sakafo mora mankarary faly ndray ny tim
1. xxx
(
24/06/2009 22:39)
Des produits importés à bon marché. Il y en a beaucoup actuellement sur le marché, pour ne citer que le lait en boîte, les biscuits, bonbons et autres savons de différentes origines et qui, malheureusement concurrencent dangereusement les produits de l’industrie locale. « Si ce phénomène se poursuit, les industriels locaux auront du mal à survivre » selon un opérateur local qui dénonce, c’est la sous facturation pratiquée par certains importateurs qui rend leurs produits moins chers sur le marché.
Méme situation
Ces opérateurs ne comprennent, par exemple pas pourquoi il y a sur le marché du lait concentré sucré en boîte vendu entre 1500 Ar et 1900 Ar. Ce qui ne représente méme pas le prix de revient de ces produits si l’on se réfère aux cours mondiaux. En 2008, par exemple, le carton de 48 boîtes du lait Creamer rendu Toamasina coûtait 34,65 dollars. Et si l’on y ajoute les droits de douanes, les taxes et les frais de transport, une boîte de lait revient à 1914 Ar, c'est-à-dire, bien plus que les prix de vente pratiqués sur certaines marques de lait en boîte importé. Les autres produits comme les biscuits, bonbons, savons… connaissent la méme situation. D’où ce soupçon de sous facturation de la part des industriels locaux qui se demandent pourquoi Madagascar n’arrive toujours pas à mettre en place un système de protection de l’industrie locale contre les concurrences déloyales, alors que d’autres pays sont capables de le faire, par des moyens réglementaires.
Etiquetage
Sur ce point d’ailleurs, les opérateurs se demandent pourquoi l’administration n’arrive toujours pas à appliquer le projet d’arrété fixant les indications obligatoires pour l’étiquetage des produits et denrées alimentaires préemballés. Un projet d’arrété qui date de 2005 et dont l’objet consiste à mentionner sur les étiquettes, la version en langue française ou anglaise des mentions obligatoires recommandées par la norme internationale du Codex Alimentarius, relative à l’étiquetage des denrées alimentaires préemballées. Cette proposition est en tout cas d’une importance particulière dans la mesure où ces obligations de mentionner en anglais ou en, français les spécifications des produits évitent aux consommateurs de faire face à des produits dont ils ne connaissent méme pas la provenance ni dans quelles conditions, on peut les consommer ou les utiliser. En tout cas, si cet arrété est appliqué, les consommateurs ne feront plus face à de produits dont l’étiquette comporte des mentions exclusivement en arabe, en chinois ou d’autres langues que les Malgaches ne comprennent pas.
Méme situation
Ces opérateurs ne comprennent, par exemple pas pourquoi il y a sur le marché du lait concentré sucré en boîte vendu entre 1500 Ar et 1900 Ar. Ce qui ne représente méme pas le prix de revient de ces produits si l’on se réfère aux cours mondiaux. En 2008, par exemple, le carton de 48 boîtes du lait Creamer rendu Toamasina coûtait 34,65 dollars. Et si l’on y ajoute les droits de douanes, les taxes et les frais de transport, une boîte de lait revient à 1914 Ar, c'est-à-dire, bien plus que les prix de vente pratiqués sur certaines marques de lait en boîte importé. Les autres produits comme les biscuits, bonbons, savons… connaissent la méme situation. D’où ce soupçon de sous facturation de la part des industriels locaux qui se demandent pourquoi Madagascar n’arrive toujours pas à mettre en place un système de protection de l’industrie locale contre les concurrences déloyales, alors que d’autres pays sont capables de le faire, par des moyens réglementaires.
Etiquetage
Sur ce point d’ailleurs, les opérateurs se demandent pourquoi l’administration n’arrive toujours pas à appliquer le projet d’arrété fixant les indications obligatoires pour l’étiquetage des produits et denrées alimentaires préemballés. Un projet d’arrété qui date de 2005 et dont l’objet consiste à mentionner sur les étiquettes, la version en langue française ou anglaise des mentions obligatoires recommandées par la norme internationale du Codex Alimentarius, relative à l’étiquetage des denrées alimentaires préemballées. Cette proposition est en tout cas d’une importance particulière dans la mesure où ces obligations de mentionner en anglais ou en, français les spécifications des produits évitent aux consommateurs de faire face à des produits dont ils ne connaissent méme pas la provenance ni dans quelles conditions, on peut les consommer ou les utiliser. En tout cas, si cet arrété est appliqué, les consommateurs ne feront plus face à de produits dont l’étiquette comporte des mentions exclusivement en arabe, en chinois ou d’autres langues que les Malgaches ne comprennent pas.
