raha victime n'na racisme ianao rehafa any an-dafy, ireto any no azonao atao
1. lovilney
(
13/06/2019 17:36)
UN INCIDENT QUI S’ETAIT PRODUIT IL YA PLUSIEURS ANNEES SUR UN VOL COMMERCIAL
Vous savez, j’ai un ami qui a perdu connaissance à bord d’un vol reliant tana à Paris; c’était il y a plusieurs années. Sa femme, paniquée, a appelée l’hotesse de l’air pour demander s’il y avait un médecin à bord. L’hotesse, une française, répond de manière arrogante et ne procède à un aucun appel. L’équipage de ce vol a donc littéralement laissé cette personne en danger de mort et sans la moindre assistance. Dieu merci, après quelques instants passés dans le coma, il est revenu.
Cet article, paru récemment, en est un illustre exemple:
https://fr.yahoo.com/m6info/mort-de-naomi-musenga-ses-parents-demandent-que-justice-soit-faite-161459072.html
Là, il y a eu injustice; normal de porter cette affaire devant une juridiction compétente afin que justice soit rendue.
Aujourd’hui, malgré que son père se soit bien tiré, le fils de cet homme a décidé de faire ses études dans un pays anglpohone, malgré le fait qu’il s’est largement qualifié pour la France. Comme si cela ne suffisait pas, il ne rate pas une occasion de remettre en place certains « vazaha arrogants » là-bas à Mada et se met très souvent à leur répondre ou à leur rétorquer en Anglais (un Anglais hyper lisse d’ailleurs). Ces vahiny arrogants (dont certains ont une bien pauvre estimes des Malgaches), probablement complexés intellectuellement, se rendent compte qu’ils ont en face d’eux une personne non francophile et pro-anglo-saxonne et se ravisent en partant la queue entre les cuisses. Ce garçon, d’un age encore jeune, a affronté bcp de challenges à l’étranger, et une fois en face de vazaha fatigués, il n’hésite pas à tenir tête à certains étrangers qui croient que Mscar leur appartient. Moi, personnellement, je pense que beaucoup de ces gens méritent ce qu’il leur fait subir..comme quoi, même en étant Malgache, on est en droit de dire « non » et de gueuler quand cela est justifié. On est même en droit de faire comprendre à certains qu’on est d’inflence anglo-saxonne, et làa, comme me le dit le fils de mon ami, tous les moyens sont bons pour y arriver et pour leur faire comprendre ce qu’ils ne comprendaient jamais autrement, comme par exemple, dire: « Hi, how are you, mate » ou « you’re doing good, mate yeahhhh? » à un gars frustré et raciste dans les coulisses d’une grande surface tananarivienne (surtout le dire avec assurance, détermination et charisme, comme on le fait si bien dans les pays anglo-saxons).
LE MEME INCIDENT MAIS AUX ETATS-UNIS
IL y a 4 ans, sur un vol de Delta airlines, une femme, d’origine indienne, fait un malaise alors que l’avion survole le sud des Etats-unis à destination de Houston (vol paris-Houston). Un de mes amis mexicains voyageait dans cet avion (je lui ai raconté le cas précédent d’ailleurs) et il m’avait dit que les hotesses ont lancé un message pour demander s’il y avait un médecin à bord; après qq instants, un médecin se manifeste et commence à prêter assistance à la personne. Le commandant de bord est sorti de sa cabine pour voir de visu la situation et échange qq mots avec le docteur. ce dernier lui dit que l’état de la dame est stabilisée désormais et que normalement, elle supporterait le voyage jusqu’à Houston (à 1h30 de là). Le commandant, un anglo-américain (un blanc), répond qu’il ne veut pas prendre de risque et annonce au docteur et à la dame malade qu’il va décider pr un atterissage d’urgence à memphis (Tennessee), et c’est exactement ce qu’il fait. A l’approche de la piste, les ambulances sont déjà disponibles et prêtes à accueillir la femme malade. Elle fut immédiatement prise en charge; quand au vol de Delta airlines, il fit un ajustement en kérosène puis repart vers Houston.
regardez à quel point les préjugés peuvant altérer notre manière d’agir…..
