Il faut prioriser le domaine social pendant le deuxième mandat", a-t-il déclaré à maintes reprises.
La suppression est significative. Le nouveau gouvernement n'est pas encore sur le point de concrétiser l'une des grandes lignes du programme du régime compilé dans le MAP, qui prévoit l'existence du ministère de la Population pour la promotion du développement. Mais le gouvernement devrait avoir sa logique. De deux choses l'une : soit la scission servirait d'élan au développement social du pays, soit la situation n'est que provisoire. "Le gouvernement n'a peut-être pas encore trouvé la personne qu'il faut à la tête du ministère de la Population, d'où sa suppression", affirme Julie Rajaonah Ratsimifetra
hoy i express
novalian'i fijo ny 30/01/2007 23:59
2. bazylou
(
27/01/2007 12:09)
ahoana moa no hanaovana asa mendrika nefa ny pokona aza tsy misy mpiahy!!???????????
3. zara5294
(
27/01/2007 23:30)
Inona moa no nataon'ny ministera ny mponina hatramin'ny izay? Ny tsy manana trano fa mirenireny an-dalam-be mitombo isa efa hatramin'ny andron'ny Ratsiraka ka hatramin'ny izao? Raha tena niasa ny ministera ny mponina dia izany no tokony nojereny hatramin'ny izay. Mety tsy ho tapitra tanteraka ny isan'ny matory eny an-dalam-be fa tokony ho nihena ny isany na koa nisy rafitra hita hoe najoro. Ny any nanangana rafitra dia i Père Pedro, nefa io tsy miankina amin'ny ministera ny mponina. Noho izany na misy io ministera io na tsy misy dia tsy hita loatra ny fiantraikany any amin'ny mponina
4. rabaradaka
(
28/01/2007 07:52)
Mbola hijoro ny Ministeran'ny Mponina fa aza manahy re dadatoa? Fa inona tokoa moa no tena nisongadina tamin'io Ministera io, ny birao voretra tao Ambohijatovo sa ny mpangataka mihamaro
5. kitjo
(
29/01/2007 02:18)
maninon araha mametraka kandidatira bazylou?
sa za d enao visy-ministra? hihihi
ho hita eo izany satria Ravalo nilaza fa mbola tsy vita y fananganana ny Governemanta t@ nanolotra ireo ministra ireo izy!
sa za d enao visy-ministra? hihihi
ho hita eo izany satria Ravalo nilaza fa mbola tsy vita y fananganana ny Governemanta t@ nanolotra ireo ministra ireo izy!
