MA-LAZA 31 JANOARY 2012

1. rijadolly ( 31/01/2012 23:57)
novalian'i rijadolly ny 01/02/2012 00:08
2. rijadolly ( 01/02/2012 00:06)
Blocage du retour de Ravalomanana: Paris dément son implication


Le site anglophone allafrica.com a révélé que la France serait de connivence avec le PHAT dans les manÅ“uvres de blocage du retour de Marc Ravalomanana à Madagascar le 21 janvier dernier.

Selon ce site, la troïka de la SADC était au courant de cette manÅ“uvre conjointe entre Ambohitsorohitra et le gouvernement français. D’ailleurs, le site a évoqué que deux très hauts responsables des Forces armées malgaches, dont nous nous abstenons de publier ici les noms, s’opposent farouchement à ce retour dans la Grande ÃŽle de l’ancien chef d’Etat malgache.
Selon toujours ce site : « rendre effectif la feuille de route de la SADC sera un grand défi pour ce groupe régional dont les instruments de sécurité et législatifs sont faibles et sujets aux manipulations des pouvoirs extérieurs ».
Par ailleurs, allafrica.com a affirmé qu’Ambohitsorohitra avait persuadé la SADC, le jour du 21 janvier 2012, de différer le retour de son prédécesseur de 3 mois.
En parallèle, selon le site, l’Elysée avait entamé sa propre campagne de lobbying intense auprès des autres corps internationaux en vue de garder le plus longtemps possible Marc Ravalomanana en Afrique du Sud.
Selon une source concordante, a annoncé allafrica.com, les services de sécurité de la Région étaient informés d’une stratégie à 6 points imaginée par Ambohitsorohitra et Paris, pour empécher le retour à Madagascar de l’ancien homme fort du pays. D’après cette source, la présidence de la transition et les responsables des Forces armées malgaches, ainsi que le gouvernement français, auraient imaginé de déployer des éléments de forces de sécurité locales à l’intérieur et à l’extérieur de l’aéroport d’Ivato ; de publier des déclarations menaçant d’arrestation les pro-Ravalomanana ; de menacer d’arréter Marc Ravalomanana dès son arrivée à l’aéroport d’Ivato ; de faire pression sur la communauté internationale à persuader la SADC de ne pas autoriser le retour de Marc Ravalomanana et enfin, en dernier recours, de lancer le Notam.
Tout l’article, en version anglaise, est disponible sur le site www.allafrica.com.

Lova E.
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Jean Ping ne rassemble plus…

Jean Ping n’a pas séduit la majorité des chefs d’Etat africain. La fin d’une époque ou d’un règne ? L’ancien homme de confiance d’Omar Bongo n’a pas pu engranger les 36 voix, deux-tiers requis, pour étre reconduit à la téte de la Commission de l’Union africaine.
Il avait eu en face de lui Mme Nkosazana Dlamini Zuma, ex épouse de Zuma, et actuellement ministre de l’Intérieur de l’Afrique du Sud, puissance économique du continent.
Le sommet de l’Union africaine n’est pas parvenu, lundi à Addis-Abeba, à élire un président pour son organe-clé, la Commission, les chefs d’Etat se divisant à peu près à égalité entre le Gabonais et la Sud-Africaine.
Jean Ping, 69 ans, en poste depuis 2008, a devancé légèrement sa concurrente lors de trois premiers tours (28 voix contre 25, 27/26, 29/24 voix). Ces quatre tours de scrutin ont montré les rivalités entre Afrique anglophone et francophone, australe et occidentale. On notera, par ailleurs, la volonté sud-africaine de devenir la téte de pont du continent.
La prochaine élection aura lieu au mois de Juin. Mais, d’ores et déjà, l’UA s’empétre dans des contradictions. Des 54 chefs d’Etat, les uns veulent que Jean Ping et son équipe rempilent jusqu’à cette date, les autres exigent l’application du règlement. Les statuts confient, en effet, un tel intérim au vice-président, en l’occurrence, le Kényan Erastus Mwencha.
Tout cela, parce que ces dernières années, la magistrature de Jean Ping est émaillée d’échecs. Le plus controversé, outre la crise ivoirienne, est la crise libyenne. Une rébellion armée, aidée par l’OTAN, a chassé Kadhafi du pouvoir.
Bien sûr , il y a aussi la crise malgache. Madagascar est un cas qui semble ne plus intéresser énormément le monde. L’UA s’en est remise à la SADC dans la gestion de la crise malgache qui, il est vrai, n’a aucun impact sur l’économie mondiale et la sécurité mondiale. De toutes les façons, crise ou pas crise, le pillage légal du pays n’a jamais été inquiété. Le système est là, les « bénéficiaires » locaux changent d’un régime à l’autre.
En somme, les crises politiques qui ont secoué le pays n’ont pas apporté des changements de fond.
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En attendant les élections: 336 partis dont 143 nés durant la transition