C’est vraiment dommage que je n’ai pas eu connaissance de cette histoire peu après, car si j’avais été au courant, je les aurai encouragé et poussé à porter plainte à Paris, via un avocat. Mesdames, messieurs, lorsque ce genre d’incidents vous arrive, ne restez pas là en ne faisant rien!!!! ne faites pas comme mon collaborateur. Là il s’agit d’une question de mise en danger d’autrui, il est crucial de porter l’affaire devant une juridiction française. Pareil pour les abus de la police, il faut voir un avocat, et si possible, enregistrer leur voix (évidence); moi je l’ai fait trois fois déjà via mon telephone que je cache discretement, mais comme tout s’est bien apssé, je n’ai aps eu de plainte à faire pour le moment. Cette même compagnie a aussi perdu notre valise à 2 reprises, comme quoi, on commence à se demander si on ne recrute que des voleurs à roissy CDG - c’est pourquoi, je préfère opter pour une valise peu attirante de l’extérieur (ça les décourage normalement) et étrangement, ça a l’air de marcher. J’ai aussi mon beau-frère qui voyage très souvent sur cette compagnie et qui a perdu sa valise 3 fois!!! l’une d’entre elles avaient des marchandises valant plus de 3500 Euros!!! et en retour, vous savez cette compagnie d’écervelés lui a rendu? 300 euros!
Aussi une chose que je fais lorsque je voyage (surtout sur cette compagnie dont je parle plus haut), surtout lors des aller (valise moitié vide en général), j’achète toujours des bouteilles d’eau minérales (3 ou 4) histoire d’alourdir ma valise (car plus il y a de poids, plus il y a conso de carburant). Bien sur, j’évite de de mettre des choses trop valeureuses dans ma valise et évite aussi de mettre mes laptops à coté des bouteilles. Je le fais aussi lorsque je voyage à La réunion ou à Maurice car ces deux pays commencent aussi à me taper sur les nerfs!!
NY HEVITRO:
Second chose que je fais: pendant le vol, je commande en plus du repas, des boissons et utilise dans les toilettes, 6,7, 10, 15 serviettes (même si 2 suffisent largement);
une fois à destination, mampiasa douche mafana ela dia ela (mitombo koa @zay ny d’électricité hanafanana rano), surtout moa raha tsy dia sympa ilay hotel.
Zavatra faharoa, raha misy smartphone any, dia alaivo video ilay "scene" (dia avy eo posteo @ youtube raha hoe discrimination eny an dalana ilay izy), na raha tsy possible, dia alaivo audio ilay feo. comme ça, porofo iny azonao entina any @ avocat specialise en anti-discrimination!
Aza gaga isika raha mia betsaka ireo Malagasy lasa manohy fianarana any @ firenena hafa, indrin2 any @ firenena miteny anglisy. Aza gaga koa raha manomboko misy Malagasy masahy mamalivaly an’ireny vahiny sasany ireny na koa masahy manao “gaffe” majinika isan-karazany etsy sy eroa. Taloha, tena voadiniko hoe tsy nisy izany fa izao, efa mia tonga saina isika Malagasy hoe AMPY IZAY laisser-faire izay!!!
Eto Tana aza, rehefa misy vazaha masahy manindry eny an-dalana, na vazavazaiko ny ahy, na koa, je leur montre de la main devant tous les passants de ma voiture, ataoko mihitsy hoe “regardez moi ce C**”; aleo ho afa-baraka any fa mihendrika tsy hajaina ireo vahiny sasany (pas tous, fa ny sasany) eto Dago eee!!!
En cas de besoin, voici une liste d’avocats (en France) qui pourraient s’avérer utiles si vs êtes victimes d’actes “racistes”, en France ou ailleurs!
https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/2014/05/19/lyon-des-avocats-contre-le-racisme-et-les-discriminations-480529.html
et
LISTE DES AVOCATS SPECIALISES EN DISCRIMINATION A PARIS
https://www.juritravail.com/Avocat/discrimination
misaotra eeee!
Sinon….
VICTIME D’ACTES DE RACISME OU DE DISCRIMINATION ?
