tokony hisokatra viva tv?
1. kofy
(
14/01/2009 19:23)
Ito Article ito, izay hita avy tao amin'ny page d'actualité national avy tato amin'i Moov.mg dia mampiseho fa tena ara-dalana tantera mihintsy ny nikatonan'ny Viva-TV ary lalàna efa tamin'ny 1992 no milazaizany. Io lalàna io dia milaza mazava mihintsy fa voarara tanteraka ireny nataon'i Viva TV ireny, ary tokony izay responsable de publication no nosazin'i Andry Rajoelina fa rtsy ny fanjakana no homena Ultimatun.
“Ultimatum” pour la réouverture de Viva TV - La face cachée de l’affaire
(14-01-2009) - L'ultimatum lancé par le Maire de la Cua, Andry Rajoelina, également propriétaire de la chaîne de télévision Viva, pour la réouverture de celle-ci a expiré hier.
Pour rappel, la fermeture de la station a été ordonnée par le Ministère des Télécommunications, de la Poste et de la Communication le samedi 13 décembre 2008, suite à la diffusion d'une intervention de l'ancien président Didier Ratsiraka, avec promesse de rediffusion le lendemain.
Ni dictature ni censure
La décision trouve essentiellement son fondement dans l'article 61 de l'Ordonnance 92-039 du 14 septembre 1992 sur la communication audiovisuelle qui stipule que “Sont interdits à la projection publique, à titre gratuit ou onéreux, les vidéogrammes ou les films pornographiques, ou de nature à porter atteinte à l'unité nationale, à l'ordre, à la sécurité et à la tranquillité publics.” Mais il y a également le statut de l'intervenant, en l'occurrence l'amiral Ratsiraka, qui a déjà été condamné et qui, de ce fait, ne peut jouir des droits de vote et de parole, donc soumis à une obligation de réserve. Bref, il n'y a eu ni censure ni dictature, comme beaucoup veulent continuer à le laisser croire, mais une stricte volonté de faire respecter la loi. Et cette loi, ce ne sont pas les autorités actuelles qui l'ont créé ni fait voter, elle date de 1992.
Sacrifice ?
Malgré le fait que l'Etat n'ait porté plainte - ce qui est tout à fait dans son droit - le Ministère public peut également engager des poursuites contre Viva TV et, dans ce cas, le directeur de publication de la station se retrouve en première ligne du “banc des accusés”. Les observateurs se posent donc des questions sur l'attitude des propriétaires du groupe de médias : n'aurait-il pas été préférable de prendre des mesures (le cas échéant, des sanctions) à l'encontre des agents en faute dans cette histoire et entamer des négociations pour la réouverture auprès du département concerné, plutôt que de s'entêter à lancer un ultimatum ? Ou y aurait-il une intention expresse de sacrifier le directeur de publication ?
Au moins, la population sait maintenant à quoi s'en tenir, ne serait-ce qu'en constatant ces amalgames fréquentes entre affaires communales et celles privées... Mais encore, toutes les voies de recours et solutions possibles n'ont pas été épuisées. L'on soupçonne donc derrière cet entêtement autre chose, la réouverture de Viva TV n'étant que la partie visible de l'iceberg, le motif intentionnellement déclaré...
Hita tokoa izany, arak-io lalàna io fa ara--dalàna ary tokony natao mihintsy ny fanakatonana ny viva TV fa i Andry rajoelina no efa nana tetika hanakorontana mihintsy ka ny vahoakan'Antananarivo no ambakainy sy ataony fitaovana amin'izany!
“Ultimatum” pour la réouverture de Viva TV - La face cachée de l’affaire
(14-01-2009) - L'ultimatum lancé par le Maire de la Cua, Andry Rajoelina, également propriétaire de la chaîne de télévision Viva, pour la réouverture de celle-ci a expiré hier.
Pour rappel, la fermeture de la station a été ordonnée par le Ministère des Télécommunications, de la Poste et de la Communication le samedi 13 décembre 2008, suite à la diffusion d'une intervention de l'ancien président Didier Ratsiraka, avec promesse de rediffusion le lendemain.
Ni dictature ni censure
La décision trouve essentiellement son fondement dans l'article 61 de l'Ordonnance 92-039 du 14 septembre 1992 sur la communication audiovisuelle qui stipule que “Sont interdits à la projection publique, à titre gratuit ou onéreux, les vidéogrammes ou les films pornographiques, ou de nature à porter atteinte à l'unité nationale, à l'ordre, à la sécurité et à la tranquillité publics.” Mais il y a également le statut de l'intervenant, en l'occurrence l'amiral Ratsiraka, qui a déjà été condamné et qui, de ce fait, ne peut jouir des droits de vote et de parole, donc soumis à une obligation de réserve. Bref, il n'y a eu ni censure ni dictature, comme beaucoup veulent continuer à le laisser croire, mais une stricte volonté de faire respecter la loi. Et cette loi, ce ne sont pas les autorités actuelles qui l'ont créé ni fait voter, elle date de 1992.
Sacrifice ?
Malgré le fait que l'Etat n'ait porté plainte - ce qui est tout à fait dans son droit - le Ministère public peut également engager des poursuites contre Viva TV et, dans ce cas, le directeur de publication de la station se retrouve en première ligne du “banc des accusés”. Les observateurs se posent donc des questions sur l'attitude des propriétaires du groupe de médias : n'aurait-il pas été préférable de prendre des mesures (le cas échéant, des sanctions) à l'encontre des agents en faute dans cette histoire et entamer des négociations pour la réouverture auprès du département concerné, plutôt que de s'entêter à lancer un ultimatum ? Ou y aurait-il une intention expresse de sacrifier le directeur de publication ?
Au moins, la population sait maintenant à quoi s'en tenir, ne serait-ce qu'en constatant ces amalgames fréquentes entre affaires communales et celles privées... Mais encore, toutes les voies de recours et solutions possibles n'ont pas été épuisées. L'on soupçonne donc derrière cet entêtement autre chose, la réouverture de Viva TV n'étant que la partie visible de l'iceberg, le motif intentionnellement déclaré...
Hita tokoa izany, arak-io lalàna io fa ara--dalàna ary tokony natao mihintsy ny fanakatonana ny viva TV fa i Andry rajoelina no efa nana tetika hanakorontana mihintsy ka ny vahoakan'Antananarivo no ambakainy sy ataony fitaovana amin'izany!