Madagascar compte actuellement 336 partis politiques, selon la liste arrétée au recensement du 11 janvier 2012.

Durant ces trois dernières années, autrement dit lors de la période transitoire, 143 partis politiques ont été créés, soit une augmentation de 74,1%. Selon les données fournies par le ministère de l’Intérieur, l’ACEM ou Action des Cadres et des Etudiants de Madagascar est le premier parti politique formé durant l’ère de la transition, soit le 3 juin 2009. En revanche, le dernier parti en date à s’inscrire auprès du ministère est le Groupement des Jeunes des 3 Mouvances (GJ3M), créé le 11 janvier 2012.
Durant l’année 2011, 59 partis politiques ont été recensés, 63 en 2010 et 17 autres en 2009. 2008, en revanche, était une année blanche pour le service s’occupant des partis politiques dans la mesure où aucune formation politique n’a été créée durant cette période. De 1958 à 2009, «seules» 193 formations ont vu le jour.
Le premier parti politique malgache inscrit dans la liste du ministère de l’Intérieur est le Monima Ka Miviombio, parti progressiste de gauche, enregistré le 29 juillet 1958.
Un professeur en science-politique a affirmé que la croissance de manière exponentielle du nombre de partis politiques durant ces trois dernières années s’explique par la crise politique qui secoue le pays. Notre interlocuteur estime que des politiciens souhaitaient faire une percée tout en profitant de l’instabilité politique locale. Ce professeur a fait remarquer que « dans une situation de crise, notamment pendant une période transitoire, le moment est opportun pour se faire un nom dans le domaine politique. Les politiciens peuvent occuper un poste-clé au sein du pouvoir, profiter des opportunités financières et matérielles qui se présentent à eux afin de faire sortir leur parti de la meute ».
Quoi qu’il en soit, en ce qui concerne la feuille de route, seuls les partis politiques regroupés au sein des dix entités signataires de cette directive de sortie de crise sont pris en considération par la SADC. De ce fait, bon nombre de chefs de partis revendiquent l’élargissement des parties prenantes à la feuille de route, tandis que d’autres vont jusqu’à demander la dissolution de cet accord.

Lova E.
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Commission ad hoc/Parlement: En quéte d’une unicité de points de vue