Prenez contact avec le pôle juridique de SOS Racisme :
servicejuridique@sos-racisme.org
01 40 35 36 55
Les permanences téléphoniques ont lieu du mardi au vendredi
de 10h30 à 13h00
Les permanences physiques sont uniquement sur RDV le 1er et 3e mercredi du mois au Point d’accès au droit du 19e
53 Rue Compans – 75019 Paris
L’injure raciale publique et non publique sont réprimées.
L’injure est définit comme « toute expression outrageante, terme de mépris ou invective » (exemple : « sale noir »), adressée à une personne ou à un groupe à raison de leur origine ou de leur appartenance une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée.
Quand elle est publique : internet, rue, réunion, affiche, livre, radio, télévision…, l’auteur risque jusqu’à 6 mois d’emprisonnement et 22500 € d’amende.
La diffamation raciale publique ou non publique sont réprimées
La diffamation est définie comme « toute allégation ou imputation d’un fait [précis et erroné] qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé » exemple : « les roms sont des voleurs ». La diffamation raciale diffère de l’injure car elle concerne l’imputation d’un fait précis non avéré, qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne. Quand elle est publique, l’auteur risque jusqu’à 1 an de prison et 45000 € d’amende. Le délit de diffamation raciale publique se prescrit par un an.
La provocation raciale est réprimée
Les moyens sont multiples : discours, menaces proférés dans des lieux publics ; écrits, imprimés, visuels, … vendus ou distribués dans un lieu public ; tout moyen de communication au public. L’auteur risque jusqu’à 1 an de prison et 45 000 € d’amende.
Les violences à caractère raciste sont réprimées
Commises envers une personne à raison de son appartenance, vraie ou supposée, à une nation, une ethnie, une race ou une religion déterminée. Les peines peuvent aller jusqu’à 20 ans de réclusion criminelle.
Les discriminations raciales sont réprimées par le code pénal et le code du travail.
Les discriminations interdites, aux termes de l’article 225-1 du code pénal : «Toute distinction opérée entre les personnes physiques à raison de leur origine, de leur apparence physique, de leur patronyme (…) de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée.» Le code du travail pose le principe de non-discrimination en matière d’embauche (stages, emploi), d’évolution de carrière (formation, salaire) ou de sanctions (licenciement). Toute mesure discriminatoire peut être annulée devant le conseil de prud’hommes et donne lieu à réparation du préjudice.
La discrimination peut être punie d’une peine de 3 ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende et peut être portée à 5 ans d’emprisonnement et 75 000 € d’amende.
Que faire si vous êtes victimes d’actes, d’injures ou de discriminations racistes
Il est indispensable de recueillir un maximum de preuves pour pouvoir porter plainte : nom et prénom de l’auteur, l’identité complète des témoins pour leur demander une attestation relatant précisément les faits, SMS, courriels, testings, constat d’huissiers …
Dans le cas d’injures ou de diffamations, retranscrivez rigoureusement les propos tenus. Les témoins sont indispensables pour éviter que l’affaire soit classée sans suite (votre parole contre une autre n’ayant pas de valeur). Sans preuve, vous pouvez vous exposer à une action en dénonciation calomnieuse.
Portez plainte : pour déposer une plainte allez au commissariat de police le plus proche du lieu de l’infraction, à la gendarmerie ou écrivez une lettre au Procureur de la République, en recommandé avec accusé de réception. La lettre doit préciser la nature, la date et le lieu de l’infraction. Si vous connaissez l’auteur, vous devez indiquer son nom. Joignez tous les éléments de preuves : copie des certificats médicaux (en cas de violences), les témoignages écrits et sonores, les noms du ou des témoins, leurs adresses, les copies de photographies, arrêts de travail etc…
Attention ! Les délais pour porter plainte sont précis :
3 mois : injures racistes non publiques
1 an : injures racistes publiques, diffamations, provocations
3 ans : discriminations, violences
Au préalable ou en alternative au dépôt de plainte :
Pour tous les types de discriminations, c’est-à-dire inégalités de traitement dans l’emploi, le logement, l’éducation et la formation, l’accès aux biens et services, publics et privés, l’accès aux soins et aux services sociaux, SOS racisme vous accompagne, vous informe et vous assiste pour engager une action en justice.
source:
https://sos-racisme.org/racisme-au-quotidien-ce-quil-faut-savoir-pour-se-defendre/
Vous savez, j’ai un ami qui a perdu connaissance à bord d’un vol reliant tana à Paris; c’était il y a plusieurs années. Sa femme, paniquée, a appelée l’hotesse de l’air pour demander s’il y avait un médecin à bord. L’hotesse, une française, répond de manière arrogante et ne procède à un aucun appel. L’équipage de ce vol a donc littéralement laissé cette personne en danger de mort et sans la moindre assistance. Dieu merci, après quelques instants passés dans le coma, il est revenu.
Cet article, paru récemment, en est un illustre exemple:
https://fr.yahoo.com/m6info/mort-de-naomi-musenga-ses-parents-demandent-que-justice-soit-faite-161459072.html
Là, il y a eu injustice; normal de porter cette affaire devant une juridiction compétente afin que justice soit rendue.
Aujourd’hui, malgré que son père se soit bien tiré, le fils de cet homme a décidé de faire ses études dans un pays anglpohone, malgré le fait qu’il s’est largement qualifié pour la France. Comme si cela ne suffisait pas, il ne rate pas une occasion de remettre en place certains « vazaha arrogants » là-bas à Mada et se met très souvent à leur répondre ou à leur rétorquer en Anglais (un Anglais hyper lisse d’ailleurs). Ces vahiny arrogants (dont certains ont une bien pauvre estimes des Malgaches), probablement complexés intellectuellement, se rendent compte qu’ils ont en face d’eux une personne non francophile et pro-anglo-saxonne et se ravisent en partant la queue entre les cuisses. Ce garçon, d’un age encore jeune, a affronté bcp de challenges à l’étranger, et une fois en face de vazaha fatigués, il n’hésite pas à tenir tête à certains étrangers qui croient que Mscar leur appartient. Moi, personnellement, je pense que beaucoup de ces gens méritent ce qu’il leur fait subir..comme quoi, même en étant Malgache, on est en droit de dire « non » et de gueuler quand cela est justifié. On est même en droit de faire comprendre à certains qu’on est d’inflence anglo-saxonne, et làa, comme me le dit le fils de mon ami, tous les moyens sont bons pour y arriver et pour leur faire comprendre ce qu’ils ne comprendaient jamais autrement, comme par exemple, dire: « Hi, how are you, mate » ou « you’re doing good, mate yeahhhh? » à un gars frustré et raciste dans les coulisses d’une grande surface tananarivienne (surtout le dire avec assurance, détermination et charisme, comme on le fait si bien dans les pays anglo-saxons).
LE MEME INCIDENT MAIS AUX ETATS-UNIS
IL y a 4 ans, sur un vol de Delta airlines, une femme, d’origine indienne, fait un malaise alors que l’avion survole le sud des Etats-unis à destination de Houston (vol paris-Houston). Un de mes amis mexicains voyageait dans cet avion (je lui ai raconté le cas précédent d’ailleurs) et il m’avait dit que les hotesses ont lancé un message pour demander s’il y avait un médecin à bord; après qq instants, un médecin se manifeste et commence à prêter assistance à la personne. Le commandant de bord est sorti de sa cabine pour voir de visu la situation et échange qq mots avec le docteur. ce dernier lui dit que l’état de la dame est stabilisée désormais et que normalement, elle supporterait le voyage jusqu’à Houston (à 1h30 de là). Le commandant, un anglo-américain (un blanc), répond qu’il ne veut pas prendre de risque et annonce au docteur et à la dame malade qu’il va décider pr un atterissage d’urgence à memphis (Tennessee), et c’est exactement ce qu’il fait. A l’approche de la piste, les ambulances sont déjà disponibles et prêtes à accueillir la femme malade. Elle fut immédiatement prise en charge; quand au vol de Delta airlines, il fit un ajustement en kérosène puis repart vers Houston.
regardez à quel point les préjugés peuvant altérer notre manière d’agir…..