« Mise en place d’un climat d’apaisement », telle est la formule qui unit les entités signataires de la feuille de route. Mais il y a un hic au niveau de sa concrétisation. En effet, les divergences prédominent. La commission ad hoc, qui s’est vu confier la mise en application de la FDR, travaille actuellement d’arrache-pied afin de mettre les protagonistes sur la méme longueur d’onde. D’après Victor Manantsoa, ministre chargé des Relations avec les Institutions, à l’occasion de son passage devant le Congrès de la Transition hier, « l’apaisement » est devenu le maître-mot depuis la mise en place du gouvernement d’union nationale. Par conséquent, la priorité de la commission ad hoc, à laquelle il fait partie, consiste dorénavant à faire en sorte que cet apaisement tant préconisé fasse l’unanimité chez les entités signataires de la FDR.
« La commission ad hoc est actuellement en quéte d’une unicité de points de vue, indispensable si nous voulons avoir l’inclusivité parfaite. A cet effet, nous avons déjà récolté les points de vue des entités respectives », a noté le ministre Victor Manantsoa.
La commission ad hoc envisage de restituer les résultats de ses travaux au gouvernement dans les plus brefs délais. Des travaux qui se font en plusieurs étapes. « Notre démarche s’appuie sur un calendrier bien défini », a fait remarquer Victor Manantsoa.
Ainsi, ces travaux de ladite commission sont actuellement focalisés autour du projet de loi d’amnistie, de la mise en place du Comité du Fampihavanana Malagasy (CFM) ou encore du Comité de Réconciliation Nationale, entre autres.
Victor Manantsoa a également saisi cette occasion pour dresser un bref bilan de la journée du Premier ministre Omer Beriziky, en séance de travail avec les membres des deux chambres hier après-midi. « Un face à face plutôt fructueux», selon le ministre chargé des relations avec les institutions.

L.R
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Mamy Rakotoarivelo: «Le code électoral n’est pas une priorité»



De l’avis de Mamy Rakotoarivelo, chef de délégation de la mouvance Ravalomanana, l’adoption du projet de loi de code électoral n’est pas la priorité des priorités dans la mise Å“uvre de la feuille de route et la sortie de crise.
En ce qui concerne les élections, l’adoption de la loi sur la CENI est la priorité requise par la communauté internationale, dont les Nations Unies et la Troïka de la SADC, a-t-il affirmé.
De l’avis de l’actuel président du Congrès de la Transition, l’instauration du climat d’apaisement social et politique, tel que prévu par la feuille de route, devra précéder toute chose. Une recommandation confirmée par la réunion du 25 janvier 2012 de Pretoria.
Dans la méme perspective, Mamy Rakotoarivelo de préciser que la mouvance Ravalomanana exige l’élaboration dans les meilleurs délais des projets de loi et des textes permettant l’application des articles 16, 17, 18, 19 et 20 de la feuille de route. Des articles qui devront en effet conditionner l’organisation d’élections libres, transparentes et crédibles, estime la mouvance de l’ancien chef d’État Marc Ravalomanana.
D’ailleurs, il a souligné que la loi d’amnistie fait partie de ces textes d’apaisement politique et social. Mamy Rakotoarivelo a tout de méme rappelé que les acteurs politiques qui se sont réunis à Pretoria le 25 janvier dernier se sont mis d’accord sur l’adoption de ces textes avant la fin de ce mois de février 2012.

Marc A.
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Crise malgache: Les grands commis redoutent une explosion sociale


De l’avis de la Confédération des grands corps de l’Etat, il n’y a jusqu’à présent aucune véritable solution probante à la crise qui secoue notre pays. La confédération a fait part de sa position, par la voix de son président, Thierry Rakotonarivo.
Thierry Rakotonarivo n’a pas caché qu’il appréhende une explosion sociale si les acteurs politiques malgaches n’arrivent pas à trouver un terrain d’entente dans les brefs délais. Les grands commis de l’Etat invitent instamment les entités politiques malgaches à reprendre les négociations sur table ronde.

Elections
En sa qualité de technicien, le président de la Confédération des syndicats des grands corps, Thierry Rakotonarivo, estime qu’il est possible de tenir des élections cette année. Il a, d’ailleurs, ajouté que rien n’empéche d’organiser deux scrutins durant cette année 2012 dont le premier en juin et le second en novembre. Avant de préciser que tout dépendra de la volonté politique des uns et des autres.

Assises nationales de l’administration
Au niveau de l’administration, la confédération des syndicats des grands corps de l’Etat d’admettre que l’administration publique de Madagascar est confrontée à de grandes difficultés. C’est pour cette raison qu’un atelier national sera organisé par les grands corps de l’Etat vers fin février prochain. Ce sera l’occasion de débattre longuement de l’amélioration des conditions de travail des fonctionnaires. Cet atelier devra également permettre d’examiner la gestion de l’administration publique, de trouver les méthodes et les solutions les plus efficaces aux obstacles et de rendre effective la meilleure administration.
La primature avait organisé, la semaine dernière, un colloque axé autour du thème «Une meilleure administration publique pour une bonne gouvernance» auquel les grands corps de l’Etat ont participé.
Les prochaines assises des grands commis de l’Etat seront une suite logique de cet atelier.