C’est vraiment dommage que je n’ai pas eu connaissance de cette histoire peu après, car si j’avais été au courant, je les aurai encouragé et poussé à porter plainte à Paris, via un avocat. Mesdames, messieurs, lorsque ce genre d’incidents vous arrive, ne restez pas là en ne faisant rien!!!! ne faites pas comme mon collaborateur. Là il s’agit d’une question de mise en danger d’autrui, il est crucial de porter l’affaire devant une juridiction française. Pareil pour les abus de la police, il faut voir un avocat, et si possible, enregistrer leur voix (évidence); moi je l’ai fait trois fois déjà via mon telephone que je cache discretement, mais comme tout s’est bien apssé, je n’ai aps eu de plainte à faire pour le moment. Cette même compagnie a aussi perdu notre valise à 2 reprises, comme quoi, on commence à se demander si on ne recrute que des voleurs à roissy CDG - c’est pourquoi, je préfère opter pour une valise peu attirante de l’extérieur (ça les décourage normalement) et étrangement, ça a l’air de marcher. J’ai aussi mon beau-frère qui voyage très souvent sur cette compagnie et qui a perdu sa valise 3 fois!!! l’une d’entre elles avaient des marchandises valant plus de 3500 Euros!!! et en retour, vous savez cette compagnie d’écervelés lui a rendu? 300 euros!
Aussi une chose que je fais lorsque je voyage (surtout sur cette compagnie dont je parle plus haut), surtout lors des aller (valise moitié vide en général), j’achète toujours des bouteilles d’eau minérales (3 ou 4) histoire d’alourdir ma valise (car plus il y a de poids, plus il y a conso de carburant). Bien sur, j’évite de de mettre des choses trop valeureuses dans ma valise et évite aussi de mettre mes laptops à coté des bouteilles. Je le fais aussi lorsque je voyage à La réunion ou à Maurice car ces deux pays commencent aussi à me taper sur les nerfs!!
NY HEVITRO:
Second chose que je fais: pendant le vol, je commande en plus du repas, des boissons et utilise dans les toilettes, 6,7, 10, 15 serviettes (même si 2 suffisent largement);
une fois à destination, mampiasa douche mafana ela dia ela (mitombo koa @zay ny d’électricité hanafanana rano), surtout moa raha tsy dia sympa ilay hotel.
Zavatra faharoa, raha misy smartphone any, dia alaivo video ilay "scene" (dia avy eo posteo @ youtube raha hoe discrimination eny an dalana ilay izy), na raha tsy possible, dia alaivo audio ilay feo. comme ça, porofo iny azonao entina any @ avocat specialise en anti-discrimination!
Aza gaga isika raha mia betsaka ireo Malagasy lasa manohy fianarana any @ firenena hafa, indrin2 any @ firenena miteny anglisy. Aza gaga koa raha manomboko misy Malagasy masahy mamalivaly an’ireny vahiny sasany ireny na koa masahy manao “gaffe” majinika isan-karazany etsy sy eroa. Taloha, tena voadiniko hoe tsy nisy izany fa izao, efa mia tonga saina isika Malagasy hoe AMPY IZAY laisser-faire izay!!!
Eto Tana aza, rehefa misy vazaha masahy manindry eny an-dalana, na vazavazaiko ny ahy, na koa, je leur montre de la main devant tous les passants de ma voiture, ataoko mihitsy hoe “regardez moi ce C**”; aleo ho afa-baraka any fa mihendrika tsy hajaina ireo vahiny sasany (pas tous, fa ny sasany) eto Dago eee!!!
En cas de besoin, voici une liste d’avocats (en France) qui pourraient s’avérer utiles si vs êtes victimes d’actes “racistes”, en France ou ailleurs!
https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/2014/05/19/lyon-des-avocats-contre-le-racisme-et-les-discriminations-480529.html
et
LISTE DES AVOCATS SPECIALISES EN DISCRIMINATION A PARIS
https://www.juritravail.com/Avocat/discrimination
misaotra eeee!
Sinon….
VICTIME D’ACTES DE RACISME OU DE DISCRIMINATION ?
Prenez contact avec le pôle juridique de SOS Racisme :
servicejuridique@sos-racisme.org
01 40 35 36 55
Les permanences téléphoniques ont lieu du mardi au vendredi
de 10h30 à 13h00
Les permanences physiques sont uniquement sur RDV le 1er et 3e mercredi du mois au Point d’accès au droit du 19e
53 Rue Compans – 75019 Paris
L’injure raciale publique et non publique sont réprimées.
L’injure est définit comme « toute expression outrageante, terme de mépris ou invective » (exemple : « sale noir »), adressée à une personne ou à un groupe à raison de leur origine ou de leur appartenance une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée.
Quand elle est publique : internet, rue, réunion, affiche, livre, radio, télévision…, l’auteur risque jusqu’à 6 mois d’emprisonnement et 22500 € d’amende.
La diffamation raciale publique ou non publique sont réprimées
La diffamation est définie comme « toute allégation ou imputation d’un fait [précis et erroné] qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé » exemple : « les roms sont des voleurs ». La diffamation raciale diffère de l’injure car elle concerne l’imputation d’un fait précis non avéré, qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne. Quand elle est publique, l’auteur risque jusqu’à 1 an de prison et 45000 € d’amende. Le délit de diffamation raciale publique se prescrit par un an.
La provocation raciale est réprimée
Les moyens sont multiples : discours, menaces proférés dans des lieux publics ; écrits, imprimés, visuels, … vendus ou distribués dans un lieu public ; tout moyen de communication au public. L’auteur risque jusqu’à 1 an de prison et 45 000 € d’amende.
Les violences à caractère raciste sont réprimées
Commises envers une personne à raison de son appartenance, vraie ou supposée, à une nation, une ethnie, une race ou une religion déterminée. Les peines peuvent aller jusqu’à 20 ans de réclusion criminelle.
Les discriminations raciales sont réprimées par le code pénal et le code du travail.
Les discriminations interdites, aux termes de l’article 225-1 du code pénal : «Toute distinction opérée entre les personnes physiques à raison de leur origine, de leur apparence physique, de leur patronyme (…) de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée.» Le code du travail pose le principe de non-discrimination en matière d’embauche (stages, emploi), d’évolution de carrière (formation, salaire) ou de sanctions (licenciement). Toute mesure discriminatoire peut être annulée devant le conseil de prud’hommes et donne lieu à réparation du préjudice.
La discrimination peut être punie d’une peine de 3 ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende et peut être portée à 5 ans d’emprisonnement et 75 000 € d’amende.
Que faire si vous êtes victimes d’actes, d’injures ou de discriminations racistes
Il est indispensable de recueillir un maximum de preuves pour pouvoir porter plainte : nom et prénom de l’auteur, l’identité complète des témoins pour leur demander une attestation relatant précisément les faits, SMS, courriels, testings, constat d’huissiers …
Dans le cas d’injures ou de diffamations, retranscrivez rigoureusement les propos tenus. Les témoins sont indispensables pour éviter que l’affaire soit classée sans suite (votre parole contre une autre n’ayant pas de valeur). Sans preuve, vous pouvez vous exposer à une action en dénonciation calomnieuse.
Portez plainte : pour déposer une plainte allez au commissariat de police le plus proche du lieu de l’infraction, à la gendarmerie ou écrivez une lettre au Procureur de la République, en recommandé avec accusé de réception. La lettre doit préciser la nature, la date et le lieu de l’infraction. Si vous connaissez l’auteur, vous devez indiquer son nom. Joignez tous les éléments de preuves : copie des certificats médicaux (en cas de violences), les témoignages écrits et sonores, les noms du ou des témoins, leurs adresses, les copies de photographies, arrêts de travail etc…
Attention ! Les délais pour porter plainte sont précis :
3 mois : injures racistes non publiques
1 an : injures racistes publiques, diffamations, provocations
3 ans : discriminations, violences
Au préalable ou en alternative au dépôt de plainte :
Pour tous les types de discriminations, c’est-à-dire inégalités de traitement dans l’emploi, le logement, l’éducation et la formation, l’accès aux biens et services, publics et privés, l’accès aux soins et aux services sociaux, SOS racisme vous accompagne, vous informe et vous assiste pour engager une action en justice.
source:
https://sos-racisme.org/racisme-au-quotidien-ce-quil-faut-savoir-pour-se-defendre/