Vola R
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CEPE 2012: Le calendrier non encore publié


La publication du calendrier de l’examen officiel du CEPE de cette année 2012 connaît un léger retard par rapport aux précédentes années.

En effet, la réception des dossiers des candidats de cette session n’est toujours pas ouverte jusqu’à ce jour si d’habitude, elle se fait dès le mois de janvier. Les différents niveaux hiérarchiques attendraient encore le feu vert du ministère de l’Education nationale avant d’entamer cette procédure.
Toutefois, le service des examens de la circonscription scolaire d’Antananarivo-ville a entamé depuis peu les préparatifs de ce premier examen officiel. Ils consistent à l’élaboration d’une proposition d’effectifs des surveillants et secrétaires, du nombre des salles d’examens et à la répartition des centres d’examen mères et sous-centres.
En outre, l’élaboration de propositions de sujets d’examen est achevée pour ce qui est de la CISCO d’Antananarivo-ville. « Ces points sont des éléments à ne pas négliger pour assurer le bon déroulement des examens, d’où l’importance d’une mesure d’anticipation », précise Roger Randrianaivoarijaona, du service des examens de la CISCO d’Antananarivo-ville.
Par ailleurs, 29.806 candidats de la CISCO d’Antananarivo-ville devraient étre inscrits cette année au CEPE. En outre, la méme CISCO envisage de mobiliser 14 centres d’examen mères, qui seront répartis en plusieurs sous-centres d’examen.
La session du CEPE de l’année scolaire 2011-2012 est prévue pour ce mois de juillet. Les épreuves se dérouleront, pour cette fois-ci, un mardi, suivant la recommandation du ministère de l’Education nationale.
La CISCO d’Antananarivo-ville est chargée de veiller au bon déroulement des examens officiels, dès la préparation des sujets à la publication des résultats officiels.

RR.
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Université d’Antananarivo: Alliance entre étudiants et Seces



Lors de son assemblée générale d’hier, à l’amphi 24 de la FLSH à Ankatso, le Syndicat des Enseignants-Chercheurs section Antananarivo a approuvé la proposition des associations des étudiants relative à une alliance entre étudiants et enseignants dans l’organisation des actions à entreprendre pour réclamer la résolution immédiate des problèmes qui affectent l’enseignement supérieur.
Une manifestation pacifique en salle est ainsi prévue pour ce vendredi prochain au grand amphi DEGS de l’université d’Antananarivo. Celle-ci sera caractérisée par une projection d’images liées aux revendications des enseignants-chercheurs et des étudiants.
Cette assemblée générale a été une occasion pour les leaders de cette section du SECES de rapporter les résolutions de leur dernier conseil national qui s’est tenu récemment ainsi que de leurs entretiens avec les étudiants dans le courant de la semaine dernière.
De son côté, l’association de la faculté des sciences, la seule à ne pas avoir repris ni les activités pédagogiques ni les examens, lors de son assemblée générale d’hier à Ankatso, soutient les revendications du SECES dont celle de la démission du ministre des Finances et du Budget, Hery Rajaonarimampianina.
Andriafenomiarisoa Hery, porte-parole de l’association, a rappelé que l’absence de réaction du ministre avait amené le SECES à suspendre les activités pédagogiques des 6 universités du pays. Il estime que les changements successifs de ministre de l’Enseignement supérieur ne constituent pas la solution efficace, dans la mesure où le blocage de la résorption des problèmes du SECES relève plutôt du ministre des Finances et du Budget en personne.
« Ayant occupé ce poste durant trois années consécutives, le ministre est le seul à devoir maîtriser entièrement les problèmes du SECES. Cependant, il ne réagit toujours pas pour en trouver les solutions », a fait remarquer le porte-parole des étudiants de la Fac. de sciences.
Le porte-parole de réclamer, par conséquent, la nomination d’une personne, toujours issue du ministère des Finances et du Budget, mais qui soit réellement apte à résoudre les problèmes de l’Enseignement supérieur.
Par ailleurs, la mobilisation des étudiants afin de réclamer la publication du calendrier d’examen de la faculté des sciences s’est poursuivie hier. Contrairement à la grève d’avertissement de lundi dernier qui s’est tenue devant le terminus de la ligne 119, celle d’hier s’est tenue à l’intérieur du campus universitaire, devant le bâtiment de la faculté des sciences.

RR.
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Chèques carburants: De nouveau acceptés par les stations Galana


Depuis hier, toutes les stations-services dont Jovenna, Shell, Total et Galana sont censées accepter les chèques carburants et lubrifiants ou CCAL, si depuis quelques mois, les stations Galana, elles, ont refusé de les accepter en avançant comme argument la prolifération des faux CCAL que le Trésor Public refuse de rembourser.
A titre de rappel, après vérification, des CCAL d’une valeur de plus de 432 millions d’Ariary ont été refusés puis retournés par le Trésor Public à la Compagnie Galana.
Des discussions entre la Direction du Trésor Public et les opérateurs ont eu lieu. Depuis toujours, Orlando Robimanana, Dircteur Général du Trésor Public, a souligné que les CCAL constituent un moyen de paiement ayant cours légal et ne doivent étre refusés en aucune façon.
Les anciennes formules de chèques carburants qui faisaient l’objet de faux ont été retirées du marché et celles ayant actuellement cours légal doivent étre utilisées comme il se doit, selon ses dires. Toutefois, pour éviter les abus ou encore les falsifications, les CCAL utilisés par les agents de l’administration publique, tels que les chèques bancaires, devront étre dûment endossés correctement.
Par ailleurs, les CCAL ne peuvent plus étre échangés contre de l’argent liquide. Ce procédé motive d’une part, les personnes malintentionnées à produire des faux chèques carburants et constitue, d’autre part, une source de détournement de deniers publics. Pour pallier ce problème, l’utilisation de carte de paiement électronique est préconisée et quelques ministères serviront bientôt de projet-pilote.

Claudia R.
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Malok’ila 11: 60 millions Ar. d’investissement


Les inconditionnels du 7ème art malgache vont pouvoir se réjouir. La 11ème série de Malok’Ila sera projetée en salle, en exclusivité au Ritz et au Rex à Analakely ce samedi. Plus de 60 millions d’Ar. ont été investis dans le tournage de ce long métrage de 110 minutes. La plupart des séquences ont été tournées en Chine, le reste dans les différentes localités de la Grande Ile, a-t-on fait savoir du côté de Scoop Digital au cours d’une conférence de presse qui s’est tenue hier au « Le Damier » d’Androndra.
La qualité sera ainsi au rendez-vous étant donné l’énorme investissement dans la réalisation de ce Malok’Ila Shi’Yi, qui signifie 11 en chinois. « Il s’agit de redonner le sourire aux amateurs de ciné malgache en ces temps moroses », estime Mamitiana Razafimandimby, DG de Scoop Digital.
Par ailleurs, la maison de production envisage de parcourir le pays dans le cadre de la promotion de ce nouveau long métrage avec, au programme, 2 mois de séances de projection, entre autres. Et Scoop Digital de noter qu’avec le lancement de Malok’ila Shi Yi, une nouvelle page vient de s’ouvrir. Cet épisode marquera en effet l’apparition de nouveaux acteurs.
C’est toujours dans cette méme perspective que la célèbre maison de production Scoop Digital organisera de nouveaux jeux ainsi que des séances de casting afin de dénicher de nouveaux talents qui interpréteront un rôle dans le prochain Malok’Ila.

L.R
3. rijadolly ( 01/02/2012 00:08)
MA-LAZA 01 FEVRIER 2012 IO FA TSY 31, MIALA TSINY INDRINDRA.
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